Hippie
Les hippies sont apparemment des êtres heureux de la vie et contents de vivre, au contraire des gothiques... Autrement dit, nous nous amusons avec ce que l'on possède pour fuir ce gouvernement de merde et pouvoir enfin être entendus par le reste de la population. Bien qu'il y ait bon nombre de préjugés positifs à leur sujet, ils sont des êtres dangereux au plus haut point, tels les hollandais...
Majoritairement peuplé de poils servant d'écosystème à une faune et une flore particulièrement sélectives, identifiable au gilet en peau de mouton artisanale et poncho multicolore typique, ils aiment se rassembler dans des Bidonvilles (à défaut d'un mini van Volkswagen) où l'hygiène ne semble pas être une priorité. Facilement reconnaissable, ils peuvent toutefois être confondus avec des clowns ou des SDFs auxquels ils sont apparentés (leur comportement variant du saltimbanque au plus dépravé des routards), cependant un hippie ne porte jamais de vêtements Bathing ape vielle marque d'habille our les clocherds ce qui permet de les différencier d'un rapide coup d'œil. Ils portent également des clochettes, ce qui permet aussi aux aveugles de leur cracher dessus. Ces créatures ont développé un langage articulé, propre à leur espèce, incompréhensible à tout être humain ayant absorbé plus de 10 centilitres de coca-cola au cours de son existence, ou autre soda "capitaliste" (je cite...).
La population des hippies admet comme but suprême de son existence de sauver le monde ; et pour cela, elle est prête à utiliser tous les moyens dont elle dispose, à savoir fumer du Cannabis, jouer du didgeridoo, faire l'amour (et surtout pas la guerre), mais leur but secret est tout autre : le monopole planétaire des paniers en osier et des objets en rotin, les rares personnes qui s'opposeront à ce sombre dessein le payant de leur vie, John Fitzerald Kennedy, Carlos, et Dora l'exploratrice faisant partie de ces opposants sacrifiés. Seul José Bové y parvint en les privant de leur ressource alimentaire principale : le fromage de chèvre.
Les meilleurs moyens de nuire aux hippies est de couper leur herbe (ou leur dreadlocks) avec de la laine de verre, leur proposer un job à responsabilité, leur planter un pieu dans le cœur et leur couper la tête puis les bruler dans un bain d'acide ou de diffuser du métal.
Hypothése de Von Vonderstüzdelauch
Bien des scientifiques se sont attelés à découvrir la manière qu'auraient ces 2 actions d'influer sur la biodiversité mondiale, mais cependant seul le professeur Von Vonderstüzdelauch de l'université de Katmandou, grand lieu de culte Hippie a émis une hypothèse recevable sur la philosophie hippie qu'il a résumé ainsi :
« Rien à foutre de ces foutus chevelus qui nous pourrissent la vie depuis plus 50 ans. En fait, si leur philosophie n'était pas de se reproduire comme des lapins, ils auraient disparu, transformés en pierre par la consommation d'un dangereux psychotrope qui pervertit notre jeunesse ! »
C'est ce même professeur Von Vonderstüzdelauch qui mourut d'un grave excès de stupidité au cerveau, 3 mois après la publication de sa thèse "Comment concilier cannibalisme et pédophilie" -cf. clown-, repose en paix dans le cimetière Raëlien où il fut enterré selon les rites Wallons.
Contrairement à ce que l'opinion publique pourrait laisser penser, les hippies ne sont pas humains. En effet, ces étranges Koalidés de la 2ème famille des Jmerepozunpeu-idés sont d'étranges créatures...
Ils vivent en clans de 5, et ont absolument besoin -et il en va de leur survie- d'un guitariste. En effet, sans un bon petit air "zen" de guitare sèche, le hippie ne peut pas proliférer sur Terre. En parlant d'air, le hippie ne se contente pas de l'habituel air à base d'oxygène et d'azote dont la majorité des espèces vivantes sur notre chère planète requièrent, non, ils ont fréquemment besoin -nous reprenons leur expression- « D'un bon oinj, pour "détendre l'atmosphère" »...
Le hippie moyen est bien évidemment persuadé que « le monde va mal », et quand nous lui demandons d'être plus précis à ce propos, il rentre dans une sorte de transe hallucinogène, nous regarde droit dans les yeux et rétorque : « C'est le système !...Le SYSTÈME est à la base de tout... »
Ceci est généralement suivi d'un exil du hippie, qui subira sa première mutation : "L'ermite"... En effet, il partira seul en forêt et y vivra jusqu'à plusieurs mois en tentant de trouver la solution aux problèmes astro-machinotiques... Le hippie rentrera enfin auprès des siens, qui fêteront cet événement autour d'un bon "calumet de la paix maison" joyeusement agrémenté d'un doux air de guitare sèche jouant éternellement ce bon vieil air de Janis Joplin...
Hypothèse de Thiers
Le but de la vie d'un hippie se résume donc à sauver la Terre en faisant l'amour et en fumant des pétards. Mais cependant il semble que ces derniers ne se lancent dans de telles actions que dans certains endroits, appelés couramment par les néophytes champs ou terrains vagues, mais que les hippies eux nomment « Lieu de communion avec mère nature ». À ce propos Adolphe Thiers eut un mot particulièrement pertinent :
« Quoi de plus con qu'un hippie qui fume un pétard dans un parking ? 2 hippies qui copulent au milieu d'une usine de dentifrice... »
La clarté de cette question rhétorique visionnaire ne peut que nous surprendre.
Hypothèse richenous
Dans la lithurgie richenous, les hippies sont considérés comme les ennemis de Skippy le grand gourou. En effet, la valeur de leur biens matériels étant si inconsquente (voir la cote argus des vans Volkswagen !), ils échappent ainsi aux préceptes richenous qui veulent que « tout bien que tu détiens est un soucis qui te retient ». Aussi leur consommation élevé de psychotropes ne laisse que peu de prise à Skippy pour les guider vers « une nouvelle façon de pensée cosmique vers un nouvel âge réminiscent ». Leurs cerveaux étant déjà lessivés, son influence est alors nul. Pour remédier à cela, Skippy décida de les exterminer. Il confia d'abord cette mission à un de ses fidèles adeptes de l'époque John Fitzerald Kennedy. Malheureusement, ce dernier se fit abattre par les hippies qui firent accuser le pauvre Lee Harvey Oswald.
Métamorphose
La vie d'un hippie qui semble à première vue très facile, est en fait l'une des plus difficiles à mener. En quittant cette vie pour devenir golden-boy, de nombreux hippies se renomment alors « Yuppies » du cri qu'ils poussent après leur reconversion, mais avant de devoir se couper leurs cheveux pleins de feuilles... Les plus atteints finiront dans des sectes comme celle de Raël ou l'UMP.
En effet, le fait de faire l'amour en permanence est très épuisant, et de plus, le hippie doit changer de partenaire à chaque rapport, ce qui le force à devoir copuler avec toutes sortes de choses, incluant chèvres, poissons (de la famille du thon surtout), ou même dans les cas les plus extrêmes, de non-hippies (ces cas extrêmement rares sont pour la plupart tenus secrets, par la CIA, de peur que la nouvelle que les hippies et les hommes puissent avoir une descendance fertile ne cause un mouvement de panique, surtout chez les habitants d'un petit village pittoresque des États-Unis appelé Woodstock).
De plus, le fait de devoir fumer en permanence cause de nombreux problèmes aux hippies. S'ils s'arrêtent de fumer plus de 15 minutes 47 secondes en moyenne (l'actuel record est détenu par un hippie Thaïlandais qui arriverait à rester plus de 18 minutes 09 secondes sans une bouffée de THC. Cependant un tel exploit prête à suspicion, et le Livre Guinness des Records a envoyé une équipe d'experts en Moldavie pour homologuer ce record.) les hippies commencent à vouloir renier leur espèce et ceux à qui ils ressemblent : ils choisissent alors d'arrêter de fumer en permanence, choisissent leur partenaires sexuels, et même dans certains cas extrêmes, choisissent l'abstinence pendant plus de 24 heures. Pire encore, après 37 minutes de privation, et en cas de survie, le hippie renégat fera des pieds et des mains pour obtenir un rasoir quatre lames, une brosse à dent et un flacon de gel douche; il n'hésitera pas à offrir une faveur sexuelle, un rein, une cornée ou encore Libellule, sa fille cadette, pour parvenir à ses fins. Cette situation demeure toutefois plutôt exceptionnelle tant la consommation de cannabis est ancrée dans le mode de survie du hippie, au même titre que l'usage du mot "mec" ou une haine tenace à l'égard du déodorant pour les pieds.
Faits Marquants dans l'histoire
- 22 novembre 1963 assassinat de Kennedy (1963)
- Août 84 (1967)
- Mai 68 (1968 !)
- Woodstock (1969)
- L'Île de Blanc (1970)
Si vous l'avez adoré, vous pouvez encore relancer le débat.