Utilisateur:Monsieur Brouillon/Karl Marx

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« Les longs discours sont l’opium du peuple. »


« L'opium est l'opium de l'opium ! »


« Les moyens justifient la faim ! »
~ Karl Marx à propos de la nécessité d'imposer ses idées.


« Un Marx est ça repart ! »
~ Un célèbre Spot publicitaire à propos de Karl Marx


Hihi ! Et moi je lui ai donné ma petite culotte pour pouvoir m'assoir sur ses genoux ![1]
« Un détail de l’histoire ! »
~ Jean-Marie Le Pen à propos de Karl Marx


« J’échangerais dix Arielle pour passer une seule soirée avec lui ! »


« Et moi ma Rolex et ma Ferrari pour me faire un rail avec lui ! »


« Camarades ! Le capitalisme, c'est l'exploitation de l'homme par l'homme. Le communisme, c'est le contraire. »


« Le Capital, c'est comme l'annuaire : on tourne trois pages et on décroche. »
~ Pierre Desproges à propos du Capital.


« Pourquoi j'ai ouvert ce putain de bouquin ?! »
~ Léon Trotsky à propos du Capital, le jour de son assassinat.


Qui n'a jamais entendu parler de Karl Marx, mais parmi les milliards[2] de prolos qui se réclament de sa pensée unique[3] partout dans le monde, combien ont lus l’intégralité de ses livres et de ses discours et parmi ces courageux combien en ont captés la substantifique moelle ? Pas beaucoup, peut-être Oliver Besancenot et encore je doute que les écrits de Marx soient passés comme une lettre à la Poste dans son esprit.

Ce modeste article biographique à la prétention de vous faire comprendre qui était Karl Marx, sa pensée. Nous nous fixerons comme objectif : au minimum comme l’ont compris nos principaux leaders politiques se réclamant du marxisme.

Jeunesse

Le quatrième, le plus beau, le plus intelligent, le plus spirituel, le plus rêveur mais aussi le moins marrant et le plus casse-couilles des Frères Marx, les célèbres Marx Brothers, Karl Marx est né à New York en 18xx dans une famille d’immigrants Juif-allemand fuyant le nazisme.

Paradoxalement, bien qu’étant d’origine immigrés, ses parents étaient très riches puisqu’ils étaient juifs et le petit Karl aurait pu et même du profiter d’une jeunesse dorée. Sa voie était déjà toute tracée, des études de droit puis peu importe qu’il les aient réussit ou non, papa lui aurait trouvé un poste haut-placé dans les hautes sphères d’un building. Pourtant Karl ne fit jamais de droit, il fit tout de travers et il rejeta violemment l’autorité paternelle pour mener une vie de révolte.


Analyse psychologique par Gérard Miller
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En étudiant la dialectique psycho-cognitive de Karl Marx, il saute aux yeux qu'il n'a jamais réussi à réaliser son rêve refoulé le plus cher à savoir coucher avec sa mère pour satisfaire son complexe d’Oedipe. Enfermés dans ce cocon de frustration suggéré par son inconscient il n'a de par ce fait jamais pu désacraliser l'image du père, le poussant à considérer son paternel comme un gros porc de bourgeois parvenu. Comme le ferait remarquer mon mentor Sigmund Freud, Nous faisons face à un jeune homme qui rejette en bloc les idées du parti socialiste[4].



Dès les premiers affres de l’adolescence rebelle, il est éveillé à la philosophie, et la xxxx, dommages collatéraux de son initiation à la consommation de drogues dans les squats de beatniks[5] débauchés de la Grosse Pomme qu’il fréquente. Karl apprend beaucoup de ce groupe de contestataires hippies pré-woodstockien[6], ses camarades de fumette Hegel et Engels, lui expose un modèle de société alternatif prônant l’anarchie maitrisée destinée à remplacer la société bourgeoise de consommation.

Désormais parfaitement intégré dans sa communauté, il est également initié à la collectivisation des joints, des femmes et des fions, des ébats anarchiques qui lui vaudront ses premiers démêlés avec la Police, lui faisant développer une haine viscérale pour ses pourritures de flics capitalistes empêcheur d’anarchiser en rond.


La révélation

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Marx a toujours développé une fascination, une obsession pour la planète qui porte son nom, Mars, la rouge. Il rêvait d’être le premier homme à y poser sa barbe. Chose difficile puisque à cette époque Armstrong n’avait pas commencé à se doper et n’avait du coup pas encore réussi à faire du vélo sur la lune, alors sur Mars, il faudrait trouver autre chose que de l’EPO[7].

Un jour, Marx fit un drôle de rêve, était il éveillé ou non, à jeun ou sous l’effet de la marijuana, nous ne pouvons répondre, en revanche il rêva en couleur, d’une couleur : en rouge.

Il emprunta un couloir de lumière rouge qui déboucha sur une planète rouge habitée par une créature non pas rouge mais faite d’une sorte de matière grise. Cet alien se présenta comme le dieu Soviet et révéla à Karl au cours d’un discours qui dura plusieurs jours, des réponses à des questions existentielles.

Il imprima dans le cerveau de notre barbu envapé, le concept de luttes des classes, de collectivisme, de grève et quantité d’autres théories

A son réveil, Marx n’était plus le même homme, s’il était déjà pédant avant le rêve, désormais il xxxxx était plus donneur de leçon que/qu’un xxx

Il se mit à écrire des tas de livres, donner des discours et ne cessa de xxxxx

Ses théories

La théorie de la lutte des classes : preuves irréfutables

La chaine alimentaire

Bourgeoisie vs prolétariat

Lutte des classes à l'école

Une chaine alimentaire particulière : Macdonald

Théorie de l’Homo Sovieticus

la rééducation par le froid : la cryogénie du corps et de l'esprit

Diffusion de ses idées

Soutien du père Noël

Presse et médias

Les VRP du marxisme

À l'école

Par l'évènementiel

Conversions de grands noms

La chute

Notes et références

  1. L'auteur de l'article est un bien piètre paparazzi et s'excuse de ne pas avoir réussi à prendre la photo sous un angle plus intéressant.
  2. Ben oui les chinois sont 1 milliard.
  3. Bon, ok les chinois n’ont pas le choix, ils sont obligés de l'aimer.
  4. Merci également à Syllis pour toute cette pertinence épistémologique
  5. Un beatnik est un jeune hippie encore refoulé, on le reconnait à ses cheveux et à sa barbe clairsemée et pas encore bien longue
  6. nous sommes alors en plein dans le xxx, la période qui précède le Woodstockien dans la préhistoire du communisme
  7. Il n’avait pas encore chopé sa nécrose des coucougnettes d’ailleurs