Un article de la désencyclopédie.
Mesdames et messieurs, préparez-vous à assister à un grand moment littéraire !
(Note : Toute ressemblance avec la chanson "Requiem pour un fou" est tout-à-fait normale)
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Je vous préviens n'approchez pas
Que vous soyez lecteur ou rédacteur
Je tue celui qui fait un pas
Je ne ferai pas de faveur
Éteignez tous vos ordinateurs
Et baissez ces souris braquées
Non le con c'est pas moi, c'est Pruster !
Dites à tous, dites aux pasteurs
Qu'ailleurs ils aillent le pendre
Le diable est passé de bonne heure
Et son âme n'est plus à vendre
Si vous le laissez vivre encore cette nuit
Sa fuite sauvera sa misérable vie
La vie du con, la vie de Pruster !
Il n'était qu'un fou, mais par sa bêtise
Il a fait de certains des fous, pleins de sottises
Quand ils ont vu ses écrits sots, pleins de rancœur
Ils ont mis fin à leurs jours, se transperçant le coeur
A cause des écrits du con, des écrits de Pruster
Il faut le tuer pour soulager notre haine
Pour continuer à vivre, il faut qu'il meure
Prenons la vie du con, la vie de Pruster !
Le jour se lève, la nuit pâlit
Les chasseurs et les chiens ont faim
C'est l'heure de sonner l'hallali
Et de donner ce corps à manger aux chiens
Je vais ouvrir grand les volets
Crevez-lui le cœur je suis prêt
Je veux le voir s'endormir pour toujours
Près de la mort. (Crève Pruster !)
Il n'était qu'un fou, mais par sa bêtise
Il a fait de certains des fous, pleins de sottises
Quand ils ont vu ses écrits sots, pleins de rancœur
Ils ont mis fin à leurs jours, se transperçant le cœur
A cause des écrits du con, des écrits de Pruster
On l'a tué pour soulager notre haine
Pour continuer à vivre, il a fallut qu'il meure
Ce con de Pruster, ce con de Pruster !
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