Plancher-Les-Mines

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Plancher-Les-Mines (aussi appelé PLM par les autochtones) tribu perdu dans le département de la Haute-Patate en Franche-Comté. L'espèce vivant dans ce trou est nommée "Mainou"

fond de la vallée du Rahin appelé Plancher-les-Mines


Histoire

L'histoire de ce village commence en 600 après Jean-Claude par la construction d'un lieu de culte, très certainement païen, par un ermite chassé de la ville la plus proche, dans la jungle de Saint-Antoine. Un bond dans le temps jusqu'en 1178, date de l'invention de l'écriture dans le fond de vallée, où nous retrouvons des traces d'un village nommé Planchicum. Planchicum était le village regroupant Plancher-Les-Mines et Plancher-Bas.

En 1687, une guerre encore visible est déclarée par Plancher-Haut, devenu Plancher-les-Mines, à son voisin Plancher-Bas. Cette guerre débouche sur une déclaration d'indépendance. Plancher-Haut survit grâce à l'industrie arriérée des mines.

Encore aujourd'hui, Plancher-les-Mines et Plancher-Bas se tire dessus, mais ne sachant plus pourquoi. L'invention tardive de l'écriture n'arrangeant pas les choses.

Grotte appelée mine par les autochtones

Géographie et climat

Situé au fin fond du département le plus perdu de France, le village est protégé naturellement par la montagne qui empêche toute invasion par d'autres civilisations, mais protège aussi l'espèce locale de toute exposition au soleil. Il y a seulement deux saisons : l'hiver et l'été du 13 au 15 août. Été durant lequel, les températures augmentent de manière folle avec une hausse de 2 degrés Celsius et l'apparition de nuages blancs en remplacement des nuages gris.

Population

L'espèce Mainouse vit principalement grâce à l'alcool, qui représente 99% de son alimentation. Le pourcentage restant est composé de cramaillots (dialecte primitif local désignant le pissenlit), racines et autres plantes pouvant être comestibles. Son activité principale est la mendicité depuis la fermeture des mines et des dernières usines.

Une autre caractéristique de l'espèce est la reproduction. Chose assez étonnante pour un homo sapiens, c'est que le Mainou peut, ou du moins essaye, se reproduire avec tout ce qui peut sembler être vivant. Aucune notion de famille n’existe et la consanguinité y est une tradition.

Culture

Il paraît que mis à part l'invention de l'écriture aux alentours de 1178, aucune culture avancée n'existe. À noter qu'un culte à l'alcool existe et que l'invention de la roue (triangulaire dans un premier temps) a été faite très récemment puisque nous pouvons observer l'espèce mainoue se déplacer dorénavant en charrette tractée par les enfants.

Le vélocipède a été introduit au début du XXIe siècle et depuis, Mainous et autres peuplades invasives n'ont de cesse de grimper la Planche des Belles Filles. Lieu à forte inclinaison qui leur sert depuis, de référence mondiale (rien que ça !), malgré le fait qu'aucunes belles filles ne les attendent au-dessus. Cette manifestation nationale, voire internationale est appelé Tour de France

Le Mainou a découvert le squi (en langage local) au début du XXe siècle, en cherchant une utilité aux vieux tonneaux de vin vide, dont il a utilisé les lames de bois et s'est ainsi rendu compte qu'il pouvait les fixer sous ses pieds pour se déplacer par grand blizzard.

Deux dialectes cohabitent dans ce fond de vallée. Ce qui se rapproche le plus d'un patois local et le Français. En effet, depuis la fermeture des "usines" et des "mines", le mainou est obligé de sortir de son habitat naturel afin de sustenter à ses besoins les plus primitifs.

Outils utiliser par la faune locale

Personnalité

Malgré une civilisation visiblement très en retard, nous pouvons constater que certains individus de ce petit village d'irréductibles mainous se sont enfuis vers une autre civilisation plus avancée. Cependant, les noms ne nous sont pas encore parvenus, du fait d'une grande difficulté de déchiffrage des archives. Peut-être que, d'ici quelques décennies, nous parviendrons à trouver une Pierre de Rosette en permettant la traduction.