Ma belle-mère
Dans le cadre d'un changement d'orientation humoristique dÉ-so-pi-lant, et dans l'unique but d'accaparer le best-of de la Désencyclopédie, l'auteur de cet article est fier de vous présenter un article NOUVELLE GENERATION écrit en trente minutes, j'ai nommé : Ma belle-mère ! Cet article répond au nouveau cahier des charges de la Désencyclopédie 2008, à savoir :
- Aucune référence culturelle
- Aucun raffinement
- La volonté de se faire comprendre par le plus grand nombre
- Des blagues ! (des vraies !)
- Pas trop long (surtout !)
Aux courses
L'autre jour, ma belle-mère Germaine et moi on va aux courses ! On va à la boulangerie, et là, la boulangère nous vend un bâtard (NB : c'est une sorte de pain)[réf. non nécessaire]. "Y'en a déjà un avec moi" dit Germaine. Quelle salope !
Et après on va à la poissonnerie, et là le poissonnier il dit : "Elle est fraîche ma moule !"
Alors moi je réponds : "Ben Germaine, ça doit vous changer !"
(NB : moule = sexe féminin en argot)[réf. non nécessaire]
Refrain :
Tireli pin pon sur le chihuahua
Tralali lala tripote-moi le sgueg avec les doigts !
Tralala pouêt pouêt, saussiflard et tartiflette
C'est la belle-doche qui pète, c'est bien pour ça que ça fouette !
Au bar
Alors ensuite avec ma belle-mère germaine on va au bar boire un coup. Au comptoir, y'a un belge.
Ma belle-mère, elle lui dit :
Tireli pin pon sur le chihuahua
Tralali lala tripote-moi le sgueg avec les doigts !
Tralala pouêt pouêt, saussiflard et tartiflette
C'est la belle-doche qui pète, c'est bien pour ça que ça fouette !
Aux impôts
Pis un jour faut aller payer ces saletés d'impôts (NB : Pour les monégasques qui malheureusement ne comprennent pas l'humour franco-français et dans un souci d'œcuménisme humoristique pour le désenclavement de l'humour hors des barrières chauvines de l'hexago-centrisme, l'aparté suivant est pour vous : les impôts sont une contribution que les citoyens paient à l'État. Il s'agit d'une sorte de participation à l'entretien du pays payée par les gens qui en ont approximativement les moyens. La plupart des gens grondent après les impôts, car les impôts c'est du vol, et qu'on pourrait très bien faire appel à des organismes privés pour fournir en moins bien et plus cher ce qu'offre l'État. Fin de l'aparté. J'espère que la remise à niveau culturelle s'est bien déroulée, vous pouvez rattacher vos bretelles, on va bien se gausser fendre en deux d'hilarité faire vibrer les zygomatiques, merde, trop compliquée aussi cette expression rire). Alors ma belle-mère Germaine et moi on va au Centre des impôts.
Arrivés devant le percepteur preneur de l'argent des impôts, je vois que ma belle-mère a ramené un seau d'eau ! Je lui demande :
Tireli pin pon sur le chihuahua
Tralali lala tripote-moi le sgueg avec les doigts !
Tralala pouêt pouêt, saussiflard et tartiflette
C'est la belle-doche qui pète, c'est bien pour ça que ça fouette !
TA-TA-TA-TA-TA .............................................POUÊT POUÊT !
Mr.T dit : | |
Oulala j'ai failli décrocher ça devenait intello ! |
- ↑ Lors de l'échange de biens sur un marché (notamment financier), chaque bien est caractérisé par une valeur, qui est formée par un consensus entre tous les acteurs du marché. Toutefois, une deuxième grandeur caractérise les biens sur le marché : leur liquidité, c'est-à-dire la facilité que l'on a à trouver un acheteur ou un vendeur lors d'une transaction. Cette liquidité influe sur la valeur des biens, car quelque chose que l'on ne peut revendre facilement vaut moins cher. Par exemple, une maison ou un immeuble est assez illiquide : il faudra plusieurs jours ou semaines pour réaliser une transaction. A l'opposé, la monnaie est ce qu'il y a de plus liquide, par définition. La monnaie papier est encore plus liquide qu'un chèque, puisqu'elle peut être ré-échangée sitôt reçue. D'où l'expression payer en liquide.
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