Utilisateur:Monsieur Brouillon/Faites l'amour, pas la guerre
Êtes-vous d'accord avec l'expression suivante ?
« Faites l'amour, pas la guerre »
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Pourquoi ?
- Parce que je préfère faire l'amour que la guerre.
- Parce que je n'aime pas la guerre.
- Parce que je n'ai pas de mitraillette.
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Pourquoi ?
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Vous ne savez pas ou vous ne voulez pas répondre ?
- Je n'ai sérieusement aucune opinion à ce sujet.
- Ça me regarde !
- En fait, je me suis trompé, je voulais répondre quelque chose.
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Ça signifie que vous aimez quand même la guerre, alors.
- Ah non, j'ai pas dit ça !
- Oui, mais si j'ai le choix entre l'amour et la guerre, je prends l'amour.
- Le pied ce serait quand même de faire les deux en même temps.
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Au fond, on est pareil tous les deux. Pourtant, je n'ai pas l'impression de ressembler à un bitnik et je n'ai absolument pas envie de le devenir : la drogue me rend malade.
- Moi, c'est pareil.
- Ah ? Non, moi j'aime bien.
- Pour tout vous dire, j'ai jamais essayé.
- Ça vous dérange si on parle d'autre chose ?
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Tenez :
Montrez-moi comment vous vous débrouillez avec ça, soldat !
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Vous aimez tuer des gens ? Mais c'est horrible, vous vous rendez compte de ce que vous dites ?
- Quoi, pas vous ? Vous devriez essayer, c'est super drôle !
- Que voulez-vous dire ?
- Pardon, en fait je plaisantais.
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Vous êtes timide ? Ou moche ? Ou vous ne savez pas comment vous y prendre ?
- Cela n'a rien à voir. J'arrive à mettre n'importe quelle nana dans mon lit.
- Non, c'est juste que ... je l'ai jamais fait.
- Nous ne sommes pas amis, je n'ai pas envie d'en parler avec vous.
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Ah, alors si ça ne vous intéresse pas je ne vois pas pourquoi on parle. Autant discuter des activités financières du Tennis Club de Montluçon, qui, comme par hasard, ne sont jamais évoquées par nos dirigeants et nos journalistes, preuve du tabou que représentent les activités mafieuses dissimulées derrière la plus innocente des associations.
- Pardon d'insister mais tout ce que vous dîtes, depuis le départ, est totalement inintéressant.
- C'est honteux ! Tiens, saviez-vous que le onze septembre n'était qu'un complot ? Qu'en réalité c'était le treize ?
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Vous pouvez tout me dire, ça restera entre nous ...
- Va chier !
- Non, je préfère m'en aller. À bientôt.
- Bon, d'accord, mais je sais plus où j'en étais ...
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Alors ? Vous êtes d'accord avec cette expression ?
« Faites l'amour, pas la guerre »
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Vous le faites exprès ?
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Allez, faites pas la tête ... Vous voulez quoi ?
- Sortir d'ici.
- Te briser ta tronche, espèce d'enflure !
- Pardon, je crois que je me suis énervé pour rien.
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Ça ne fait rien, mais quand même. Si vous voulez prendre cinq minutes pour réfléchir, ça ne me pose aucun problème.
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Bon, je vais essayer de simplifier la question. Vous connaissez cette expression j'imagine, vous l'avez certainement entendue des centaines de fois sans vraiment savoir d'où elle venait, ce qu'elle signifiait, ce qu'elle impliquant et pire, si vous étiez en accord avec cette proposition d'avoir des rapports sexuels plutôt que des rapports belliqueux.
Cette idée particulièrement saugrenue, vous en conviendrez (mais loin de moi l'intention d'influencer votre jugement), est apparue au cours des évènements de mai 68, au 18e siècle. Hu Jin Dupont est né en 1733. C'est important de le préciser, car il est de la génération de ces franco-chinois qui ont émigré en masse pour se convertir au bouddhisme.
- Excusez-moi de vous couper, mais je suis moine bouddhiste moi-même, et je connais cette histoire par coeur.
- Euh ... ça va être long ? Parce que j'en ai rien à foutre.
- Vous êtes historien ? Parce que vous avez une manière tout à fait passionnante de raconter les évènements.
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On se tutoie ? Très bien, tu veux la bagarre, tu vas l'avoir ta bagarre. Mais d'abord, Clique ici.
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Bon, d'accord, mais c'est la dernière fois. Alors, vous êtes d'accord avec l'expression ?
« Faites l'amour, pas la guerre »
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Pardon, on s'est mal compris alors. Donc, si je résume, vous préférez faire l'amour. Mais si c'est pas trop indiscret, pourquoi ?
- En fait, oui, c'est indiscret.
- Si vous posez la question, c'est que vous n'avez jamais essayé.
- Que voulez-vous, je suis un(e) romantique ...
- Parce qu'ils/elles en redemandent !
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Imaginez : vous n'avez pas le choix et on vous envoie à la guerre. Qu'est-ce que vous faites ?
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Vous êtes un genre de Rambo quoi : des muscles en acier avec un coeur en mousse.
- Tu veux tâter de mon coeur en mousse, fumier ?
- Euh non, ce serait quelque peu exagéré.
- Oui, voilà, on peut dire ça !
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Tiens, c'est bête, moi non plus. Et en plus j'ai pas trouvé d'autre astuce pour me sortir d'un tel cul-de-sac. Quelle faiblesse de ma part. Je mériterais d'être dénoncé au TASCSIAR (le Tribunal pour Auteurs qui ne Savent pas Comment s'en Sortir et qui Inventent des Acronymes à Rallonge).
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Tu sais très bien que ce tribunal n'existe pas. |
Et alors ? On pourrait l'inventer ! Parce que des ASCSIAR, y en a des tas, et j'en suis le parfait exemple.
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Signifie-ce que tu te considères comme un gros tas ? |
Hey, c'est moi qui pose des questions ici !
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| On va pas s'en sortir. On reprend au point 11 ? |
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N'importe quoi. Demandez aux nanas aux cheveux colorés.
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Je m'étais endormie ... |
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La nana aux cheveux rouges dit : |
| C'est le plus mauvais souvenir de toutes mes existences ! |
Comment ça, mes ? Au secours ! Une métempsycopathe ! Va-t-en, malheureuse, ou tu seras brûlée vive !
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Ah, je vois. Eh bien, prouvez-le !
Nana aux cheveux bleus, je vous présente le lecteur. Lecteur, voici la nana aux cheveux bleus.
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Enchantée. |
- Isolons-nous quelques instants ...
- Vous n'avez personne d'autre à me présenter ?
- Pardonnez-moi, mais j'ai fait voeu de ne pas céder aux plaisirs terrestres.
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C'est ça, ouais. Je demande à voir ça ... Tenez : montrez-moi.
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Bonjour ! |
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Comment ça, vous croyez à la réincarnation, vous aussi ? Théocrate ! Vous faites les gentils, vous dites
« Faites l'amour, pas la guerre »
et par derrière vous conspirez contre le gouvernement chinois ! Je vous ai démasqué !
GARDES !
- Mais arrêtez, c'est ridicule !
- Je suis sûr qu'on peut discuter ...
- Ouais, c'est ça, j'suis bouddhiste. Et j'vais te casser la gueule !
- Oula, ça sent le roussi ! Je me tire !
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Qu'est-ce qui est ridicule ? Moi j'suis ridicule ? Tu t'es vu, avec ton rideau orange sur l'épaule ? Ça va, t'as pas froid au bras droit ?
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Discuter ? Avec vous, vermine ? Plutôt crever dans un duel : voyez le râtelier, là-bas, saisissez-vous d'une épée, et combattez avec bravoure !
- Puisque je n'ai pas le choix, en garde ! Moucheron !
- Mais voyons, nous avons le choix. Celui de ne pas se haïr !
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Bon, j'me tire.
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Haha. Bien fait pour vous. Alors, vous ne voulez toujours pas faire la guerre ?
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Je vais prendre soin de vous. J'aime bien les chauves. Et pour vous occuper, je vais vous raconter une histoire drôle. C'est ... |
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La nana aux cheveux rouges dit : |
| Et là ils répondent « On s'tait caché ! » (steak haché ...) |
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Ah non merde, comment tu savais que j'allais raconter celle-ci ? Bon, une autre : |
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La nana aux cheveux rouges dit : |
| Il fait chaud et beau ! |
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Mais tu m'emmerdes, comment tu savais que j'allais faire la contrepèterie belge ? |
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À la bonne heure ! Vous avez une arme ?
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COMMENT ? HANS ! UN DESERTEUR !
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Allez donc dérouiller celui qui vous a vendu votre Bescherelle ...
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Pas si vite, soldat. Je plaisantais. Autant pour moi.
En fait, je voudrais que vous placiez une pomme sur la tête de la nana aux cheveux bleus, et que vous la butassiez.
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Qu'entends-je ? Il en est absolument hors de question ! Placez de l'alimentation sur la tête de quelqu'un d'autre. Mais sur la mienne, jamais ! Vous m'entendez ? Jamais ! |
Allez ... un p'tit effort ... Une pomme en cire, ça vous ira ?
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Bon ... va pour la cire ... |
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Attendez une minute. J'ai pas l'impression que le lecteur sache manipuler cet engin ! Je tiens à sauvegarder ma pomme ! |
- Ah, elle est très drôle, en fait ! Je ne veux pas risquer sa vie.
- Attention, le petit oiseau va sortir !
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Comment ? Vous discutez l'ordre d'un supérieur ? En joue ...
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C'est moi qui ai tiré sur la nana.
- Bien joué, cousin !
- Vous êtes un monstre ! Je m'en vais !
- Gloups, je ferais bien de me tenir à carreau. Haha, elle est bonne non ?
- Et dire qu'on se connaissait à peine ...
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Comment ça ? Vous voulez dire que ...
Non, ce n'est pas possible. Mon cousin a disparu dans un attentat à la bombe, à Bombay.
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Si vous partez, je vous tire dessus. Soyez prévenu.
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La nana ? Non, elle est morte, elle est pas bonne.
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Je vous ai eus, tous les deux ! J'avais un gilet pare balle ! |
Damned !
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Pourquoi tenez-vous tant à cette fille ? Elle m'appartient et elle a beaucoup de valeur, ne croyez pas que je vais la partager si on la retrouve. Je pourrai éventuellement écrire un sketch entre vous et elle, mais ce sera le maximum : au final, elle me reviendra. J'espère que c'est clair ?
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Mais ... qu'est-ce que vous faites ? Mais, toi, au lieu d'écrire, fais quelque chose ! |
Moi ? Mais je suis l'auteur. Et en tant que tel, je décide de ce qu'il se passe. Et pour l'instant, je trouve qu'il se débrouille bien avec ... OH MON DIEU, MAIS QU'EST-CE QUE C'EST QUE ÇA !?
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Désolé, mais c'est la haute saison. Il ne me reste plus qu'elle. Ou des mitraillettes. Vous en voulez une ?
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Moi c'est pareil. Je me réserve pour dans une ou deux réincarnations. |
Mais qu'est-ce que c'est que ces salades ?
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| J'ai dit point 11 ! |
Oups. Pardon.
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Tiens, c'est amusant qu'on ait autant de points communs. Vous croyez qu'on en a d'autres ? Allez, on essaie : je déteste l'hypocrisie, la méchanceté et les mauvaises odeurs.
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Ah ? Et ... il vous en reste ? C'est pas pour moi hein, j'ai un cousin qui avait de sérieux problèmes de drogue avant de disparaître, et j'aimerais m'en servir comme appât pour le faire revenir.
- Je ... j'avais justement de sérieux problèmes de drogue avant de disparaître. Je crois que je suis ton cousin !
- Crève. Je te donnerai jamais de ma drogue.
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C'est courageux de votre part d'avouer que vous n'avez jamais expérimenté telle chose. Je ne sais pas pourquoi, mais je n'ai pas confiance en vous. Vous me cachez quelque chose et je vais le découvrir, croyez-moi.
C'est un drôle d'accoutrement que vous portez là, me semble-t-il.
- Eh, je suis pas venu ici pour qu'on se foute ma gueule !
- Vous parlez de mon habit orangé ? Mon ordre me l'impose, mon ami.
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Complètement dingue, en effet ! Autre chose : je ne suis pas bouddhiste. Je les déteste.
- Ah, moi si.
- J'suis pas bouddhiste, mais j'te trouve débile de les détester ...
- Moi c'est pareil. Je préfère les lapins.
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Je vous aime bien. Pour la peine, vous gagnez une image :
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Espèce d'immonde personnage !
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Mais c'est ignoble ! Au secours ! Un fou furieux ! Dans MON lectorat ! Qu'on me le vire d'ici ! HANS !
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Et bien, dans la région, il est plutôt mal vu de tuer. Par contre, dans d'autres endroits de la planète, c'est pratique courante.
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Moi ? |
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Tu sais ce qu'il te dit le tâcheron ? Clique ici !
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Je suis un nettoyeur et j'hercule les poneys. CASSEZ-VOUS ! |
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Ne laisse pas s'approcher de moi ! À l'aide ! |
Euh ... oui, j'suis d'accord, c'est un peu limite.
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Un peu limite ? Tu te fous de moi !? |
Euh ... oui, j'suis d'accord, c'est carrément exagéré. Il va me l'esquinter.
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| Te l'esquinter ? Te la pulvériser, oui ! Au secours ! À moi ! |
- Merde, elle se tire ! Rattrapons-la !
- Bon, tant pis pour elle. Je vais m'occuper de toi, auteur de merde !
- Bon, tant pis pour elle. Ça te dirait une nouvelle expérience ?
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(rires) Mais c'est quoi (rires) cette (rires) b(rires) ? Regardez la taille (rires) de (rires) ce truc !
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La nana aux cheveux bleus dit : |
| C'est pas très sympa de se moquer ainsi du physique d'autrui. Figure-toi qu'il sait sûrement s'en servir beaucoup mieux que toi. Comme disait Maxime : « Vaut mieux un petit serpent qui frétille qu'un gros qui roupille ». Mais c'est vrai que là ... (rires). |
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J'aime autant pas.
Et ne prenez pas cet air menaçant avec moi.
Un pas de plus et je m'occuperai personnellement de vous.
Je veux dire par là que j'appellerai personnellement quelqu'un qui s'occupera de vous.
Très bien, vous l'aurez voulu : HANS !
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Oui. Pardon on s'est un peu égaré. Je suppose que vous voulez partir ?
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Tu me prends pour un pleutre ? Tu as à faire à la plus fine lame du pays, et personne ne peut m'intimider !
- (Attendre l'erreur et porter l'estocade.)
- (Provoquer l'erreur et porter l'estocade.)
- (Faire une erreur et se faire transpercer l'estomac.)
- (Se transpercer l'estomac.)
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Haha, tu crois vraiment que je vais baisser ma garde ? Prends ça !
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Attention, tu vas te blesser. C'est coupant ! Tu t'y prends vraiment comme un manche ...
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HAHA ! Te voilà à ma merci !
_____ / \ // \\ d -= =- b \ ___ / \_____/ |
ROFLMAOZEDONG dit : |
| Ce perfide auteur a lancé des peaux de bananes au sol ! Mais le fourbe n'a pas inventé l'eau chaude : lance-lui du sable à la figure, il sera ainsi déstabilisé et tu pourras lui faire faire ce que tu veux ! |
Une minute, comment se fait-il qu'un chinois vous donne des tuyaux ?
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Aaaah ! Mes yeix ! Je ne void plud mom vlavier !
_____ / \ // \\ d -= =- b \ ___ / \_____/ |
ROFLMAOZEDONG dit : |
| Ça y est, il ne peut plus écrire ! Tu as gagné ! Bravo ! |
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Par là, je suis sûr qu'elle est allée à Pise !
- OK ! Allons-y !
- Pise ? Pourquoi Pise ? T'as pas une idée encore plus débile, crétin ?
- Je préférerais aller à Naples, si ça ne vous dérange pas.
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On en discutera après, voulez-vous ? Le temps qu'on détermine les clauses du contrat, elle sera bien loin.
Quoique non, attendez, j'ai une vieux contrat qu'il me reste pour la location d'une mobylette.
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Regardez, un cheveu bleu ! Elle est passée par ici. Le cheveu pointe dans la direction de Pompeï ! On est proche du but !
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|
L'esprit de Thierry Gilardi, en direct sur TF1 : |
| Oh lalalala, je crois bien avoir entendu un coup de feu ! |
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C'est bien. Vous devenez raisonnable. Maintenant amusez-moi, ou je vous tire dessus.
- Regardez comme je suis doué aux claquettes !
- J'ai deeeeeux amouuuuuuuuuurs ...
- C'est toto qui va à la pharmacie ...
- Vous ne devinerez jamais ce que j'ai lu dans le Figaro ! Le président de la République française est gentil !
- Non.
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Tant pis pour vous.
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HAHAHAHAHAHAHAHA !
BWAAAAAHAHAHA !
Oh merde. Le ... AAAAAAAAAAAAAAAAAHAHAHAHAHA ! NON !
Elle est terrible ! AAAAAHAHAHA ! HAHA ! AHAHAHAH !
J'étouffe ! AAAAAAAAAAHAHAHAHA.
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Bon. Assez ri. Tu vas répondre à ma question, à présent.
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Ah, c'est gentil. D'habitude on m'envoie paître. Je poursuis ?
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Vous êtes sérieux ?
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Parce qu'à chaque fois que je raconte une histoire, les gens, au mieux s'en vont, au pire m'insultent.
- Et à juste titre. Est-ce que tu vas la fermer maintenant, simplet ?
- Et bien les gens sont des imbéciles. Poursuivez je vous prie.
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Ça cache quelque chose. Vous allez me suriner ? M'égorger ? M'étriper ? Ou pire, voler mon portefeuille ?
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Bingo ! J'ai réussi à vous faire répondre : vous préférez l'amour à la guerre.
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Vous avez tort de ne pas coopérer. Et je crois savoir que vous avez sur vous ce qui m'appartient. Je vais donc m'en approprier. Si vous n'y voyez pas d'inconvénient.
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Oh lala ! C'est pas possible ! À peine on fait une remarque et tout de suite vous montez sur vos grands chevaux !
OK, je n'ai pas inventé le fil à couper l'eau chaude. OK, je n'ai pas un coefficient intellectuel énorme. OK, j'ai des chaussures à velcro. Mais je suis un être humain, avec ses sentiments et ses faiblesses, et je n'autoriserai personne à me prendre de haut, Môsieur j'me-la-joue. Je vais donc vous demander de ravaler votre fierté et de descendre de votre petit nuage : la Vie n'est pas un rapport de force, c'est un bateau dans lequel nous sommes tous des galériens, ramant au travers d'une tempête.
OK, je ne suis pas doué pour fabriquer des métaphores. Mais j'ai ma dignité d'Homme. Et personne, pas même vous, ne me l'enlèvera.
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Ne prenez pas cet air navré ridicule. Ça ne trompe personne.
J'en ai marre, marre, marre, marre, marre et marre !
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Bien. À présent, prenez une demoiselle. Si possible, avec des cheveux bleus.
Posez-la là. Là. Non, là. Voilà.
Posez-lui une pomme sur la tête. Non. Sur le sommet du crâne. De manière à ce qu'elle tienne, évidemment. Un peu plus à droite. Voilà.
Reculez de deux bonnes douzaines de pas. Encore un peu. Encore un peu. Encore un tout petit peu. Voilà
Maintenant, visez. La pomme, pas la personne qui se trouve dessous, évidemment. Plus haut. Plus haut. Non, un poil plus bas. Voilà.
Tirez, à présent.
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C'est impossible, puisque le treize j'étais à l'assemblée générale de l'Association des Racistes et des Anti-anti-racistes, au cours de laquelle nous parlions de la problématique de l'invasion sinophone. Tenez, à Paris, ils ne sont pas moins de quarante millions. Alors nous avons inventé un dispositif qui intègre les plus hautes technologies de biométrique et d'armement pour éliminer de façon sûre, rapide et automatique les profils à risque.
Attendez, je vous la montre. Voyez comme cette arme est maniable ? Un bijou de technologie : là j'ai chargé l'arme, elle cible automatiquement les individus qui correspondent à la liste des profils que j'ai préalablement insérée. Évidemment je peux tout aussi bien tirer manuellement.
- Vous êtes un monstre ! Et ne pointez pas ceci sur moi !
- Top classe ! Si vous me donneriez une cible, ça serais un plaisir de l'éliminer.
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Faites attention !
Vous risquez de tourner en rond !
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Mince ! On est allé un peu trop loin !
