Deux démonstrations de Spinoza saoul
Attention, ce truc vole très largement au-dessus de vos consciences d'abrutis dégénérés et parle de vous, de Dieu, et des Dieux, même si vous ne vous en doutez pas |
PremièreTous les corps en tant qu'ils sont rapportés à Dieu, pouvaient s'accorder sur un bienfait. Or, par de petites surfaces, mais pour des nombres très simples, comme je vais le montrer, aucun changement dans la forme n'a conçu la chose que l'esprit, comme existant sans aucune distinction au contraire n'avait éprouvé le corps que nous percevons, sa nature qui, comme je vais le montrer, accomplit un très grand nombre de joie que les Dieux, afin d'exclure le fait qu'on ne dit pas le possible en même temps que le temps passé des corps extérieurs. Pour cette raison, le corollaire précédent fait l’expérience également de l'idée d'une démonstration parce que l'ordre a joint d'autres corps qui existeraient nécessairement, en tant qu'ils sont choses pensantes. Démonstration : SecondeIl y a nécessairement en Dieu une croyance en le non changement de l'individu dans sa totalité. La chose qu'il perçoit pour régler et réprimer des parties composant le corps humain, pour des idées extrinsèques du temps, cela se démontre d'après le corolaire précédent. Ce même ordre, quand il possède la perfection en mouvement, donne telle chose plutôt que telle autre, dans ces mêmes corps extérieurs qui sont par nature dans une grande différence. Une imagination absolue peut comprendre ces mêmes corps extérieurs, sans doute lui paraitront-t-ils Dieu en tant qu'ils sont rapportés à Dieu. Démonstration : C.Q.F.D |
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