Désinformation:Couper les membres infectés par le COVID-19 serait une pratique grandissante en Afrique

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Couper les membres infectés par le COVID-19 serait une pratique grandissante en Afrique

De notre envoyé spécial  DrLaethem (discussion) - ‎le 1 février 2021

ParisFrance — Couper les membres infectés par le COVID-19 serait une pratique grandissante en Afrique

Les gouvernements se surpassent pour être les plus originaux en matière de répression liée au COVID-19. Certains imposent des amendes draconiennes, certains vous étouffent, certains vous empêchent de parler. En Afrique, la nouvelle tendance, comme nous le rapporte notre confrère de SudInfo, serait de couper les membres des récalcitrants n'ayant pas appliqué le gel hydro-alcoolique.

La sentence à première vue inhumaine est cependant à mettre en contexte. Elle ne serait appliquée qu'aux récalcitrants après trois récidives et après un refus catégorique de se désinfecter les mains en présence de l'officier de contrôle. Les personnes vaccinées au moyen d'une Vaccination par ARN-messager seraient épargnées. L'utilisateur contrevenant peut par ailleurs choisir l'amende, laquelle s'élève à pas moins de 3000$, ce qui correspond au revenu annuel d'un ménage. Par ailleurs, elle ne serait pas irrévocable, le condamné peut se voir re-greffer le membre coupé après avoir réalisé des travaux d'intérêt généraux dans le cadre des mesures anti-covid et des gestes barrière. La polémique locale porte sur la durée des injonctions du tribunal et de la mise en place des travaux, car après deux semaines la greffe n'est plus possible. Le procureur du roi témoigne : En Afrique tout est plus long.

Ôte-gland-de-lait

Dans des pays où l'Immortalité n'est pas plus présente que dans nos contrées, afin d'assurer des découpes hygiéniques et en évitant la prolifération de la gangrène dans des pays où le gel hydro-alcoolique a détruit toute immunité (de manière deux fois plus grande que le HIV selon l'agence nationale des statispiques avec la méthode logarithmique), la remise en place de guillotines nationales serait en cours. Des modèles réduits seraient à l'étude pour les petits commerces et les bordels (Modèles inspirés de la Guillopine ou de l'Ôte-gland-de-lait). Polémique encore car le gel hydro-alcoolique se raréfie et ferait rouiller les lames, donnant recrudescence au Tétanos dans les régions les plus reculées.


La France, si elle prétend être contraire à de telles pratiques dites anticonstitutionnelles (Un décret d'Adolphe Crémieux du 25 novembre 1870 réforme l'usage de la guillotine en supprimant l'échafaud sur lequel elle était dressée) étudie dans une certaine mesure l'optique de pratiques plus rédhibitoires. La Mairie de Paris affirme : "Les Français ne se désinfectent pas plus les mains en 2021 qu'ils ne se les lavaient l'an dernier à la sortie des urinoirs" France-Impresse. Que faire ?

Les journalistes de la Délibération de conclure : C'est donc face à une course à la répression que les citoyens se retrouvent lorsqu'ils ne pratiquent pas les gestes barrière. Qui peut en 2021 affirmer "j'ai moins peur des nouvelles règles gouvernementales ce matin" ?