Philosophes

Un article de la désencyclopédie.
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Les philosophes, donc ces gens, hommes ou singes méconnus.

Raison de cet article

L'histoire de la philosophie n'est faite que d'histoires extraordinaires.

Une histoire ignorée, pourquoi ?

L'histoire de la philosophie n'est faite que d'histoires extraordinaires et pourtant totalement méconnues car personne ne les raconte jamais et tout le monde les cache derrière un immense cache-sexe, sans doute imposé par l'Église.

D'autres insistent sur l'autre aspect de cette affaire et l'autre cause, complémentaire : ils disent et ils visent la censure et la bêtise conjuguées de celui, vous savez : "qui-vous-savez", l'autre affreux qu'il-ne-faut-pas-nommer-parce qu'il-est trop-affreux et il faut pas dire son nom, même-qu'il-est-pas-marrant-du-tout-donc-on-peut-rien-dire-car-ça-le-fait-pas-marrer.

Vous voyez qui je veux dire ? C'est celui qui a interdit le rire et qui a brûlé au feu le plus possible d'exemplaires du "Traité du rire" d'Aristote et qui a été dénoncé pour cela par Umberto Eco, dans un best-seller : "le nom de la Rose", titre choisi, pour l'opposer et par opposition au "nom de la Merde".

Oui, vous avez deviné ? Son nom commence par un W ? et dans lequel il y a pédé, comme disait Pierre Desproges, mon maître et un des plus grands philosophes contemporains ? Exactement ! Et bravo !

L'histoire de la philosophie vous a toujours été cachée, c'est pourquoi je vais vous la raconter.

Des choses cachées que vous avez toujours rêvé de connaître comme lorsque vous étiez petits et que vous regardiez sous les jupes des filles

L'histoire de la philosophie vous a toujours été cachée pour une bonne raison : parce que le philosophe est un genre de singe louche. Le plus louche des singes, à vrai dire.

à la louche

1) D'abord parce qu'il se fait des ennemis à la louche. Voir Socrate : tous les Sophistes, vous savez, ceux qui jouaient le rôle du méchant drôle -et plutôt pas drôle- à l'époque... Donc tous les Sophistes furent ses ennemis -sauf ceux qui manquaient à la pelle parce qu'ils étaient partis en week-end- qui voulaient sa peau et finirent par l'avoir.
Socrate fut mis à mort par une déclaration de mise à mort. Résultat mise à mort, comme un taureau : dans la reine, où il se trouvait par hasard au moment de la condamnation à mordre le mors du taureau de l'arène. Vous avez compris ? C'est pas "Toreador ... trala la la" c'est une tragédie : Socrate le meilleur des hommes, le meilleur des citoyens d'Athènes, mise à mort, sans chemise, tout nu, par ces salauds de Sophistes, parce qu'il leur avait posé la question de la vérité. Et ça fait mal. Très mal.
Et également : moi, tout comme Socrate, parce que j'ai rencontré des salauds, même que c'était pas des Sophistes, plutôt des Schtroumpfs, courts sur pattes, à lunettes, avec plein de poils aux pattes et très laids avec de gros bubons sur la face et sur les fesses. À vomir, malgré leur petit uniforme bleu-Hercule. mais je m'en suis sortie grâce à l'équipe de super-men de désencyclopédie, mais de justesse.
Mon voisin de bistrot aussi parce que, quand il a trop de vers dans le nez, on le fout à la porte du bistrot, parce que ça fait trop d'agitation, donc trop de bruit, les vers dans le nez.
On pourrait mettre Jean-Jacques Rousseau ici, mais on le mettra ailleurs.

des singes louches

2) Ensuite, Platon, réputé « louche » parce qu'il aimait les petits garçons (mais ce sont les salauds qui lui ont fait une sale réputation certainement usurpée). En tout cas il était au goût des pirates qui l'enlevèrent et voulurent le vendre sur un marché aux esclaves. Du moins Platon était fort au goût de son acheteur, c'est évident. Heureusement qu'il fut sauvé au dernier moment par un de ses amis qui le vit là, à la place d'une marchandise sur le marché (si, c'est vrai !) et comme une tornade blanche l'enleva dans les airs, au nez et à la barbe des pirates. Bien fait !
Sinon, il est certain que la face de la philosophie, donc du monde, en eût été changée. Le nez de Cléopâtre, c'est rien à côté.
Dans le genre « louche », vous en avez aussi un qui est pas mal. C'est Zénon, réputé pour faire des courses avec les tortues qu'il se débrouillait pour perdre, ce qui est tout de même assez fort (vous êtes capables, vous ?) Tout ça pour prouver que le mouvement n'existe pas.
Original, n'est-il pas mon cher Astérix ?
Pas du tout Obélix, car si le mouvement existait, la face du monde, en serait complètement changée, car ça voudrait dire que tout peut changer et que donc rien n'est jamais le même, ni jamais pareil, ni jamais à la même place, répond Astérix. Alors ? Comment s'y retrouver et comment retrouver ses chaussettes à la même place ? Et alors, comment retrouver ses deux chaussettes après passage à la machine à laver, sachant la propension des chaussettes à disparaître, un sur deux, toujours, même chez les plus grands philosophes, hein ? [seule solution, voyez l'article désencyclopédie sur les chaussettes, leurs disparitions et leurs retrouvailles, le seul moyen susceptible de vous l'expliquer, sauf que je sais même plus comment il s’appelle, ce qui est con tout de même] Il avait disparu, je l'ai retrouvé : Solutions aux kidnappings de chaussette.
L'autre aussi qui s'est taillé une belle réputation c'est Parménide car il prétendait, sérieux, qui ni l'Être, ni le non-Être (chut il ne faut rien en dire ! ni qu'ils sont , ni qu'ils ne sont pas) car « de l'Être on ne peut rien dire, ni qu'il est, ni qu'il n'est pas ». Là, ça demanderait une explication, mais j'ai pas le temps. Mais je reviendrais, c'est promis.

clair-obscur & louche-obscur

3) Après vous avez le genre « louche obscur ». Non seulement tous les philosophes obscurs, mais qui sont tellement obscurs, que c'est même pas la peine que le les cite, mais les obscurs, parce qu'ils sont obscurs tout court. C'est le cas d'Héraclite, par exemple, du reste sur nommé l'obscur : bien oui, Héraclite l'obscur (vous voyez ce que je vous disais), c'est son nom sur désencyclopédie.
Et tout simplement parce que c'était trop compliqué. C'est-à-dire, parce que personne n'entravait rien à ce qu'il disait. Il parlait en aphorismes , au lieu de parler grec comme tout le monde, et, résultat on se demandait bien ce qu'il voulait dire. En plus c'était un impertinent. Il disait des choses du genre "si les ânes pouvaient parler, ils diraient que leurs dieux mangent de la paille" - ou du foin, selon les traductions. De là vient l'expression : bête à manger du foin, le saviez-vous ? Parce que bête à manger du foin c'est celui qui se représente son dieu à son image. Par exemple comme ça : un homme qui se représente son dieu comme lui, entouré des femmes et se livrant aux mêmes occupations que lui.
Gonflé, non, le mec ? Débiles, non, les hommes ?

louches versant de travers, en versant dans le marrant

4) Aussi parce que ce sont de sacrés putains de marrants : voyez par exemple Aristote avec sa cour, de femmes, et dans sa basse-cour, entouré de femmes, et à la cour de Philippe de Macédoine, père de l'autre, le Grand, où il menait la grande vie.
D'où le film qu'en a tiré Spielberg : « Aristote à la basse-cour de Macédoine, et à la haute Cour de justice de La Haye ». Parce que la Haute Cour de justice de La Haye est dédiée en hommage à Aristote et à Platon réunis, vu que c'est eux qui ont pensé l'universel sur lequel repose et s'assoit tous les jours l'auguste postérieur de cette auguste cour, appellée Auguste en l'honneur d'Auguste, la Haute Cour de justice de La Haye, pour traquer les salauds, qui aujourd'hui, ne sont plus les Sophistes, mais bien pire. Parce que les hommes peuvent être dits universellement les mêmes vu que « tout homme est doué de logos » Platon, Théetète.
note : logos : langage et raison Platon, Théétète.
De même Epicure, entouré de prostituées, parce qu'il les trouvait marrantes, surtout quand elles étaient intelligentes.
et René Descartes, fort au jeu, fort aux dames, fort à l'épée, et fort au maniement d'épée et de son sabre avec les dames ! Et champion d'échecs, comme Machiavel, du reste.
Machiavel, justement qui était un sacré marrant parce que, comme il s’emmerdait quand il était en exil, et qu’il était fauché aussi (forcément) il s’amusait à jouer pour de l’argent : il jouait aux échecs avec les cochers, les ivrognes, les manants et les bandits qu’on trouve dans les auberges. Il jouait aux échecs et les battaient invariablement. C'est comme ça qu’il gagnait sa vie et supportait l’assignation à résidence et son mortel ennui, assignation au silence et à l’inertie que lui avait collé un Médicis, Prince de son état, pour se débarrasser de lui parce qu’il était trop intelligent.

louche qui a pas froid aux yeux

5) Également parce que ce sont des gonflés : voyez, Marc-Aurèle, carrément Empereur de Rome donc un dieu, ce qui n'est pas rien. Difficile de faire mieux, même. Qui dit mieux, les singes ? Y en a-t-il un parmi vous qui peut s'aligner avec Marc-Aurèle ? Hein, vous voyez bien !
Gonflé le mec, parce qu'il affranchissait ses esclaves et les transformait en philosophes. Absolument. Par exemple Lucullus, son cuisinier, en fait ; non, c'est surtout et encore plus le petit esclave devenu à son tour philosophe, le bel Epictète.
Voyez Sénèque qui tenta de faire l’éducation de Néron, ce qui suppose d’être gonflé. Il l’a du reste payé de sa vie, ce qui est assez cher payé.
N.B. pour l’instant on note qu’aucun philosophe ne s’est dévoué pour tenter de faire l’éducation de Ben Laden, et pourtant dieu sait que l’Afghanistan est un beau pays, le plus beau pays du monde peut-être, pour qui aime les montagnes, mais, curieusement ça n’a tenté aucun philosophe.
Un autre gonflé, ce fut Averroès, Ibn Rush en arabe qui importa Aristote dans la culture musulmane et était un type gonflé. Tellement gonflé qu’il faillit être mis à mort par les islamistes (qui existaient déjà à l’époque) et ne dût la vie qu’à la fuite nocturne et noctambule grâce à un Noctambus qui venait d’être installé » par le Maire de Cordoue, un grand humaniste qui était socialiste. Une chance !
Un autre gonflé c'est Spinoza qui mérite à lui seul un chapitre entier. On le réserve.
Encore un autre gonflé René Descartes qui prétendit déniaiser la Princesse Elisabeth.

louche aimant ce qui est louche ou louche qui louche

6) et encore parce qu'il y en a qui aiment les femmes qui louchent : on aura reconnu Descartes, évidemment.
7) mais d'autres c'est carrément parce qu'ils aiment les femmes louches ; là, la liste serait beaucoup trop longue, de Kierkegaard, à Schopenhauer et Nietzsche, en passant par St Thomas, St Bonaventure et tous les moines, par obligation professionnelle, habitués des bas-fonds et ruelles obscures, des maisons closes et du clôt de l'Être, ce qui ne les empêchaient pas de s'élever jusqu'aux sommets.
8) c'est parce qu'ils louchaient eux-mêmes :Jean-Paul Sartre en est un bel exemple, mais il n'est pas le seul, loin de là.

louchedingue

9) un genre qui ne comporte qu’un seul individu, unique en son genre « louche » c'est celui qui ne s’intéresse pas aux femmes : Kant. Donc y’a rien à dire sur son cas.
10) et encore un autre genre qui ne comporte qu’un seul individu, unique en son genre « louche », pas très loin du 1° mais fort différent tout de même, pas vraiment Don Juan en effet, mais « louche mystique » : Pascal
11) plus courant le genre « louche » qui s’intéresse trop aux femmes, celui qui a entendu toute sa vie « attention les femmes te perdront »
dans ce genre les noms se bousculent, René Descartes, encore et toujours lui, pour ne pas parler d’Aristote bien sûr mais les noms qu’on privilégiera seront ceux de Rousseau et Karl Marx.
Rousseau : un roman ; à venir
et Marx, parce qu’il a craqué pour sa bonne, avant de la refiler à son pote. les histoires de Ségolène et Sarkozy, à côté, laissez-moi rire ! c'est petit et petit-bourgeois, alors que Marx ça a une autre dimension, une autre ampleur, car, -et ça se voit tout de suite- Marx était un révolutionnaire, l’aîné de toute la famille dont il fit l’éducation et à qui il servit de modèle en tant que grand frère  : Groucho, Chico, Harpo . La belle éducation marxiste, elle est là !
12) la plupart, c'est parce qu'ils sont les bergers de l'Être, ce qui donne une idée de leur loucheté, parce qu'ils en profitent un max, évidemment, avec leurs moutons, leurs moutonnes leur Être et leur chien de berger, plus, évidemment la guenon qui les accompagne toujours, comme leur conscience, comme disait Kant.
13) vous avez le genre « louche en politique » : tout le monde aura reconnu Heidegger, champion de cette catégorie, vu qu’il avait épousé une salope d’antisémite, stupide (synonyme) et avec des affinités pro-nazies. Du coup il a fait un petit dérapage assez incontrôlé à ski et s’est retrouvé emballé dans la pente sans plus savoir s’arrêter jusqu’à atterrir sur son cul et sur le siège de l’Académie et tant qu’on y était on l’a carrément nommé recteur. Sombre histoire je vous le dis. Il aurait mieux fait de rester couché ce jour-là.


les risques de la loucherie

14) mais vous avez encore et surtout un grand genre « louche » très bien fourni de ceux qui ont risqué leur vie à cause de la politique : Platon, Aristote, Ptolémée, Diderot, Jean-Jacques Rousseau, Casanova,



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