Zuwena Wokabi Diop

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Zuwena Wokabi Diop faisant du charme à sa copine.

Zuwena Wokabi Diop est une femme politique américaine, née le 8 mars 1977 en Floride. Femme politique noire féministe, aux origines diverses, athée, communiste et homosexuelle, elle s'est déclarée candidate à l'élection présidentielle de 2012 après l'espoir suscité par l'élection de Barack Obama et est pressentie pour le succéder.

Biographie

Jeunes années

Jeunes-jeunes années

Née le jour de l'instauration de la Journée internationale de la femme dans le pénis de l'Amérique, Zuwena Wokabi est issue d'une famille pauvre, aux origines zimbabwéennes, sénégalaises, cubaines, iraniennes, irakiennes et nord-coréennes.

Elle connut des conditions de vie très difficiles, devant affronter la violence des quartiers pauvres et devant travailler pour une entreprise de pompes funèbres dans laquelle elle essayait les cercueils et installaient les corps. Heureusement, forte de sa grande gueule, elle peut compter sur ses nombreux amis et proches. Toujours aussi bien entourée, certains de ses amis sont d'ailleurs certains de ses clients. Elle connait ainsi les vraies valeurs de l'amitié, pouvant compter sur eux pour fleurir le marché des pompes funèbres et lui empêcher d'être virée. Cette amitié est d'autant plus importante que le marché est concurrencé par l'Ukraine qui fait état de très nombreux clients potentiels suite à la catastrophe de Tchernobyl. Cette foutue Guerre Froide entre les États-Unis et l'URSS ne lui sert strictement à rien puisque n'apportant aucun client ; elle est la plus grosse arnaque du siècle aux yeux des entrepreneurs de pompes funèbres.

Pendant son adolescence, elle a été choquée des achats de produits de son père en provenance de Colombie et pour cause, il osa ramener des bananes, ce qui a été un sujet de conflit entre les deux. En effet, Zuwena Wokabi les lui volait et les laisser pourrir sur son chevet après utilisation. Cependant, elle détestait le goût de la banane, l'idée d'en ouvrir une la terrifiait ; elle préférait largement les abricots.

« Papa, maman, j'aime les abricots. »

~ Zuwena Wokabi Diop à propos de son coming-out sponsorisé par Andros.


Années un peu moins jeunes : La crise de la banane

Un vrai carnage...
Une banane (?) touchée par le conflit
Les meilleurs chirurgiens d'Afrique sont mobilisés pour les blessés amputés.

Communiste révolutionnaire, elle adhère au parti communiste américain et leur permet d'atteindre le seuil tant attendu des 10 adhérents. Elle s'impose très vite comme le leader du parti et se lance dans un boycott de la vente de banane. Le marché de la banane est déstabilisé, les cours de la bourse s'effondrent, les actionnaires se suicident et tandis que les principaux pays exportateurs s'en sortent grâce à d'autres produits, certains pays se cassent littéralement la gueule. Ce phénomène est surtout visible en Afrique où la banane est pour certains pays, la seule production. En effet, seuls les humains sont fertiles là-bas, on ne peut pas dire autant de leurs sols.

Les populations locales s'insurgent comme elles peuvent car les Africains commencent à trembler et à avoir du mal à marcher, si bien que les hommes marchent sur leur pénis. Malgré la famine et les problèmes de santé, une armée est composée avec comme chant de guerre : « Aux armes, Africains ! Sortez vos gros calibres ! Titubons, titubons ! Qu'un sang nouveau abreuve nos veines malades ! ». Et pour cause, les Africains veulent le sang (et la peau pour certains tribus) des occidentaux. Cependant, la cataracte, le glaucome et autres saloperies dont ils sont atteints leur empêchent de reconnaître aisément l'ennemi visé et tout finit en une guerre civile mais ce n'est qu'une de plus en Afrique.

De son côté, la responsable de ce beau bordel n'éprouve aucune compassion pour ses pairs de peau. Elle est même ravie de voir sa lutte contre la mondialisation porter ses fruits, la vente d'abricots ayant doublé son effectif.

Carrière politique

Débuts et essor

Zuwena Wokabi a beaucoup appris de la politique par sa vie amoureuse et sexuelle. En effet, elle s'oppose fermement à la langue de bois qui avait profondément blessé son ancienne compagne.

Depuis l'élection de Barack Obama, Zuwena Wokabi a organisé des meetings surprenants. Faisant du féminisme l'idée phare de son programme, elle prend pour coutume de choisir un homme au hasard préalablement pour le sacrifier. Par ailleurs, soucieuse de la santé de ses futurs votants et adhérents dans un pays où c'est chacun pour sa gueule, elle fait du cadavre de l'homme une piñata dont les bénéfices seront entièrement reversés aux supporters. Ainsi, grâce à des coups de bâtons, les pauvres types qui n'ont pas une bonne assurance peuvent se fournir de reins neufs, voire même un foie nouveau, le leur étant tellement pourri par l'alcoolisme que même un Chinois ne le mangerait pas.

« Yes, we killed a man ! »

~ Zuwena Wokabi Diop à propos du pauvre type sacrifié.


Présidente, sinon rien

L'ascension est extrêmement rapide. À cette époque, le parti communiste est, depuis peu, dirigé par un certain Lenguenmir Barbusky, le fils du feu précédent secrétaire. Mais il n'a de communiste que son prénom, se revendiquant ultralibéral. Mégalomane de son état, il devient peu à peu marteau en voyant que son parti avait perdu 10% de ses effectifs (soit 1 adhérent). Il finit par passer l'arme à gauche en raison de sa folie.

En janvier 2009, un congrès est alors organisé pour désigner le nouveau secrétaire et seule candidate, Zuwena Wokabi remporte glorieusement l'élection et apportera littéralement du sang neuf à son parti. Suivant ses principes féministes, elle refuse de se faire appeler secrétaire et s'autoproclamera présidente du Conseil des commissaires des sous-commissaires du peuple du parti communiste des Etats-Unis. Mais Zuwena Wokabi n'est non seulement présidente mais aussi méprisante vis-à-vis des autres adhérents avec lesquels elle prit ses distances. Encouragée par le président du Viatcheslavovitchistan, Alekseï Viatcheslavitch, Zuwena Wokabi mène une véritable dictature dans son bureau de 5m².


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