Étudiant en médecine
| Etudions Médecin | ||
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| Futur Médecin dans son milieu naturel | ||
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| Règne | Bimammalia juvenis | |
| Famille | Riche | |
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Fallait-il faire des études avant de pratiquer ? Vous avez voté pour « Baboubilou » le 16 avril 2023 à 17:24. Vous pouvez modifier votre choix en cliquant sur une autre réponse ci-dessous. 4 52 Il y avait 56 votes depuis l’élaboration du sondage au 6 avril 2019 à 17:39. poll-id E9E595C0DA4F04F9B81B72B393C7D8A3 |
Comme son nom et son sang bleu l'indiquent, l'étudiant en médecine étudie pour devenir médecin si l'icône née de ses souvenirs de jeunesse est Nip ou Tuck. Sinon, il étudie pour faire comme papa, ou pour draguer les infirmières. L'étudiant en médecine a tendance à se féminiser aussi vite que la baisse du pouvoir d'achat de ses futurs confrères et la masculinisation du métier d'infirmier. La diplômée en médecine reste cependant rare — vu la longueur des études, la prenneuse-assidue-de-notes-toute-jolie-avec-des-titres-en-couleur tend à échouer misérablement au test de grossesse.
Étymologie
Dérivé du grec Γυμνάσιος ατελήθάνατοάνθρωποςεγμεηθοθωμοϕιλος, gymnasios atelithanatoanthroposegmentotomophilos ("l'étudiant qui baise les membres découpés de cadavres incomplets humains"), et du latin studentis medicus ("celui qui étudie mes dix postérieurs"), l'éthylologie d'étudiant en médecine est aussi gonflée que le ballon que souffle l'étudiant au sortir d'un bal de médecine.
Activités
Initialement, l'étudiant en médecine campe dans les auditoires et les bibliothèques pour faire sa première année en moins de 10 ans. Il y découvre les bases de la chimie[1], de la physique[2], et de la biologie[3]. Passé cette étape, il préfère les champignons et l'alcool, et apprend à suivre durant ses stages les internes « jusque dans les chiottes »[4]. Il en profite pour tripoter les patientes, apprendre à masquer ses lacunes, et faire semblant de savoir ce qu'il fait. Avec un peu de chance, il ne tuera son premier patient qu'après son diplôme.
Les examens restent cependant une de ses activités les plus régulières, et se font essentiellement sous la forme de QCMs[5] qui visent:
- à vérifier l'acuité visuelle des étudiants : les réponses sont présentes dans les notes de bas de page des slides en police -10.
- leur aptitude à mémoriser des mots improbables : ceux de maladies qu'ils ne traiteront jamais pour flatter l'ego de leurs professeurs, et ceux de médicaments inutiles pour enrichir les firmes pharmaceutiques.
Religion
Lorsqu'il a le blues, l'étudiant s'engage dans des activités mystiques, qui consistent à faire tout ce qu'il déconseillera plus tard à ses patients (se bourrer la gueule et la panse, labourer sans protection ses condisciples, bourrer sa pipe à eau,...), afin d'oublier ses tendances hypocondriaques[6] et suicidaires[7]. Il démontre ainsi sa mauvaise foi innée, ou cirrhotique.
En France, ces pratiques sont structurées dans des sectes locales : l'étudiant en médecine prête le serment d'Hyppocryte pour ne devenir ca-rabin. Il peut alors se coiffer de sa faluche pour affirmer sa virilité et la localisation de son cerveau, ce qui n'a ni queue ni tête. Les filles se font quand à elles tirer dans les bals de médecine pour devenir carabines.
Débouchés
L'étudiante en médecine peut devenir pédiatre et concilier ainsi vie professionnelle et familiale, tout en renforçant l'immunité de ses enfants en les exposant aux germes de ses jeunes patients. Elle peut également jeter son dévolu sur les pontes d'autres spécialités, et monter grâce à son Qi. Si elle est nombriliste, elle peut se rabattre sur la gynécologie.
L'étudiant en médecine se tournera vers des spécialités diverses en fonction de ses aspirations personnelles (cf illustration), et en France, de ses résultats à des Examens Carrément Nuls.
L'origine de l'étudiant en médecine est aussi déterminante : s'il a été formé dans un pays d'Afrique ou d'Amérique du Sud, il pourra balayer les rues en Europe, s'il a été formé en Suisse, vendre des médicaments aux patients aisés ou devenir euthanasieur, s'il est g'nevois, ouvrir une clinique privée.
Carrière politique
S'il aspire à une carrière politique, il ira Montrer Ses Fesses aux tropiques, ou Copuler Intensément dans des Camps de Réfugiés, avant de s'inscrire au PS français, puis de devenir ministre dÉsaffaires étrangères d'un gouvernement de droite.
Histoire
Au Moyen-Âge, l'étudiant en médecine étudie avant tout la théologie, pour pouvoir par la suite délivrer les derniers sacrements à ses malades, tandis que l'étudiante en médecine est brûlée sur la place du village les nuits noires et rigoureuses. Avec les progrès de la médecine, le futur médecin suit alors les cours de charlatans empoisonneurs jusqu'au XXe siècle où, la chirurgie étant enfin devenue une branche médicale, il guérit ses premiers patients et enterre ses premières victimes. Avec le remplacement des nonnes par des nymphirmières dans les hôpitaux, les études médicales gagnent en attrait. Conjuguée à des politiques de plus en plus pressantes de rationnement des soins, au vieillissement de la population, et à l'instauration d'un Humérus clausus [8], ce changement démographique explique le débordement des auditoires, et l'adoption de coutumes rigolotes dont le lancé de primants n'est qu'un exemple anecdotique[9].
Étudiants en Médecine Célèbres
Aussi surprenant que cela puisse paraître, la plupart des médecins ont été étudiant un jour. On reconnaît ainsi comme ex-étudiants en médecine célèbre :
Notes
- ↑ Caféine,cocaïne, Red bul.
- ↑ Si un redoublant jette une primante d'une fenêtre de 20 étages, quelle diamètre aura la flaque de sang, et pourra-t-on, en parlant du physique de l'étudiante, dire d'elle est plate ?
- ↑ La sélection darwinienne par le Numerus Clausus.
- ↑ Poutine, parlant des étudiants tchétchènes.
- ↑ Questions Cons et Méchantes.
- ↑ Il s'imagine les symptômes de ses livres.
- ↑ Pour se préparer à son avenir.
- ↑ Littéralement Bras fermé, et par extension Bras d'honneur.
- ↑ Cf note 2.
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