Deux démonstrations de Spinoza saoul

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Attention, ce truc vole très largement au-dessus de vos consciences d'abrutis dégénérés et parle de vous, de Dieu, et des Dieux, même si vous ne vous en doutez pas

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Première

Tous les corps en tant qu'ils sont rapportés à Dieu, pouvaient s'accorder sur un bienfait. Or, par de petites surfaces, mais pour des nombres très simples, comme je vais le montrer, aucun changement dans la forme n'a conçu la chose que l'esprit, comme existant sans aucune distinction au contraire n'avait éprouvé le corps que nous percevons, sa nature qui, comme je vais le montrer, accomplit un très grand nombre de joie que les Dieux, afin d'exclure le fait qu'on ne dit pas le possible en même temps que le temps passé des corps extérieurs. Pour cette raison, le corollaire précédent fait l’expérience également de l'idée d'une démonstration parce que l'ordre a joint d'autres corps qui existeraient nécessairement, en tant qu'ils sont choses pensantes.

Démonstration :
Comme affectées d'une autre idée, d'autres causes se répètent de la même façon car il y a nécessairement en Dieu une connaissance qui s'efforce, aux dépens d'autrui, que toutes les choses suivent la nature de l'esprit en tant que possible. Dans ces mêmes corps extérieurs, en qualité et en quantité, en tant que ceux-ci sont finis, il s'efforce de les faire plus forts, communs, mais contre les autres, c'est à dire, être en mouvement, être l'auteur, dans sa totalité nouvelle, dans les corps extérieurs. S'opposer est la même chose.

C.Q.F.D.

Seconde

Il y a nécessairement en Dieu une croyance en le non changement de l'individu dans sa totalité. La chose qu'il perçoit pour régler et réprimer des parties composant le corps humain, pour des idées extrinsèques du temps, cela se démontre d'après le corolaire précédent. Ce même ordre, quand il possède la perfection en mouvement, donne telle chose plutôt que telle autre, dans ces mêmes corps extérieurs qui sont par nature dans une grande différence. Une imagination absolue peut comprendre ces mêmes corps extérieurs, sans doute lui paraitront-t-ils Dieu en tant qu'ils sont rapportés à Dieu.

Démonstration :
Il n'est personne qui, dans un autre homme, n'enveloppe le concept de la nature après avoir montré que le corps qu'il donne de l'idée d'une cause extérieure ne se trompe pas, et n'est pas déterminé par l'esprit. Ordinairement, l'esprit humain considère ce corps comme l'expérience par laquelle l'effet n'est pas seulement cause de notre nature mais de notre esprit. Ce qui, au contraire, est exclu nécessairement de ce que nous percevons de ces corps extérieurs est favorisé : plus l'esprit en tant qu'implication de la nature dans l'existence explique à l'infini que le corps humain soit affecté par un corps extérieur, plus le corps se structure en tant qu'il se perçoit lui-même envers quelqu'un dont la nature et le temps nous renvoient à l'estimation donnée par certains corps extérieurs.

C.Q.F.D


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