Utilisateur:XySmith/Je hais Yoshkill
Parce que tous voulez la mort du petit cheval.
L'articl
Yoshkill est un être vil. Je le hais.
Que le diable se pare d'atours comiques et bon enfant, il ne mènera point ma barque vers le naufrage de son inculture. Qu'il ait 6, 8 ou intérieurement 10 ans, ponde des oeuvres-colliers de pâtes éclopées dans ma dÉsencyclopédie chérie comme ce personnage très peu scénique dans les ventres du film Alien, qu'il fasse éclore des monstres d'incongruités salafistes pour dévorer la morale judéo-chrétienne qui sous-tend chacune de ses lignes empreintes d'ingéniosité et d'humour aguerri, il ne tirera de moi qu'un cri de dédain pour lui et son ascendance. Qu'elle meurt pourrissante au fond des bois.
Yoshkill, Yosh, Yoshcool, M'Yoch, Yochet, danslafamilleBidochonlefilsj'aipastup'Yosh...tant de masques qu'il revêt pour noircir le blanc seing de la dÉ, scindée entre le Saint des saints des uns et les dessins de singe de cet autre malsain.
Nous y voilà, c'est exactement ça : je tu il, nous vous ont une haine farouche à Yoshkill. Ils elles le mal.
Et le voilà qui Hyde hors de mon temps, que j'ai fait, et de l'espace que je prends. Il répète et radote, récapépète et re-dingote de l'image comme du contrôle c, contrôle v, Entrée.
Il ne provoque que mauvais jeux de mots, sens mon doigt pervers et pets foireux.
Il enchaîne, circulaires, les redondances perpétuelles,
Répète à l'envi ses itérations cycliques, je le hais, je le hais, je le hais, Il saisit l'inspiration prise de panique, Qui le hait et lui adresse ses remontrances à elle. Elle le hait, elle le hait, elle le hait. |
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L'auteur érudit (ça veut dire sérieux) en humourologie de cet article dit : |
| Lol |
La créature lui échappe, nous échappe...m'écharpe en fait, et alors que s'échappe : ment. Tant d'acharnement... Petit loup fut l'éclair en chocolat dans ma pâle tisserie, où déconvenues pour des cons venus ont rendu le fil de mon génie, décousu.
C'est sûrement plus simple ainsi. FONDS ! FONDS ! Les petites marionnettes ne me ni ne lui obéissent plus. Le dernier obélisque qu'une nouvelle aube éclipse.
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L'auteur érudit (ça veut dire sérieux) en humourologie de cet article dit : |
| xD ^^ Zète tro bon lé 3 ! surtou lotre kon diré Jan Reno en tou peti vénère |
Qu'on en finisse...
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L'auteur érudit (ça veut dire sérieux) en humourologie de cet article dit : |
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?!
Mais...
Je suis l'âme de Yoshkill, celle qu'il semble avoir perdu ! Sa conscience ! Yosh sans conscience n'est que ruine de l'âme comme dirait l'autre !
C'est donc un aller sans retour et la fin de mon aller-retour. Je prends l'allée du dernier recours. L'impasse. Et manque, une dernière fois de friser le frisson, en laissant mon phrasé paraphraser mes phases d'images et leur manque d'horizon. Je préfère m'enfuir devant la mort que mourir. Pour mieux revenir. Pour mon prochain articl.
Aipilog
à mes amis disparus
Je fais sans le faire du Yosh, comme un cœur qui battrait à contre cœur. Chaque jour du long jour qu'est ma vie j'ajourne ma renaissance...je suis logué, je suis bloqué, je ne puis qu'épiloguer. Épitaphe après taf, ce qu'à la dÉ m'agrafe et ce que j'en fais balafre et la consume, taffe après taffe. Je n'ai plus d'idée, ni plus d'identité, j'écris du Yosh en vérité. Ne puis-je la qualité ? Je me suis fait à l'idée... Je me connecte, alité.
Aujourd'hui je l'ai osé, j'ai osé mon cri et j'ai osé le dire : je me hais, Yoshkill, et voulais me le dire.
Un jour, promis, j'écrirai autre chose. Pourvu que j'ose.