Antoine de Crohn

Un article de la désencyclopédie.
Aller à la navigation Aller à la recherche
« Si le mariage homosexuel était autorisé, c’est avec lui que je sauterai le pas ! »
~ Sacha Guitry à propos d’Antoine de Crohn
Le blason de la famille de Crohn, on sent déjà que la maladie à fait des ravages...

Prologue

Son nom vous est familier ? C'est normal, cet homme est très connu, pas forcément de la manière la plus élégante qui soit. En effet, si son NOM, vous évoque quelque chose, c'est qu'il est l'instigateur de l'appellation de la maladie qui en découle : la maladie de Crohn. Certains attestent qu'il s'agirait en fait d'une maladie intestinale ou gastrique mais il n'en est rien. La vérité est cachée dans cet article, et nulle part ailleurs.

Présentation du personnage

Antoine de Crohn est né un jour de l’année encore inconnu aujourd’hui. (Certains prétendent que ce serait un 1er décembre 1953, mais les faits n’ont pas été confirmé) et mène d'abord une carrière médiocre d'homme de télévision poliovalent (présentateur, producteur, humoriste) à Antenne 2 puis Canal+. Il devient ensuite acteur tout aussi médiocre, puis scénariste tout aussi... médiocre et enfin réalisateur de cinéma (tout aussi médiocre en fait).
Il est le fils de deux personnalités, encore reconnu aujourd’hui: Georges de Crohn et Brian Joubert. Malgré le fait que sa maladie le ronge au fur et à mesure des années, il a réussi à trouver chaussure à son pied et sa femme mis bas de la comédienne Emma de Crohn.

Très connu pour ses boutades plus que douteuses et ces déguisements aussi laids qu’inutiles, il reste toutefois une tête indélébile et vomitive de la télé française, telle une feuille de salade collée aux incisives. Sa vie reste une suite de mésaventures burlesques faute en est, malgré lui, au mal qui le possède.

Sa maladie

Bien que verbale et non digestive, sa maladie le force irrémédiablement à faire de la merde (c'est souvent pour cela que l'on fait l'amalgame avec une maladie des intestins) quel que soit son poste. Malheureusement, il a sévi bien des années sur bien des postes, qui ont rendu publique, malgré lui, sa grave maladie. Aujourd'hui, il vit à l'abri des regards indiscrets, dans les égouts d'une capitale asiatique où sa maladie est à son aise.
Je vais donc vous présenter sa vie "artistique" et sa descente aux enfers.

Sa vie artistique

Antoine défendait "the rock" comme ils disent outre-pacifique.

Repéré par un producteur alors qu'il faisait la manche (seule activité qu'il arrive à manier sans que sa maladie ne ressorte), il fut alors prit en pitié et débuta donc sa grande flagellation télévisuelle. Il commence sa carrière, son activité loufoque et diarrhéique à la fin des années 1970 en tant que créateur et animateur de Chorus, droit dans l’…. Quasi-seul à cette époque à défendre le rock . Il organise et retransmet de vrais concerts du rock filmés à l'Empire.
Il essaie d'écrire, sous le pseudonyme de Paul Persavon (disponible au rayon gel douche à odeur particulière), plusieurs génériques de dessins animés (Candy au pays des bisounours, Bioman et Sailor moon à la mer, Dragon Ball GTX 375, etc.). Il va même jusqu’à présenter l'émission Houba-Houba pour apprendre au enfant le langage du Marsupilami grâce à sa société de production NBdtC qu'il a fondée avec Tim Neufman et Alfonse Daudet. Cette émission initialement diffusée sur TF1 en 1987, propose en outre des performances d'artistes en live sans aucune censure(éviscération, torture, etc.)






A bat le tabac !

Antoine de Crohn anime de 1984 à 1987 une émission radio nommée Marlboro Music. Cette émission incitait les gens à fumer lorsque l'on pouvait entendre de la musique. Antoine de Crohn se déplaçait ainsi toutes les semaines de ville en ville, faisant découvrir le goût des choses simples (piqué ensuite par Madranges) et de la drogue. Il tentait toujours de défendre le rock.

La vérité est nulle part ailleurs

La pelle et le Baltard, un chai d’œuvre fruitesque.

C’est sans nul doute ici qu’Antoine de Crohn développe ces plus belles années. Il joue le rôle d’un anicomique (animal tentant d’être comique) dans l'émission Nulle part ailleurs de 1987 à 1995. Cette émission diffusée en clair servait de vitrine pour le violeur des Carpates, bien connue pour son addiction à la couleur pourpre. Il y a été le trublion qui animait la venue de l'invité, plus calmement interviewé par le présentateur Philippe Gild'ass. De Crohn faisait l'introduction de l’ami Sion et posait des questions provocatrice mais sans grand intérêt. Le public attendait surtout le final (car son apparition était bientôt terminé) durant lequel Antoine de Crohn, souvent accompagné de José Garcia, concluait l'émission. Parmi les nombreux personnages créés, on peut citer : Didier l'embrouille, Ouin-Ouin dit Pine d'huître, Gérard Languedepute, le désanuseur de Montargis, la Pelle et le Baltard, Tulle le fils odieux, etc… Malheureusement, se fut aussi le début de la fin, pour un homme dont la maladie ravageait de plus en plus les vannes et les personnages qu'il incarnait (déjà pas bien reluisants).


Carrière d'acteur et de cinéaste

Il en a eu une, mais on ne s’en souvient pas. Changement de sujet.

Filmographie

Mais puisqu’on vous dit qu’on ne s’en souvient pas !!! (C’est pénible ça…)

Vie privée

Antoine de Crohn, malgré son succès immense, gigantesque, Colossal, DIVIN n’as pas une vie privée facile. Elle est pas non plus super passionnante, mais tant qu'on y est, autant en parler.
Atteint de plusieurs problèmes humoristiques et de chiasse verbale dès sa plus tendre enfance, sa vie privée est résumée à quelques amourettes avec des chèvres et des écureuils (ses douleurs et problèmes chroniques l'empêchant d'avoir une vie sociale). Après plusieurs tentatives de suicide aux Haribo, il décide finalement de prendre sa vie en main. Il rencontre une très réputée zoophile zoologue avec qui il se mariera et avec qui il aura une fille, mais son nom m’échappe (à si, il est en haut de l’article je crois, mais bon j’ai zappé depuis…). Puis il va divorcer deux fois et se remarier deux fois, toujours en laissant derrière lui un mouflet prêt à reprendre le flambeau vacillant de la blague (ne me demander pas les noms, j’ai déjà du mal juste avec sa fille…). On se demande encore ce qu'ils sont devenus et s'ils trainent la même tare génétique que leur géniteur, néanmoins, ils ont le bon sens de ne pas se laisser médiatiser comme leur père.




Cet article a une chance non nulle de figurer dans le Best Of ou de ne pas en être.
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.