Burne-out
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Cet article peut provoquer des douleurs scrotales psychosomatiques. Les filles, vous pouvez pas comprendre
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Le Burne-out (ˈbyrnɑo͞ot) (ou BO[1]) est un accident professionnel extrêmement désagréable, et par extension le patient qui le subit. Des modifications morphologiques, fonctionnelles et biochimiques de l’organisme du sujet atteint sont observées dans l'ensemble des cas, pouvant aller jusqu'à des modifications des préférences sexuelles.
Étymologie
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Épidémiologie
Le Burne-out touche 23% des travailleurs et est responsable de 50% des arrêts de travail. Il est en nette progression ces dernières années, ce qui contribue à expliquer la baisse de viabilité des spermatozoïdes.
Les facteurs de risque classiquement associés à cette pathologie sont le sexe masculin (ratio de 3.4Mia/1), la pétanque (surtout pour ceux qui tirent), le stress. l'enfermement à Abou Ghraib, et certaines pratiques sexuelles que nous n'oserions décrire ici[2].
Physiopathologie
Il semblerait que le développement du Burne-out soit conditionné aux stimuli nocifs répétés d'un casse-couille souvent presbyte, qui favoriserait une contraction répétée du Muscle Crémaster, et le ramollissement des tissus environnant. La rétraction graduelle du canal déférent provoque une tension croissante sur le ligament testiculaire, jusqu'à ce que celui-ci lâche, et propulse alors la burne à travers la cavité abdominale. L'orifice de sortie peut être variable, mais la cavité orale semble un endroit de moindre résistance pour le coming-out[3].
Le Burne-in est une forme historique (cf Histoire) de cette pathologie. Du à une pression unique mais intense, il est caractérisé par une rupture immédiate du ligament et une propulsion directe de la gonade. La force étant cependant inférieure, cette dernière tend à se fixer dans le tissu sous-cutané du cou[4]. Si le Burn-in est bilatéral, la compression extrinsèque des cordes vocales tend à augmenter la fréquence de la voix du sujet atteint.
Clinique
Le status clinique post burne-out est évident: Le patient présentent des bourses vides, et nous conseillons donc de ne pas l'examiner, à moins qu'il possède une bonne assurance[5]. Une dépression accompagne souvent la perte du travail[6], voir de l'outil de travail pour les banquiers.
En pré burne-out, on constate un ramollissement du courage et une hyperhydrose des bourses[7], souvent bilatéraux.
Cas célèbres
La dÉsencyclopédie tient un registre du nombre de testicules de ses utilisateurs, sans cependant garder une statistique de l'évolution de celui-ci. La littérature parle cependant pour une prédominance masculine évidente, à l'exception du case report suivant.
Histoire
Lors de la création, l'homme originel possédait trois testicules. Cependant, Dieu[8], jaloux de cet appendice surnuméraire, créa la femme. Il ne fallut pas attendre longtemps pour assister au premier Burne-out. L'homme serra cependant les dents, et parvint à conserver son attribut, hélas en position ectopique. Celui-ci prit logiquement le nom de pomme d'Adent. Cette trahison originelle devait cependant lui rester en travers de la gorge et conditionner les rapports homme-femme jusqu'à nos jours.
Du XVIe au début du XXe siècle, de nombreux enfants de chœurs furent victimes de Burne-in par des pressions dirigées. Avec l'évolution des mœurs, notamment la disparition du travail des enfants et des châtiments corporels, le clergé se contenta dès lors de caresses, avec des résultats malheureusement opposés: la douce voix des castrats fit place aux hauts cris des pédophilophobes.
Actuellement, les modifications du code du travail, la faiblesse des syndicats, et le report de la retraite sous l'impulsion d'un brise nouille hors-catégorie promettent un avenir radieux pour cette pathologie, et pour les urologues.
Notes
- ↑ Message subliminal destiné au lecteur afin de garantir la reconnaissance de cet article.
- ↑ mais que vous pouvez retrouver là, gare au Goriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiilleu
- ↑ Une certaine résistance, principalement d'ordre psychologique, existe au niveau de la sphère anale. Celle-ci n'est souvent utilisée que lors du deuxième coming-out
- ↑ d'où la gestuelle accompagnant la phrase « j'ai les boules »
- ↑ Pour rembourser bien évidemment la perte des joyaux de famille
- ↑ et des joyeuses
- ↑ d'où l'expression "Boules Mouillée"
- ↑ Si après ça, il ne me nomine pas au BO, je change le lien vers une autres des déités de la dÉ, comme MKP, SL, et mon parrain XySmith. J'aimerais aussi remercier mon producteur, sa femme, ma môman,...
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