Forum:VBO/Les douze travaux d'Hercule/Étouffer le lion de Némée

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Grade : BO

Le nominé | Retaper dessus

Votes Best Of

Pour

  1. Un bon travail WiiKend - Ceci était une signature juin 17, 2011 à 09:13 (UTC)
  2. Ouais, va pour celui-ci. _ signé : YOSHKILL LE BOSS -- envoyez-moi un MP et je verrai si je vous réponds Sunglasses.png juin 17, 2011 à 09:28 (UTC)
  3. Un de mes préférés JohnBengawac : La puissance à l'état sobre. juin 17, 2011 à 10:19 (UTC)
  4. Une belle imagination. Haïdi Lomkipenzeu juin 19, 2011 à 14:17 (UTC)
  5. OK je revois mes critères, si j'éclate de rire je vote pour. Si je me fais dessus je voterai contre, pour compenser. « Eh bam, ça fait des Chocapics », mdr. (rooo Haïdi t'es vraiment toujours là pour contredire mes modifs ^^)χλςmith ΤrismégistΞ Pendu or.png juin 19, 2011 à 14:20 (UTC)
  6. Mon préféré Syl£¥$ juin 26, 2011 à 09:07 (UTC)

Contre

Blanc + commentaires

Critiques constructives

Chapô

Herculion.jpg

Bonjour, et bienvenue dans votre émission favorite "Mythologie ou mythomanie grecque ?"

Nous allons aborder aujourd’hui le premier des douze travaux d’Hercule, intitulé en version originale "Commentos Héraklès a vainquos li lionos di Néméis" (traduction littérale : "Comment Hercule a vaincu le lion de Némée")

Il était une fois, il y a bien longtemps, dans un pays lointain, une princesse. Celle-ci était si belle qu’on disait que le soleil se levait pour elle, que l’océan faisait des vagues pour elle, et que le ciel était bleu pour elle. Elle s’appelait Josette...

Et sinon en même temps en Grèce, il existait une petite bourgade au charme d’antan où il faisait bon vivre : la légendaire bonne humeur de ses habitants n’avait d’égale que la majestueuse architecture de ses rues, d’inspiration ionique, où chaque pas procurait une sensation de bien-être indescriptible. C'était la ville de Némée.

Némée, c’est c’qu’y a d’plus beau...


Les gens y respiraient un air si pur qu’il avait dit-on une odeur de brioche qui sort du four, et de miel. Et de barbapapa. Car Némée se situait au sommet d’une montagne sacrée.

Némée, c’est monter si haut...


Et en plus, il y avait des oiseaux, dont on pouvait caresser les ailes.

Et toucher les ailes des oiseaux, Némée...


Ah, c’était le paradis sur terre !

Ah, en fait non, ce n’était pas le paradis sur terre, car un énorme lion terrorisait les lieux en mangeant les Néméiens (les habitants de Némée). Cela préoccupait terriblement le roi d’Argolide, Eurysthée, qui se demandait comment il pourrait vaincre cet animal. En effet, les Grecs n’ont pas l’habitude d’avoir des lions dans leur pays. Si c’était une brebis, ah ça oui, il aurait su comment faire, il avait l’habitude. Mais un lion, c’était original, compliqué. Et dangereux.