Désinformation:La dÉsencyclopédie réussit à pirater le site du Gorafi

Un article de la désencyclopédie.
Aller à la navigation Aller à la recherche

La dÉsencyclopédie réussit à pirater le site du Gorafi

De notre envoyé spécial  χλςmith ΤrismégistΞ Pendu or.png - ‎le 1 septembre 2015

ParisFrance — Cela faisait plusieurs semaines que les ingénieurs réseaux de la sencyclopédie, le célèbre site internet, œuvraient dans l'ombre et préparaient un assaut contre le journal parodique challenger.


Le Gorafi c'est fini !

C'est le message qu'a inscrit notre racteur en chef Cédric Spatiotemporel sur la page d'accueil du site Le Gorafi, à l'issue de l'intrusion menée avec succès par ceux que les services secrets du monde entier appellent les anonymous-singes.

Le message est donc clairement lancé à destination des rédacteurs du site : méfiez-vous, car votre fin est pour bientôt.


L'opération, qui aura pris 76 heures à la trentaine de pirates dépêchés pour l'occasion sur le site de Compiègne, dans l'Oise, où sont basés les locaux de la sencyclopédie, a été couronnée de succès. Une fois de plus.

Et la menace est, d'après notre enquête menée en interne, à prendre plutôt au sérieux si l'on en croit le passif de l'encyclopédie simiesque en ligne. La sencyclopédie n'en est en effet pas à son coup d'essai, ayant réussi en 1985 à enterrer le journal satyrique Hara-Kiri, puis en 1988 à provoquer l'assassinat de Pierre Desproges dans des circonstances peu claires.


Toute la presse en ligne ne titrait plus hier dans la soirée que sur le piratage dont avait été victime le Gorafi. Les annales s'en souviendront pour longtemps.


Mais le Gorafi continue

Bien que l'annonce a rassuré une bonne partie de la presse française non-écrite, pour qui la pâle copie du Figaro n'est qu'un concurrent difficile à cerner en plus, l'équipe de la sencyclopédie s'est pourtant rendue d'elle-même à la police à l'évidence : comment le site pourra-t-il prospérer s'il n'y a pas de concurrence, en face, pour en souligner constamment, quotidiennement, la qualité supérieure indéniable ?

C'est conscient de cette responsabilité sociale que tout l'équipe, et le racteur en chef en particulier, ont décidé de rendre la supercherie publique plus tard dans la journée.

NON, le Gorafi ce n'est pas fini, ce n'était qu'une blague que nous avons placée dans la bouche de notre muse commune.


Pardonne nous, Gorafi, mais notre pouvoir impliquait qu'un jour, nous nous en servions. À charge de revanche.


LogoDesinfo.png  Portail des Informations