La digue du cul
La digue du cul est une construction des paillards située entre Nantes et Montaigu. Son emplacement véritable n'a jamais encore été découvert.
Origine
La digue du cul est un ouvrage ingénieux prévenant des inondations causées par les femmes fontaines des Pays de la Loire (ou de la Bretagne mais le sujet fait débat). Les datations estimées par les exégètes la situe aux alentours de 69 ou de 311384153 après JC (il est à noter que la deuxième date a été estimée par Kevin, étudiant en 1ère S à l'aide d'une calculatrice).
La digue du cul serait un ouvrage paillard, lors de leur retraite de la bataille de Jouy-En-Josas après ce que les historiens appellent aujourd'hui "une bonne grosse branlée". Les paillards, après une campagne de presque 2 ans, étaient ravis de retrouver leurs femmes. Ils les rencontrèrent sur la route entre Nantes et Montaigu. Les ébats donnèrent lieu à de grands sanglots et beaucoup de rivières de bonheur. Pour contenir les humeurs de ces dames et protéger les habitations, les paillards érigèrent la digue du cul.
Certains historiens voient dans les falaises d'Etretat une construction similaire, mais aucun texte n'est venu corroborer ces hypothèses.
Rites et tradition
La digue du cul était un lieu de pèlerinage pour tout le pays paillard. C'était le lieu de rites sociaux et religieux permettant de souder la communauté entre elle. Ce lien social est décrit dans certains ouvrages. Ainsi, à la digue du cul, lorsque l'on croisait une belle, si elle dormait le cul nul, on pouvait lui foutre droit dans le cul.
La digue du cul, par ailleurs, était un écho à l'univers judéo-chrétien d'alors, comme une arche de Noé permettant de sauver l'humanité du déluge de la luxure.
Efficacité
L'efficacité de la digue pour contenir les vagues de cyprine est clairement contestée. Si on s'en réfère à l'historien Booba : Ne cherche aucun prétexte t'es accro du sexe, mes paroles vont vexer c'est pas grave si c'est mon texte, face à vos corps pour pixé j'ai garder tous mes réflexes, sort le Kleenex et fait péter entre 2 silex. Booba nous montre ici que la vie continue malgré les noyés et que le plaisir prévaut sur la sécurité.
En revanche, ce n'est pas l'avis du physicien de l'amour Christophe Maé qui nous dit Qu'on s'attache, Et qu'on s'empoisonne, Avec une flèche, Qui nous illusionne, wohoo. Cette vision clairement nihiliste ne trouve, on doit le noter, que peu d'écho à notre époque.
Témoignage
Des témoignages de la digue du cul parvienne fréquemment aux scientifiques et autres historiens. Un témoignage a particulièrement retenu l'attention de ceux-ci puisqu'il appuie la théorie selon laquelle la digue du cul n'est pas le diable, mais mon gros dard poilu, la digue la digue. Ce témoignage, c'est celui de Alizée.
Bonjour Alizée.
Très bien. On se le tient pour dit. Lolita, donc, comment vous décririez-vous ?
Vous me semblez donc une personne ouverte et précise. Alizée, pouvez-vous nous dire pourquoi vous pensez que la digue du cul n'est pas le diable ?
Pardon... Lolita, pouvez-vous nous dire pourquoi vous pensez que la digue du cul n'est pas le diable ?
Vous voulez dire que des gens vous ont dit ça ? Que vous ont-ils dit, au fond ?
Et bien, ça a le mérite d'être clair malgré votre côté mystérieux. Vous confirmez donc bien que ce n'est pas le diable, mais bien une digue construite suite aux inondations de l'amour. Merci beaucoup Lolita.
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