Forum:VBO/Ma bite c'est de la dynamite
- Nomination décembre 21, 2016 à 17:29 (UTC)
- BO, parce que cet article le vaut bien. Kagg de Las Cales avril 14, 2017 à 21:25
Votes Best Of
Pour
- J'étais en train de regarder un peu tous les articles de l'année pour commencer mon top 10, lorsque tout à coup, je suis tombé sur cet article. Et je me suis rendu compte que c'est l'un des articles de Pruster de cette année que j'ai le plus apprécié. La chute est, d'ailleurs, vraiment bien trouvée. décembre 21, 2016 à 17:29 (UTC)
- Quand je pense que j'ai vécu un an sans savoir que cet article existait. J'ai perdu un an de ma vie. --Bazoumboy Deluxe (discussion) janvier 18, 2017 à 09:37 (UTC)
- A mettre entre toutes les mains, je parlais de l'article janvier 22, 2017 à 17:20 (UTC)
Contre
Blanc + commentaires
- Justification juste de mon vote lâche. Oui, et puis la fin est faiblarde par rapport au début. --Psychoparten, Combattant sanguinaire, mais humaniste janvier 29, 2017 à 10:22 (UTC)
- Je suis assez d'accord, mais en même temps, je me dis qu'une fin faiblarde, c'est quand même mieux que la torture des bébés pandas. Pruster II : La Réponse février 27, 2017 à 20:26
Critiques constructives
Chapô
Tout le monde me regarde avec admiration aujourd'hui, recherchant ma présence pour récupérer un peu de mon prestige rayonnant. Je comprends cela, et je ne juge pas, mais je voulais tout de même que vous sachiez que je n'ai pas toujours été l'homme que je suis aujourd'hui. Avant, je n'étais qu'un petit garçon, seul avec son père, et sa bite.
Je viens de me relire là, et je prends conscience de l'ambiguïté de ma phrase : "et sa bite". Je parlais de la mienne, pas de celle de mon père. J'imagine que mon père avait une bite, mais aucun rapport là, pas de truc glauque genre le père qui se gratte les couilles ou qui pète, non non. Et pas de trucs pires non plus, genre le père qui dit que pleurer c'est mal, alors que ça fait du bien.
Enfance difficile
Toujours aucun rapport avec la bite de mon père, je vous rassure. Non, en fait, comme de nombreux enfants de mon quartier pauvre (que l'on surnommait "La salle de bain du purgatoire"), ma mère était morte. En effet, c'était une transsexuelle femme piégée dans un esprit d'homme, lui même piégé dans un corps de femme, dont l'esprit était atteint de troubles dissociatifs de l'identité. Ainsi, étaient également piégés dans ce corps aux genres indéfinis : un banquier suisse, un percepteur japonais, un chasseur malgache, un nain, un jardin, une taupe-kangourou, un mercredi après-midi et une virgule. Elle est morte lorsque le chasseur malgache a tué la taupe-kangourou, classique.