Utilisateur:Monsieur Brouillon/Karl Marx
Qui n'a jamais entendu parler de Karl Marx, mais parmi les milliards[2] de prolos qui se réclament de sa pensée unique[3] partout dans le monde, combien ont lus l’intégralité de ses livres et de ses discours et parmi ces courageux combien en ont captés la substantifique moelle ? Pas beaucoup, peut-être Oliver Besancenot et encore je doute que les écrits de Marx soient passés comme une lettre à la Poste dans son esprit.
Ce modeste article biographique à la prétention de vous faire comprendre qui était Karl Marx, sa pensée. Nous nous fixerons comme objectif : au minimum comme l’ont compris nos principaux leaders politiques se réclamant du marxisme.
Jeunesse
Le quatrième, le plus beau, le plus intelligent, le plus spirituel, le plus rêveur mais aussi le moins marrant et le plus casse-couilles des Frères Marx, les célèbres Marx Brothers, Karl Marx est né à New York en 18xx dans une famille d’immigrants Juif-allemand fuyant le nazisme.
Paradoxalement, bien qu’étant d’origine immigrés, ses parents étaient très riches puisqu’ils étaient juifs et le petit Karl aurait pu et même du profiter d’une jeunesse dorée. Sa voie était déjà toute tracée, des études de droit puis peu importe qu’il les aient réussit ou non, papa lui aurait trouvé un poste haut-placé dans les hautes sphères d’un building. Pourtant Karl ne fit jamais de droit, il fit tout de travers et il rejeta violemment l’autorité paternelle pour mener une vie de révolte.
Analyse psychologique par Gérard Miller |
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Dès les premiers affres de l’adolescence rebelle, il est éveillé à la philosophie, et la xxxx, dommages collatéraux de son initiation à la consommation de drogues dans les squats de beatniks[5] débauchés de la Grosse Pomme qu’il fréquente. Karl apprend beaucoup de ce groupe de contestataires hippies pré-woodstockien[6], ses camarades de fumette Hegel et Engels, lui expose un modèle de société alternatif prônant l’anarchie maitrisée destinée à remplacer la société bourgeoise de consommation.
Désormais parfaitement intégré dans sa communauté, il est également initié à la collectivisation des joints, des femmes et des fions, des ébats anarchiques qui lui vaudront ses premiers démêlés avec la Police, lui faisant développer une haine viscérale pour ses pourritures de flics capitalistes empêcheur d’anarchiser en rond.
La révélation
Marx a toujours développé une fascination, une obsession pour la planète qui porte son nom, Mars, la rouge. Il rêvait d’être le premier homme à y poser sa barbe. Chose difficile puisque à cette époque Armstrong n’avait pas commencé à se doper et n’avait du coup pas encore réussi à faire du vélo sur la lune, alors sur Mars, il faudrait trouver autre chose que de l’EPO[7].
Un jour, Marx fit un drôle de rêve, était il éveillé ou non, à jeun ou sous l’effet de la marijuana, nous ne pouvons répondre, en revanche il rêva en couleur, d’une couleur : en rouge.
Il emprunta un couloir de lumière rouge qui déboucha sur une planète rouge habitée par une créature non pas rouge mais faite d’une sorte de matière grise. Cet alien se présenta comme le dieu Soviet et révéla à Karl au cours d’un discours qui dura plusieurs jours, des réponses à des questions existentielles.
Il imprima dans le cerveau de notre barbu envapé, le concept de luttes des classes, de collectivisme, de grève et quantité d’autres théories
A son réveil, Marx n’était plus le même homme, s’il était déjà pédant avant le rêve, désormais il xxxxx était plus donneur de leçon que/qu’un xxx
Il se mit à écrire des tas de livres, donner des discours et ne cessa de xxxxx
Ses théories
La théorie de la lutte des classes : preuves irréfutables
La chaine alimentaire
Bourgeoisie vs prolétariat
Lutte des classes à l'école
Une chaine alimentaire particulière : Macdonald
Théorie de l’Homo Sovieticus
la rééducation par le froid : la cryogénie du corps et de l'esprit
Diffusion de ses idées
Soutien du père Noël
Presse et médias
Les VRP du marxisme
À l'école
Par l'évènementiel
Conversions de grands noms
La chute
Notes et références
- ↑ L'auteur de l'article est un bien piètre paparazzi et s'excuse de ne pas avoir réussi à prendre la photo sous un angle plus intéressant.
- ↑ Ben oui les chinois sont 1 milliard.
- ↑ Bon, ok les chinois n’ont pas le choix, ils sont obligés de l'aimer.
- ↑ Merci également à Syllis pour toute cette pertinence épistémologique
- ↑ Un beatnik est un jeune hippie encore refoulé, on le reconnait à ses cheveux et à sa barbe clairsemée et pas encore bien longue
- ↑ nous sommes alors en plein dans le xxx, la période qui précède le Woodstockien dans la préhistoire du communisme
- ↑ Il n’avait pas encore chopé sa nécrose des coucougnettes d’ailleurs