The La Fontaine Code

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Exploitant la veine de succès rencontrée ces dernières années par des ouvrages mystico scientifiques, de nombreux auteurs tentent de dévoiler au grand public les agissements de sectes ou d'associations secrètes qui dirigeraient notre monde en sous-main. On ne compte plus les études sur le "Prieuré de Sion", " l'Opus Dei" et toutes ces franc-maçonneries qui oeuvrent dans l'ombre pour la mise en place d'un ordre différent.

Loin de vouloir suivre ce lamentable mouvement de mode et m'engouffrer à mon tour sur cette autoroute de la soif du succès à tout prix, je pense néanmoins qu'il est de mon devoir de chercheur, de livrer à mes contemporains le fruit de toute une vie de travail sur un des aspects les plus troublants de notre socièté : L'Apprentissage des fables en classe de CM2.

Le sujet est d'autant plus grave qu'il concerne nos enfants, donc notre avenir. Quelle est, à l'heure où cette étude est mise sous presse, l'étendue des dégats ? Est- Il encore temps de réagir ? Laisserons-nous le sort de l'humanité aux mains de puissances qui oeuvrent dans l'ombre pour l'accomplissement de mystérieux desseins ? Evidemment NON ! Voilà pourquoi je sors aujourd’hui de l’ombre convaincu que rester silencieux après avoir accumulé une telle somme d’indices convergents serait de ma part aussi lâche qu’antiscientifique.


Analyse du premier vers

Le premier exemple que je vais prendre pour effectuer ma démonstration est tirée d'une fable de La Fontaine : LeRenard et le Corbeau .

Chaque jour, ce texte d'apparence anodine est appris par coeur par des milliers d'enfants, or si l'on se penche sérieusement sur l'étude de ce texte on ne peut qu'être glacé d'effroi. Jusqu'à quand laissera t'on des enseignants inconscients diffuser un texte aussi sulfureux ?

Analysons la première ligne de cette fable : "Maître Corbeau, sur un arbre perché". On y compte 29 lettres dont 13 voyelles, notons que 29 et 13 sont des nombres premiers , et si on multiplie 29*13 on obtient 377, encore un nombre premier, curieuse coincidence. Mais ce qui plus troublant est que 377 est la distance exacte en Krumgoren (ancienne mesure mérovingienne tombée en désuétude) entre le centre des alignements de Carnac et le centre de l'église de Rennes le Chateau.

Plus curieux encore ,si on ajoute 666 (le chiffre de la bête) à 377, nous obtenons 1043 soit la distance exacte en kilomètres entre Carnac et Rennes le Chateau, si on fait un détour par Montluçon, ville natale du beau frère de La Fontaine. Carnac, Rennes le Château , Montluçon trois lieux mytiques, peut-on encore parler de coincidence ? Sur une carte, relions Carnac et Rennes le Chateau par une ligne, puis tirons à partir de chaque extrémités de cette ligne une droite jusque Montluçon, nous obtenons un triangle, base d'un pentagramme étoilé (ou pentacle magique structuré selon le Nombre d'Or ).

Pentacle1&2.jpg



Analyse du second vers

Les autres sommets de ce pentacle étant clairement définis dans le second vers de la fable : Tenait en son bec un fromage. Le message, limpide, saute aux yeux, les premières lettres de chaque mot de cette ligne ( T E S B U F) correspondent aux premières lettres d'une suite de villes se situant trés exactement sur un axe tellurique bien connu des radiesthésistes, reliant TRAPPES (Yvelines) à FEURS (Loire). Suivons cette ligne T E S B U F, partant de Trappes, nous passons par E Etampes,S Sermaises, B Beaune La Rolande, U Vichy (U s'ecrit V à l'époque de La Fontaine) et atteignons F FEURS.
Continuons l’analyse du texte, Maître renard par l'odeur alléché, le code devient plus complexe, après bien des essais infructueux j’ai enfin découvert que ce vers nous renvoyaient au naufrage d’un navire en 1623. Le nom du navire en question est plus que troublant, le Renard. Ce fier vaisseau avait quitté Bordeaux le 13 février 1623 pour se rendre aux Indes et rapporter des épices (par l’odeur alléché), il sombra une semaine plus tard le 20 février 1623 soit 28 ans avant que la Fontaine écrive « Le Renard et le Corbeau », or le nombre 28 est également le nombre de lettres contenues dans ce troisième vers, encore une coincidence. De récentes recherches , non dévoilées au public, ont permis de localiser, dans le golfe de Gascogne, le lieu du naufrage du Renard, à la latitude Nord 44°34,04 et longitude Ouest 02°27,45. Reportons ce point sur notre carte, nous avons maintenant les six sommets d’un pentacle que nous pouvons étabir comme le montre la carte fig 2.

Millevaches.jpg




Analyse du troisième vers

Le vers suivant : Lui tint à peu près ce langage, indique que l’auteur dévoile une incertitude. Sinon pourquoi spécifier « à peu près » ? La Fontaine nous apprend ici qu’il connait « à peu près ce langage ». De quel langage s’agit-il, ce ne peut-être que le grec car chacun sait les fables de la Fontaine sont une traduction « à peu près » des fables d’Esope écrites en grec. Je reviendrai plus tard sur cette indication précieuse. Concentrons maintenant notre attention sur le centre du pentacle bâti à partir des points révélés dans la fable, nous pouvons étabilr un nouveau pentacle en son centre et chercher sur une carte à quel lieu correspond le périmètre défini. Il s’agit là encore d’un lieu hautement symbolique, vérifiez vous méme sur une carte, vous trouverez comme moi le PLATEAU DES MILLE VACHES. Mille vaches pour faire un fromage tenu en son bec par Maître Corbeau. Mais que l'on ne s'y trompe pas , ce n'est pas de fromage dont il est question mais de viande, de viande de vache pour être plus précis comme l'indique clairement le texte d’Esope:

Corbeaugrec.jpg



Le texte grec nous apprend "Un corbeau, ayant volé de la viande " . Pourquoi de tels écarts dans les deux textes ? Le troisième vers prends là tout son sens il s’agit d’une traduction « à peu près » Il faut comprendre que le corbeau ne tient pas un fromage, mais de la viande de vache, et pour aller dans le sens caché du texte : UNE VACHE ENTIERE ! Nous apprenons ainsi que de simples corbeaux dotés d’une force extraordinaire , extraterrestre pourrait-on dire sont capables de soulever une vache. On sait que de nombreuses apparitions d’ovnis sont régulièrement signalés sur le plateau des mille vaches.Les lecteurs ayant passé la cinquantaine ne manqueront pas de faire ici un rapprochement avec la campagne de pub des années soixante: "SUIVEZ LE BOEUF !" qui s'est déroulée pendant une période faste en apparitions d'ovnis. Encore une coïncidence. Les faits sont établis, les visiteurs de lointaines galaxies se livrent sur le plateau des milles vaches à de stupéfiantes expériences sur des corbeaux, le phénomène connu d’Esope a été ré-écrit au XVII par Jean de La Fontaine, qui n’était pas le gentil fabuliste que l’on nous dépeint, mais un agent de puissances hyper-galactiques qui a laissé dans ces écrits de nombreuses indications pour les visiteurs d’autres mondes. Pour qui sait lire et voir entre les lignes on comprend aisément que les « Fables de la Fontaine » sont une sorte de guide du routard pour des envahisseurs de type EBE de la galaxie du Reticule comme je le prouverai dans les prochains chapitres de mon exposé. Alors messieurs les enseignants, de grâce, arrêtez de pourrir notre jeunesse avec ces textes d’un autre monde.

Cette illustration des phénomènes paranormaux du plateau des mille vaches est fidèle au texte d’Esope dans lequel il n’est pas spécifié que le corbeau tenait la vache dans son bec.



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