Amiens
Amiens, ville pittoresque, capitale de la Somme et la région Picardie, mais dont la grandeur fut limitée par le hoquet d'un cartographe qui fit passer tout axe de communication majeur à Reims, capitale du Champagnistan située 100 km à l'est de cette belle ville même si elle est plus paumée qu'Amiens .
Amiens, chef-lieu de la Somme, elle est également restée la préfecture de la région Picardie tant l’époque de la Kommandantur picarde lui a fourni un sens de la rigueur et du sens moral.
136 234 habitants, appelés « amiénois ». Les habitantes d’Amiens seront, elles, appelées « Mademoiselle » ou « M’zelle t’es bonne », voire pas appelées du tout pour certaines.
Les habitants d’Amiens datent du Néolithique, comme la ville en elle-même.
L’origine d’Amiens
L’origine de son nom viendrait, selon la légende, du passage d’un car de jeunes autistes en déplacement pour un concert de Grand Jojo, cet auguste chanteur belge de tango. Un hydrocéphale aurait volé le coton-tige préféré d’un de ses camarades et celui-ci aurait crié « Aaah ! Mien ! … gnééé … Aaaah ! Mien ! … » pour exprimer son mécontentement.
L’insistance et la force des hurlements de l’enfant auraient provoqué l’unique annulation de concert de l’histoire de Grand Jojo. Seraient donc restés les mots de la triste victime, qui avec le temps devinrent le nom de la cité : Amiens.
L’emplacement géographique
Placée idéalement entre Tergnier, Grattepanche et Argoeuves, la ville d’Amiens est rapidement devenue la ville de référence locale.
Par ailleurs, les 149 597 870 Km qui l’éloignent du Soleil en font un endroit particulièrement tempéré, même si les scientifiques et les habitués du Café de la Place contestent cette relation de cause à effet.
Histoire
- (pour votre santé d'esprit, il est fortement déconseillé par toute personne possédant deux sous de jugeotes de lire cet article)
Anecdote stupide et inutile afin de vous montrer la mentalité amiénoise
un ex-amiénois et résidant dans la petite bourgade pourrie de St Fuscien à propos d' Amiens :
"Amiens est une ville bidon créée il ya bien longtemps par des rebelles qui refusaient de se soumettre au protocole de Kronenbourg jugeant que les réserves de bières étaient suffisantes et qu'il fallait faire quelquechose (c'est vrai quoi !enfin !) Car aujourd'hui la bière coule toujours à flot mais il y a encore des crétins en blouses blanches qui prédisent qu'il n'y aura bientôt plus de pétrole ! Ces cons ne savent pas que dans la Somme tous nos véhicules sont équipés de moteurs a bières autrement illégales et permettant de voyager dans le temps !Et qu'ainsi nous partirons a la conquête du monde ! ahahahahah !) Amiens est une ville injustement oubliée mais qui finira tant bien que mal par conquérir toute l'Europe et par détruire l'ensemble des États-Unis en 2020 avec l'aide des forces du Québec libre (FQL)... et des chasseurs ultra-technologiques équipés de réacteurs a bières de la FASF (force aérienne de St fuscien) et de ses fameuses ogives au houblon ! (Mais je m'écarte un peu du sujet là !...)
=>Le premier contact avec les habitants de cette ville est inoubliable ! En effet ces généreux habitants crasseux et boueux vous recevront dans leur ville avec un bouquet de betteraves aux mains et vous supplieront d'habiter chez eux et de ne pas partir (la démographie d'Amiens est à son plus bas...) et les réserves de cons s'épuisent plus vite que prévu ! (Alors faites vos dons de cons abrutis siphonnés de la tête a "SOS manquons de cons" BP 80000 Amiens) Merci... "
Comme vous pouvez le remarquer, cette anecdote est conne comme un poney et n'a absolument rien à foutre ici. Elle illustre donc bien la mentalité d'Amiens.
La préhistoire
- Il est de notoriété générale qu'un Picard n'est pas une flèche. Donc, imaginez un Picard avant l'apparition de l'écriture.
Autant dire que les histoires de picards préhistoriques ne sont maintenant plus transmises que par des enfants ayant grandis dans des boîtes en carton.
L'Antiquité
La création d'Amiens commence en 54av. JC lorsque Jules César, alors en campagne dans la région découvrit avec ses hommes le fameux gisement de bière de Saint acheul. Ils y montèrent un camp pour la nuit et au petit matin, une partie de la troupe déserta pour y fonder le petit village de Samarobriva, qui veut dire en latin "le gigot fait du pédalo" (ou "pont sur la somme", c'est selon l'interprétation).
La ville se développa rapidement grâce à une arrivée imprévue de barbares et d'émigrés russes qui fondèrent le parti communiste gaulois. Malheureusement, cette invention, jugée trop en avance sur son temps fut étouffée par les romains jusqu'à sa redécouverte par Karl Marx.
Une légion de 15. 000 hommes fut stationnée à Amiens pour contrôler la route de la bière vers la Belgique et la Germanie. Ces hommes contribuèrent fortement à l'établissement de brasseries et de maisons closes comme dans tout lieu à forte concentration de militaires.
Les Romains apportèrent néanmoins leur pierre à l'ouvrage en construisant diverses améliorations telles que l'aqueduc (rapidement transformé en "bierroduc"), les bains publics (transformé en réservoir de bière) les parcmètres, les impôts sur la moustache et Internet. Puis, les romains allèrent se suicider en masse totalement dégoutés par le peuple d'Amiens, rayonnant de bêtise, obsédé par la boisson et continuellement occupé à boire et manger jusqu'à ce que l'intérieur se retrouve à l'exterieur.
Il s'en suivi une série d'événements stupides et inintéressants jusqu'à la disparition de l'empire romain et l'apparition du Christianisme.
Jésus revient
Le Christianisme apporta à Amiens principalement le vin de messe, qui évolua ensuite vers le gros rouge (puis vers le communisme), mais à cause d'une erreur d'interprétation de la sainte écriture due aux taches de gras sur les saintes page. Un gribouillis à moitié effacé donna donc à la région son plus grand culte, la sainte Bettrave ! (pour explication de l'absence de "e" reportez vous au RSCP)
Les paysans du coin cessèrent donc de cultiver leurs légumes nauséabonds (chou, blatte et autres carottes) pour se lancer corps et âmes dans le culte et la culture de la sainte bettrave.
La Picardie continua son train de vie, développa une économie florissante de fausse cartes d'identité et de souvenir à deux balles pour les touristes de passage dont le plus connu fut le "morceau de mur romain" ou chacun allait chourer un morceau de mur de son voisin pour le revendre sur Intranetus (le net des romain).
Ces apports pécuniaires furent, bien sur, dépensés en alcool immédiatement, si bien, que, en plus de devenir de plus en plus abrutis à cause de substance à forte proportion d'éthanol, les Amiénois se retrouvaient avec des maisons totalement pourries. Rapidement après la chute de Rome apparut le style architecturale amiénois appelé "Bouse de Dragon" du fait de sa forme caractéristique.
Heureusement, ces bâtisses étaient tellement mal foutues que rien n'en subsiste aujourd'hui.
Le Moyen Age
Le moyen comme son nom l'indique est très moyennement intéressant.
Il est marqué par divers événements sans intérêts :
- Annexion de Amiens par Charles Martel, dont la première action fut la fondation de la Librairie Martel à Amiens. Une Institution qui restera inconnue jusqu'à l'invention du papier. Charles Martel mourra seul et triste en hurlant : "je suis un savant trop en avance sur mon temps, mais je reviendrai !". Depuis ce jour, un légende raconte qu'une forme éthérée flotte dans le magasin en chassant à coup de hache fantomatique toute personne trop bronzée s'étant aventuré dans ces murs. ("Haha ! Comme à Poitiers !" Hurle le fantôme à ce moment là). SOS Racisme tente encore et toujours d'appeler Ghostbuster pour les soulager de ce fléau d'extrême droite réactionnaire.
- L'invention de l'avant bras : Permet au Amiénois de gagner 40cm de longueur de bras.
- Amiens commence à s'organiser comme une ville avec un système administratif. C'est le début de la bureaucratie et des bureaux de postes. Un immigration massive accueille ces réformes et un maximum d'Amiénois partent voir ailleurs si ils n'y sont pas. Après cet événement les picards découvriront qu'il sont aussi en Allemagne, en Belgique et en Espagne. Puis comme ils en ont marre qu'on se foutent de le gueule à cause de leur origine, ils décide de s'intégrer et deviennent, allemands, belges ou espagnols. Ainsi même, ces ressortissant éprouve la même estime pour un picard que pour une loutre morte.
- An 800 : pour faire son malin et imiter Napoléon, Charlemagne décide de créer un empire. Il décide aussi d'inventer l'école parce qu'il déteste les enfants, c'est la découverte de l'alphabet pour le peuple de France. La décision est accueillie à Amiens avec la même joie que la peste Bubonique.
- Peste Bubonique qui arrive d'ailleurs dans ces eaux là. Elle serait du aux bactéries mortelles portées par les puces séjournant sous les crin des Poney et les poils de dessous de bras des Portugais. Les médecins de l'époque prédisent de dormir enveloppé dans du jambon pour contrer la maladie. Heureusement, dans un souci d'humanité, les Amiénois tuent les médecins pour les donner à manger aux malades. C'est la disparition d'un système sanitaire amiénois digne de ce nom.
- Guerre contre les rosbifs (nous nous excusons à l'avance de tout propos racistes envers les anglais, mais désolé, on ne peu pas s'en empêcher... si si, je vous jure qu'on a essayé). Amiens est partagé entre le royaume de France et d'Angleterre. Chaque royaume se lègue et se délègue d'Amiens comme on débarrasserai d'une grenade dégoupillée.
- La ville est assiégée par les armées Française et anglaise simultanément qui ne sont plus foutues de se rappeler à qui appartient la ville. Les Amiénois désemparés et affamés décident de manger les grenouilles des marais environnants.
- L'invention des cuisse de grenouille conduit à l'abandon d'Amiens pas les rosbifs qui ne peuvent supporter de voir leurs cousins sur l'échelle de l'évolution se faire ainsi dévorer. Amiens appartiens définitivement au royaume de France.
- Les croisades : 1099 On est toujours dans le doute que Amiens soi réellement converti, alors, ont y envoie un Archevêque chargé de convertir la ville et de construire une cathédrale.
- 1101 : Suicide du premier Archevêque. Il est remplacé par un second venu de bordeaux.
- 1102 : Mort de l'archevêque de Bordeaux, très frileux, il a passé l'arme à gauche en ouvrant sa fenêtre. Nomination, d'une dur à cuire, un pop russe est appelé.
- Les travaux de la cathédrale sont lancés, ils seront retardé de 100ans puisque l'architecte avait paumé le plan des fondations.
- Distorsion Spatio-temporelle. La Chronologie avance de 400ans.
La renaissance
La renaissance commencerai soi-disant avec la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb. Mais, c'est faux, à Amiens, la renaissance commence avec l'invention de la distillation industrielle.
Le distillateur marque l'entrée de Amiens dans la renaissance, avec la production du premier litre d'alcool de bettrave de qualité Industrielle. Ce premier litre est d'ailleurs toujours en exposition au musée de Picardie.
La distillation d'alcool de patate suivi rapidement, mais il n'atteignis jamais le droit de l'AOC "vodka" et se contenta donc d'un simple "gnôle réveille mort".
L'alcool trouva toute un palette d'application, telle que faire tomber les chicots, décoller les papiers peints, tuer un cheval au galop ou rendre un poney plus intelligent (ne vous inquiétez pas, ceux qui ont pratiqué cette dernière expérience furent brulés pour hérésie...)
Le quartier Saint leu se développa autour de la distillerie du "T'chiot bourré" et connue une prospérité économique remarquable. (comme tout patelin possédant un bar digne de ce nom)
La Production d'alcool était répartie en plusieurs catégories :
- L'alcool non distillé : Bière et vin (appelé "vinaigre" en Picardie du fait du soleil peu abondant pour faire murir le raisin)
L'alcool distillé :
- Alcool de patate à 30° : Biberon des enfants.
- Alcool à 50° : Décolorant pour les cheveux.
- Alcool à 70° : désinfectant.
- Alcool à 90° et plus : Alcool à bruler et consommation (75% de l'éthanol ingéré en Picardie)
- Un bande de bourgeois intellos s'emmerdent grave le dimanche aprèm, en effet, pas de grosse guerre ou de pandémie à l'horizon... Il décident donc pour s'occuper d'inventer l'esprit contestataire. Et lancent des inepties telle que : le roi n'a rien à faire ici" et "le saint empereur romain germanique mange ses crottes de nez" (théories qui seront ensuite reprisent en Allemagne)
- La monarchie commence a être discuté à Amiens. Les grand scientifiques s'organisent en comité et tentent de faire passer leur idées au peuple grâce à des images subliminales. Les images fonctionnent grâce à un moulin à vent, malheureusement, un jour, le brouillard tombe et sans le vent pour faire défiler les images, les autorités découvrent la supercherie et les auteurs sont brulé sur la place publique (façon premiers chrétiens).
- Invention du moteur à alcool : Il permet un plus grande vitesse de défilement des images subliminale et n'est pas affecté par les conditions météorologiques. L'esprit de révolte peu enfin gagner le peuple, la révolution est sur le point d'éclater.
- Des parisiens qui passaient par là par hasard (comme n'importe qui à Amiens) trouvent l'idée excellente. Il violèrent donc un centaine de copyright pour créer leur texte de révolutionnaire. Dans leur extase ils gommèrent aussi des termes picards extrêmement important tel que "bière, betterave alcoolisme" pour les remplacer par "liberté, fraternité boire du thé", ils était en effet très inspiré par l'exemple anglais (les traîtres !) l'erreur sera corrigé en même temps que les auteurs et le tea-time remplacé par un candide "égalité".
La révolution française
- Les régiments de volontaires d'Amiens matèrent les insurgés de Vendée. En effet, ces royalistes au nez fin ont fui à rebrousse-narine devant l'odeur des miliciens dopé au déodorant à la betterave.
- La Picardie retrouve ensuite enfin l'indifférence.
- A Paris, on est chargé de redessiner les régions et départements de la France, malheureusement, le cartographe (certainement un vendéen) a volontairement omis la présence de territoires français entre Paris et Lille. Tous les axes routiers traversent la Picardie de long en large sans jamais s'y arrêter et Amiens est laissé à l'écart. On y développe tout de même comme dans n'importe quel pays du tiers monde une importante production de T-shirts et de baskets de contrefaçon.
Interlude
Il est probable que cette histoire d'Amiens vous semble chiante, inintéressante et capillotractée, aussi, je vous invite à un moment de détente ou vous pourrez reposez vos yeux et retrouver un activité cérébrale normale.
« Quand je vois Amiens, je comprend que Dieu n'existe pas, je me dis que le monde es géré par un enfant qui a appris à parler en regardant en boucle un vielle cassette de Shining et qui a bu trop de Dr. Pepper »
~ Benoît XVI blasphémant au sujet de Dieu
Les spécialités locales
« S’il vous plait ne confondons pas la spécialité picarde et la spécialité amiénoise ! » dirait notre ami Nicolas le jardinier, gourou de la cuisine sur pelle-bêche. Bien effectivement, ce n’est pas pareil :
- La spécialité picarde est « la ficelle », donc « la ficelle picarde », soit une crêpe fourrée avec un autre nom. Ce plat, bien que cul-inaire, n’a absolument rien à voir avec la ficelle brésilienne, car si on fourrerait bien la seconde, la première, elle, a tendance à comporter des champignons.
- La spécialité amiénoise est « la tuile », tant il est difficile pour un picard de finaliser ses approches d’homme intéressé sexuellement.
La gourmandise amiénoise la plus réputée restera tout de même le macaron. Ce petit gâteau sucré serait le fruit d’une fusion entre un gérant de commerce du service sexuel spécialisé chez les personnes à fortes consistances corporelles (un maque à rondes) et un membre du Grand Orchestre du Splendid (tournée de 1979). Suite à une folle nuit passée dans un lit de meringues, de petits galets granuleux et moelleux se formèrent aux entre-deux fesses des acteurs respectifs. Mangeables à toute heure, la consommation de macarons se développa par le biais du réseau de péripatéticiennes et devint un classique des fins gourmets.
La cathédrale : Notre Dame de Paris d’Amiens
La ville est réputée pour sa cathédrale Notre-Dame de Paris, la plus vaste de France. Notre Dame de Paris d’Amiens est même la deuxième du monde après celle Yamoussoukro. « Yamoussoukro kro-kro-kronenbourg ! » comme aimait le rappeler Paul Préboist dans le chef d’œuvre cinématographique qu’est « Mon curé chez les nudistes ».
La cathédrale mesure 145 m de long pour 112 m de haut, et les voûtes de la nef centrale culminent à 42, 30 mètres. Ses dimensions extravagantes sont la preuve qu’au Moyen Age, les croyants devaient être fichtrement grands, et donc sacrément bons au basketball.
Datant du croix-trois-bâtons siècle, ce monument a mis énormément de temps à être construit du fait que les architectes désignés pour le projet étaient uniquement des spécialistes en maquettes d’allumettes. Fort heureusement, Kid Rock leur vint en aide et inventa la pierre, qui devint dès lors l’élément de base pour la construction de l’édifice.
Avec le temps et les rencontres, la cathédrale a évolué avec notamment :
- Ajout d’un pentacle sur la face Nord pour célébrer la sortie de ‘Mob rules’ de Black Sabbath en 1981.
- Modification du tracé du labyrinthe, que l’on peut voir sur le dallage du bâtiment, afin d’obtenir de magnifiques svastikas pour fêter l’adoption de la stratégie Blitzkrieg par l’Amiens Sporting Club (ASC) lors de la finale de la coupe de France 2001.
- La décapitation de Saint Firmin en 1999 pour la sortie de « la fiesta » de Patrick Sébastien en single. «… ce soir on est les rois de la terre la fiesta la fiesta on finira la tête a l envers la fiesta la fiesta …»
- L’ajout de néons sur la façade par Xzibit pour une émission spéciale de l’émission ‘Pimp My Ride’ sponsorisée par Picon et les cahiers de vacances Gerepik.
Notons que comme toute Notre Dame de Paris qui se respecte, la cathédrale Notre Dame de Paris d’Amiens possède son gardien attitré. Vous trouverez ce Quasimodo implacable à l’entrée de ce lieu aux heures de visites ou de messes. Il faut laissera tranquille pour quelques piécettes qu’il échangera avec son Esméralda en échange des faveurs de sa biquette (comme quoi le temps ne change pas tout).
La tour Perret
Frère caché du célèbre Pierre Perret, Auguste Perret vécu dans l’ombre du chanteur depuis tout jeune. Enfant déjà, sa mère l’enfermait des semaines entières dans une cave de la maison de famille. Il expliquera plus tard que c’est cette habitude familiale qui lui donna le goût du béton, qui devint sa matière de prédilection. Vers 1948, après le succès de la chanson « le zizi » en langue israélite, la mairie d’Amiens déclara que la ville avait besoin, pour avoir des rapports avec les villes environnantes et pour marquer sa supériorité face à elles, d’un membre évocateur, puissant… bref érectile !
C’est alors que l’on vit naître une des plus grands édifices amiénois : la Tour Perret (110 mètres au garrot).
Loin de plaire à la majorité de la populace, l’œuvre architecturale a subi moult et moult transformation au cours du temps. Par exemple, nous pouvons remarquer que depuis 2003, le sommet de la tour est agrémenté d’un charmant prépuce lumineux. Cette évolution technologique aurait été effectuée afin de récolter des fonds douteux pour la campagne douteuse du maire douteux actuellement en faction : Girles le Dobien. D’après les bruits qui courent, il aurait ainsi offert, moyennant finance, un espace d’affichage publicitaire majeur pour une marque de préservatif fluorescent.
Les hortillonnages
Ville d’apparence maraîchère, Amiens explique en fait l’existence de ses hortillonnages (voies d’eaux parcourant plus de 300 hectares) d’une toute autre façon :
- Avant l’apparition de la roue, comme tout le monde le sait, les hommes avaient comme uniques moyens de transports non-fatigants la glissade-sur-pente, la nage et la navigation.
Trop feignants pour créer une pente pour chaque destination, les Amiénois décidèrent d’exploiter la Somme et ses affluents pour se déplacer. Ainsi, certains, euphoriques, tentèrent de rejoindre les Pays-Bas et d’autres, dépressifs, tâchèrent de rallier Le Havre.
Les désormais célèbres hortillonnages sont donc les traces de ces temps anciens, maintenant réaménagés pour accueillir des poissons surgelés Picard mangeurs de sachets plastiques.
Voilà, ça devrait suffire pour le moment, si vous sentez que vous vous abrutissez, ouvrez un livre des Maximes de la Roche Posay et lisez au hasard.
La GUERRE !
La présence d'une barbecue-party à Amiens décident les Allemands et le Kaiser Wilhelm II à s'inviter discretos pour manger un bout gratos.
En plus, c'est l'été 1914, il faut beau, les oiseaux chantent, les turcs n'émigrent pas et ne cherche pas à rentrer dans l'Europe et les anglais font de même, bref, c'était le bon temps.
Malheureusement, leur tentative échoue, en effet, des soldats piquent des cornets à frites sur la route en passant par Bruxelles et une fusillade éclate.
La milice belge se battra héroïquement pendant deux ou trois heures d'affiliée, puis rentrera à la maison pour finir leurs frites.
L'infanterie allemande, bien que sur-entrainé, prendra 10 kilos en moyenne à cause des frites à la mayo et devront subir un cure d'amaigrissement longue et onéreuse au frais du Reich.
Voilà qui retardera le Kaiser de trois bonnes journées, et lorsqu'il arrive aux porte d'Amiens, toute la barbaque a été consommé, vomie, reconsommé, et revomie.
Il ouvre MSN et préviens tous ses potes de son désarrois, malheureusement, à deux heures du mat', ceux ci partent se coucher.
De dépit, Wilhelm décide de déclencher un guerre, et mondiale ce coup ci, pour varier un peu.
Les troupes allemandes envahissent Amiens au petit matin tandis que les habitants était encore en pleine digestion de betteraves avariés. Les combattants amiénois défendirent héroïquement la ville. Puis succombèrent sous les tract de propagande allemand les invitant à un séjour tout frais compris à Majorque.
Les Anglais à ce moment débarquèrent pour l'anniversaire commémoratif de la fête de la saucisse bavaroise, il tombèrent sur des allemands occupés à creuser des tranchées. Se disant que c'est des fosses pour faire du feu et cuire ensuite des montagnes de viandes, les anglais se firent passer pour des VRP en machine à pop-corn.
(NdA : Force est de constater que vouloir bouffer gratos peu déclencher pas mal de conflit.)
Les troupes du Kaiser éventèrent bien vite la supercherie, et crucifièrent des anglais, pour avoir tenter de leur manger la laine sur le dos, puis il en crucifièrent encore un peu, mais pour le plaisir ce coup-ci.
Jusqu'ici, les amiénois ne se sentaient pas trop gêné, il avait de la compagnie, des gens pour remplir leur bars et tester leur nouvelles boissons alcoolisées que la morale réprouve.
En plus, il pouvait falsifier leur formulaires d'assurance maladie pour toucher les allocs des deux pays en même temps.
Les allemands et les anglais se réconcilièrent un moment, et choisir de partir en week-end ensemble à la plage, laissant ainsi Amiens derrière eux. Il firent un course à la mer, les anglais gagnèrent et de rage les allemands décidèrent que ce coup ci, ça allé [[merde|vous-savez-quoi] grave, et des bulles carrées même !
Ils abattirent sur Amiens tout une série de lois injustes et débiles, les femmes n'avait plus le droit de se raser, les hommes devait porter un chapeau melon, l'alcool fut réquisitionné pour faire des gazes mortels de combat et ils tirèrent pour le plaisir sur des maison en briques lorsqu'il était trop bourré.
la principale occupation des amiénois de 1914 à 1918 fut donc principalement de rester planqué dans sa cave et de jouer au poker.
Bien sur, à l'abri de leurs caves, ils perdirent le fil de la guerre et ses festivité, il sortirent en 1918 car les soldat content de la fin de la guerre avaient organisé une rave sauvage dans la ville.
Il sont bien sur partis sans avoir rien nettoyé.
Les Années folles
Amiens retourna dans le gouffre d'inculture dans les année 30.
Il ne s'y passa pour ainsi dire pas grand chose.
A vrai dire rien du tout.
Que dalle, ничего, rien, nada, walhou, nichts...
C'est à se demander si les années 30 on existé à Amiens.
Les scientifiques on longtemps penché sur la théorie d'un vortex extraterrestre qui aurait pu créer une distorsion spatiale et amener directement Amiens des années 20 à la seconde guerre mondiale. Mais cette théorie est très controversée.
La solution la plus évidente serait que une fois la ville finie d'être (vaguement) remise en état, les habitant s'enfermèrent chez eux pour écouler leurs stocks d'alcool divers que la guerre les avait empêché de consommer.
La seconde Guerre mondiale
La nana aux cheveux bleus dit : | |
Cette section à l'air très intéressante, seulement pour le comprendre il faut parler une langue aussi infâme que l'allemand, dans le cas contraire, il vous sera aussi intelligible que les cris d'un poney. |
Les Amiénois émergeant enfin de leu trou, telle une fleur au printemps, et décident, comme c'est "comme" un printemps, bien qu'en fait ça n'en soit pas un, car nous sommes en septembre 39 je vous rappelle, le "comme" est ici un figure de style, un comparaison, un peu comme une métaphore mais avec un "comme", car si c'était une métaphore j'aurai mis un truc genre de "Le printemps d'Amiens faisait sortir les habitants ensommeillé de leur long hiver" car ça c'est une métaphore, mais c'est beaucoup trop lyrique et compliqué à comprendre, puisque après tout si vous êtes ici en train de lire cet article, c'est que vous disposez à peine des capacités intellectuel d'un poney mort depuis trois jours, c'est dire si c'est peu. Donc, ainsi à Amiens, en septembre 39, comme ses habitant sortaient de leur hiver, c'était donc comme le printemps même si en réalité c'était l'automne (suivez un peu bordel !) et comme on le fait toujours au printemps (non, là ce n'est pas une comparaison, c'est juste un exemple) ils organisèrent un barbecue.
C'est bon tout le monde à suivi ?
Et, c'est là que même un observateur inattentif peut conclure que les Amiénois ont la mémoire d'un poisson rouge. En effet autour d'eaux, tout c'est inexpliquée compliqué.
Chez les Rosbifs, Churchill est un tigre, mais un gros tigre, genre "je fous rien et je dors sur le canapé", un gros chat castré quoi ! (salaud d'anglais) Et Churchill, roulant béatement sur ses rouleaux de graisse, trouve sympa d'aller manger gratos et de s'infiltrer tranquilement.
Comme les rosbifs ont la discrétion naturelle d'une loutre morte, il ne prennent aucune précaution particulière.
A l'est, c'est pas pareil, là on est pas là pour déconner, le Moustache Powa atteint son paroxysme avec ses deux principaux membres, Adolf, partisan de la moustache "fine et distingué" et Staline, partisan de la "Moustache de la mort qui tue la vie". Le club des moustache partage le même amour pour les plans diaboliques, la manipulation de masse, les camps de concentrations, les maisons de campagnes en Bavière et les milkshakes à la fraise.
La première action des Moustaches men, a été la conquête de la Pologne, qui ivre morte n'a pas eu le courage de se battre. Il se sont couché sur le sol et on attendu la mort tranquillement ainsi que le ferait n'importe quel être humain normalement constitué après l'absorption de 5 litre d'alcool pur.
Ensuite, attiré par l'odeur de saucisses en train de cuire, les allemands passent à l'offensive de la France. Vue qu'ils avaient envie de frite en chemin, ils en profitèrent pour annihiler la Belgique.
Car il faut le rappeler, les moustaches men sont diaboliques et veulent un homme nouveau, pas une tapette de rosbifs, non un bon grand soldat musclé et qui tape fort. Un mec pour qui l'éradication d'un chose aussi insignifiante que la Belgique est une opération nécessaire. bref, des mecs plein de bon sens.
Bon, essayons de nous représenter la situation vue par l'amiénois moyen en 1940.
Utilisons toute votre imagination disponible pour vous immerger dans le contexte.
Il pleut, malgré tout, grâce à 15 litre de napalm, le barbecue a fini par prendre, attablé autour, des amiénois mangent des gigots d'anglais qui ont eu la mauvaise idée de s'incruster. Les bruits de mâchouillement emplissent l'air froid de l'après midi. Lorsque soudainement, un petit homme moustachu fait son apparition :
Mais l'Amiénois n'est pas préteur et ce n'est pas là son moindre défaut.
Instantanément, invoqué par la terrible incantation pileuse, des milliers de soldats d'avions et de tanks envahissent la ville. les avions partent en piqué et, et non ! pas par là ! Oh mon dieu ont est attaqué !
- Takatakkatakkatakkatakkatak*
Waaaa ! c'est interdit par la convention de Genève, les belligérants n'ont pas le droit d'attaquer les historien qui racontent leur histoire 60 ans plus tard !
- Piouuu*
Putain de boches, oui alors j'en étais en 40, les allemand envahissent la ville et tirent sur tout ce qui bouge, ils ramènent des canons de 400, des canons de 400 et des mortier ! des putain de mortiers ! Merde, planque toi Christophe ! Magne !
- Piouuuuuuuuuuuuu..................... iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii BAAAAAM*
On vient de perdre notre cameraman, je répète on a perdu un cameraman, allez les mecs me laisser pas là ! Je veux pas mourir dans les années 40 moi !
Nan, par le béret de Montgomery !
Je crois cher lecteur que je viens tenir les allemands en respect.
des fois je regrette vraiment de ne pas avoir fait d'allemand. Oh, un presse purée. Un presse purée ! ? Haaaa !
Putaindeboulotd'histoiredemondieudepourquoijesuispasrestéchezmoiàvendredesphotocopieuses !
Je vous retrouve cher lecteur dans cette magnifique cave, nous avons pour le moment perdu Serge, au micro, Nadia à la transmission et Simon, mais lui ce n'est pas grave, personne ne l'aimait.
Que voulez vous, c'est à ce prix là que la vraie information s'obtient !
Maintenant, une page de pub !
- Bratatatatatatattatatatta*
Et je reprend les micro cher téléspectateur ! Il semblerait que la pub se soit fait envahir pas la Wehrmacht ! Attendez je reçoit un coup de fil de la direction. Allo ?
Ouais, bah, ça c'est mal goupillé !
'tain de journée...
Petit communiqué du Reichkomissariat
En raison d'un invasion récente de cet article par la Wehrmacht, nous vous annonçons la mise en place des règles suivantes :
- Tout personne lisant cet article après le couvre-feu sera exécuté
- Tout personne possédant un air de famille avec Woody Allen sera exécuté
- Tout personne refusant le Deutsche Mark comme monnaie et l'allemand comme langue sera exécuté
- Tout personne lisant cette page avec Internet Explorer sera... devinez quoi ?
- Tout personne n'ayant pas deviné la réponse à la question précédente sera exécuté
- Tout personne soutenant l'ASC d'Amiens sera seulement interné en service de psychiatrie lourde
Merci de votre attention,
Nous rappelons que les gagnants de notre jeu concours "partez en Pologne, voyage en train, camps de vacances avec équipe d'animation amicale" sont Mr et Mme Rosenberg.
Conclusion et achèvement de la partie Guerre alias : Deus Ex Machina
Et là, pouf ! Un moustachu se suicide dans un Bunker car il était menacé par des Ruskoffs un peu hargneux et très communistes.
Ce qui met enfin fin à cet article tellement pourri qu'il a été responsable de la mort cérébrale de 14 personnes, incluant Ronald Reagan et son frère Ronald Mc Donald's.
En tant qu'auteur de cet article, je m'excuse également de la mort de 14 millions de Lemmings qui sont morts stupidement durant la rédaction de cet article.
Merci pour eux,
Les temps modernes
L'industrie de chaussette amiénoise à fini par se faire dépassé par les petits chinois. Immédiatement la mairie fait une tentative de Blitzkrieg contre Hong Kong comme l'atteste le dallage de la cathédrale d'Amiens. (stratégie établie en coopération avec l'ASC d'Amiens). Malheureusement l'opération est un double échec. Les seuls footballeurs amiénois dignes de ce nom se convertissent au Communisme et deviennent les gardes du corps de Mao Zedong grâce à leur aptitude à éviter les balles. (principalement le gardien).
Du coup Amiens perd son industrie et son équipe de foot. Actuellement lors des championnats Amiens perd 2 fois sur 3 contre une équipe d'écureuils unijambistes.
Dans les années 70, les hippies attaquent Amiens lors d'un offensive généralisée à coup de 'petites fleurs de la mort' qui convertissent en masse les amiénois en mal... d'esprit critique (ou de cerveau, selon le point de vue).
Les envahisseurs hippies, de part leur nature amphibienne s'installent au quartier Saint-Leu pour former les bars à bière les plus renommés de la ville.
Depuis un légende raconte qu'une ville souterraine hippie reniant tout technologie se cache sous l'eau à Amiens, après e plus ample études, nous nous sommes simplement rendu compte qu'il s'agissait de la proto-ville d'Abbeville.
(à finir)
(ceci était une note de l'auteur trop feignasse pour finir lui même le boulot)
La Politique
Voir Communisme
La ville
situation géographique
La ville d'Amiens se trouve en Picardie, c'est une ville totalement excentrée et on se demande encore aujourd'hui pourquoi on l'a choisie elle comme capitale régionale.
La théorie la plus probante à ce jour concerne un sombre histoire de pots-de-vin et prostitution
La Picardie serait soi-disant située entre Paris et Lille.
Mais, c'est faux, à cause d'une malédiction, Amiens se situe en réalité en ex-RDA, ce qui explique son taux de chômage plus élevé que la moyenne et ses fortes pulsions communistes.
Le terrain autour d'Amiens est plat.
Enfin, le terrain autour d'Amiens est supposé plat.
Personne n'a jamais percé la nappe de brouillard éternel qui entoure la ville.
Dans la ville même, le terrain suit une douce dénivellation partant du plateau et finissant dans la Somme, voir sous la Somme pour le quartier Saint-leu.
Les quartiers
- Saint-Leu : Les habitants de Saint-Leu, les saint-leuleu naissent selon la légende avec un tuba en guise de nez afin de s'adapter aux inondations fréquentes de la Somme. Les saint-leuleu sont aussi les maître des pubs irlandais et autres lieu de vente libre de bière puisque les saint-leuleu sont majoritairement des étudiants.
Un quartier étranger se trouve à Saint-Leu, en effet à Saint-Leu, se trouve le seul cinéma d'Amiens diffusant des films en VO.
Pour les étudiants, c'est une aubaine : pour se rencontrer, passer deux heures à dormir pour seulement 5€ ou regarder le dernier film moldave sous-titré en bosniaque.
Mais, c'est aussi un cinéma méritant une renommée illustre à travers les âges puisqu'il est le seul à diffuser le magnifik-fik lettres d'Iwo Jima de Clint Eastwood qui est très bien, on ne le dira jamais assez.
(l'auteur à touché tout un tas de thunes pour cette pub éhonté à Clint Eastwood, le pire est qu'il en est fier)
Mais Saint-Leu, c'est surtout le lieu des plus grandes fêtes étudiantes à l'Amiénoise de France. Le jeudi soir, en effet, on peut assister à un attroupement de jeunes venus pour écouter de l'électro et du Michel Sardou à fond les ballons (eh oui, l'étudiant Amiénois a une largesse d'esprit à faire pâlir un étudiant chinois.) Il est à noter que les bars de ce joyeux quartier ferment tous à 3h du matin. Les plus endurants se retrouveront en boîte de nuit, situées un peu plus loin vers l'ouest du quartier.Néanmoins, cela ne les empêche pas de conduire, malgré leur mentalité, ou qu'ils ne sachent pas conduire, d'ailleurs à quoi cela servirait avec la proportion de 99 bars pour 100 bâtiments(et oui il y a des bars SUR des bars) et on ne comprend pas comment cette ville peut ne pas être à court de matière composée d'alcool au bout de 3 heures.
- Henriville : S'appeler Henri est la seule condition pour habiter Henriville, le plus beau quartier de la ville. Or pour s'appeler Henri, il faut payer une licence de Henri (et oui, comme pour être juif). Ce qui explique pourquoi ce quartier est si riche.
(rassurer vous, dans la religion juive, les dix commandement interdisent de s'appeler "Henri", ainsi, les juifs ne peuvent pas accumuler les avantages comme des réduction leaderprice)
Le pigeonnier : Quartier populeux du nord d'Amiens : Quatre règles de survie :
- Courir vite
- Ne pas voter FN
- Ne pas foutre les pieds dans le quartier.
- Si vous êtes forcé d'y aller, faire comme si ne rien était, être gentil avec les gens, ne pas le prendre pour des abrutis même si certain redouble leur 6eme pour la cinquième fois et faire semblant de ne pas voir les voitures en feu.
- Si vous suivez ces règle, vous avez votre chance.
- Règle finale : Jamais au grand jamais n'allez faire des jeux de mots douteux sur le "pigeon" au pigeonnier, ça pourrait bien être la dernière parole de votre misérable et inintéressante vie.
Oui, vous avez bien vu, il y a 6 règles au lieu de quatre, ce qui est totalement normal étant donné que le rédacteur de cet article est lui-même Amiénois soit alcoolique voire totalement con( ou bien les deux ce qui est fortement probable...)
Pas la ville
Nomination générale de tout ce qui ne mérite pas l'appellation de "ville" mais qui d'une manière ou d'une autre est rattaché au concept métaphysique qu'est l'agglomération amiénoise.
Les villages
Encore un fois, deux catégories de villages :
- Les civilisés : Ces villages ont été touchés par l'influence grandiose d'Amiens, le Français y est couramment parlé. Ils se trouvent juste en périphérie de la ville.
La plupart de ces villages sont totalement pourris avec de magnifiques maisons en préfabriquées et de hangars à bière pittoresques.
La campagne
La campagne autour d'Amiens répond aux besoins très particuliers de l'alimentation amiénoise.
- La Betterave.
- Le seigle, l'orge, blé et le mouton pour la bière protéinée
- Le seigle, l'orge, le blé et le soja pour le bière protéinée de végétariens (tarlouzes)
- Le reste des champs est réservé à des raves sauvages.
Ecrit par un Amiénois qui fier de sa ville, la respecte.
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