Patrick Sébastien se dit extrêmement choqué par le fait qu'une ministre de la famille ne pratique pas la fellation avant de dormir
De notre envoyé spécial
χλςmith ΤrismégistΞ ⇒
- le 4 mai 2015
« Une petite pipe avant de dormir est une oeuvre qui peut choquer, j'en conviens », a concédé M. Sébastien. « Mais que Dieu me préserve (-atif ), la secrétaire d'Etat a mal interprêté mes propos : elle est tout-à-fait libre de crapoter, voire de pratiquer la pipe au réveil qui est également un moment de la journée tout indiqué ! » s'est-il excusé, comprenant qu'il était aisé pour un père de famille, à l'écoute de la chanson, de confondre se faire tailler une pipe par sa femme et se faire tailler une pipe par sa fille de 12 ans, deux expressions étymologiquement très proches l'une de l'autre.

Selon un communiqué de son Ministère, le Gouvernement dans son ensemble condamne ces paroles honteuses. Le porte parole du Gouvernement, celui qui porte une cravate avec des petits moutons dessinés dessus, s'est ainsi exprimé au nom de la majorité : « On pouvait accepter une telle chose au Moyen-Âge, lorsque tout le monde pensait que la pipe était une chose socialement acceptable qui faisait puer de la gueule ou provoquait le cancer de la langue ! On pouvait fermer les yeux - et les oreilles - quand dans les années 80, un oubliable Desproges glissait doucement vers l'odieux et l'innommable ! On pouvait sourire au début des années 2000 à l'écoute d'un sketch pénien de Jean-Marie Bigard ou d'une subtilité formulée par le chevalier des Arts et des Lettres Danny Boon...mais tout cela est terminé ! Le Gouvernement ne laissera plus jamais une parole non-homologuée être prononcée en prime time ». Et de terminer par le choix des mots appropriés qu'aurait dû retenir M. Sébastien, « un calin chaste de taille convenable concomitamment à l'assoupissement de mon mari », qui sous cette forme aurait tout-à-fait pu être entonné par une Nabilla branchée sur plug anal un mercredi à 14h pendant l'équivalent moderne du Club Dorothée.

On y découvre les jaquettes de mauvais goût de Patrick Sébastien, ornant des disques aussi divers que « Mon doigt dans ta chatte » ou « Ta culotte sur ma tête Vol. 1 »...
Si Laurence Rossignol explique que la dangerosité de l'amalgame qu'elle envisage dans sa tête est inversement proportionnel à la température de l'eau, c'est avant tout pour une question d'argumentation et pour rendre son intervention asmathique plus consistante.
Source : [1]
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