À la recherche du temps perdu

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Comme je dois écrire une étude sur ce livre cette œuvre pour mon DEUG de lettres modernes (j'adore lire et de toute façon je suis nul en calcul), autant en faire profiter tout le monde. Il est aussi disponible sur mon blog littéraire. J'ai rajouté des images, parce que franchement, sinon on se fait chier.

Choix du roman

On peut pas vraiment parler d'ouvrage majeur

On avait le choix entre un bouquin de Maxime de la Rochefoucauld, dont j'ai oublié le titre, et ça, écrit par une certaine Madeleine de Proust, je crois. C'est un roman en plusieurs parties, genre le Seigneur des Anneaux apparemment. Comme ça a pas l'air trop connu, je me suis dit pourquoi pas ? Ça me dit vaguement quelque chose, je me demande si je l'ai pas déjà lu... Je crois que je me souviens des titres des tomes :

  • Du côté de chez Swann
  • L'héritage maudit
  • La machine infernale
  • La vengeance de Swann

C'est une trilogie en 4 parties. Si je me souviens bien, il y a une histoire de machine à voyager dans le temps, je crois que c'était pas mal.

L'auteur

Ah, merde, je me suis trompé, le nom de l'écrivain l'auteur, c'est Marcel Proust, en fait. Alors apparemment, c'est un homosexuel normand du tournant du XIXème siècle. On voit dans ses livres œuvres l'influence :

  • de la littérature normande : Flaubert, Maupassant. Comme eux il écrit des romans, ouvrages typiques de la Normandie. D'ailleurs ils sont tous dans la collection classique chez folio.
  • de la littérature homosexuelle : Gide, Wilde. Comme eux il écrit sur les choses de son temps.
  • de la littérature du tournant du XIXème siècle : Victor Hugo.

J'ai regardé sa vie vite fait sur Wikipedia, pas grand chose d'intéressant.

Du côté de chez Swann

M. Swann (image Flickr)

Ah, je suis trop con, je croyais que le titre, ça venait de la chanson de Patrick Juvet, là, "j'irai bien faire un tour du côté de chez Swann". Mais non, en fait pas du tout. Ohlala, quel boulet, si ma prof savait ça, elle me tuerait. Bon, enfin c'est corrigé. C'est de Dave.

Le style

Oh putain, j'ai commencé à lire, mais c'est chiaaant ! Le style, c'est une catastrophe. Moi j'aurais pas du tout écrit ça comme ça. Il y a des phrases qui font 2 pages, et puis apparemment la construction, c'est pas trop ça non plus. On dirait que l'écrivain l'auteur n'a pas fait de plan, et qu'il délire complètement. Je sais plus qui m'a dit qu'en fait c'était peut-être qu'à l'époque, les livres étaient payés à la phrase. Ça doit être pour ça je pense.

Le coup de la madeleine

Apparemment ce passage a l'air assez connu. Proust mange une madeleine trempée dans du thé, et ça lui rappelle des trucs. Je pense que c'est parce que le thé était une boisson peu répandue en France à l'époque et que ça provoque un genre de voyage intérieur, avec le goût de l'exotisme. Enfin je vois pas trop pourquoi il raconte tout ça.

L'homosexualité latente

La vraie question, c'est est-ce qu'il va faire des avances à M. Swann ? Ben, non, pas du tout, c'est assez décevant.

A l'ombre des jeunes filles en fleurs

Des madeleines

En fait, je me suis trompé, les titres, c'est pas ça du tout. Et puis c'est une trilogie en 7 parties.

Ah, j'ai pris le truc, je lis plus qu'une page sur 2, on rate pas grand chose. Dans ce tome, Proust, continue à raconter sa vie. Mais j'ai pas trop compris, il aime les filles, alors ? Ça doit être un genre d'homosexualité latente, je pense. Côté style, ça s'arrange pas. Pas vraiment de rebondissements, je comprends pourquoi c'est moins lu que Dune.

Le côté de Guermantes

Bon, je me suis arrêté à la page 53, franchement ça me tombe des mains. Il se passe rien, je pense que ça doit être une référence à l'homosexualité latente de l'auteur.

Sodome et Gomorrhe

Bon, celui-là, je l'ai pas lu, la librairie l'avait plus. Donc je sais pas si il y a encore une homosexualité latente. Comme c'était assez décevant jusqu'à maintenant, je dirais non.

La prisonnière

Ah, tiens j'ai trouvé un nouveau truc, il suffit de lire le quatrième de couverture, et hop, l'affaire est dans le sac. Bon alors, dans ce livre cet ouvrage, l'auteur continue sa recherche du temps perdu. "Un des piliers de la littérature française" d'après Jean d'Ormesson de l'académie française.

Albertine disparue

Des livres œuvres

Ma mère m'a offert le coffret la Pléiade, parce que je trouve plus les tomes d'après. Mais je savais pas que c'était un vieux livre à ce point. Ah, zut, il y a plus de quatrième de couverture. Bon, je vais pas tout lire, surtout que c'est écrit tout petit et qu'il y a des erreurs d'impression un peu partout, avec les st qui ont systématiquement débordé, c'est un peu lourd.

Le temps retrouvé

Comme j'avais envie de connaître la fin, j'ai lu en diagonale. Je pensais qu'il y aurait un coming out, mais pas du tout.

Analyse

On retrouve dans toute la série, avant tout une homosexualité latente de l'auteur, et d'autre part, le titre A la recherche du temps perdu fait référence au temps perdu par l'auteur à écrire tout ça. Au final, je trouve que c'était vraiment un ouvrage majeur de la littérature française, dont l'auteur constitue un des piliers, comme le disait si bien Jean d'Ormesson, de l'académie française.


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