Jack Nicholson

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Jack Nicholson dans Sacré Graal


« Jack, Nicole sonne, va ouvrir ! »
~ La femme de Jack un soir de réveillon
« Michael, Jack sonne, va ouvrir ! »
~ La mère de Michael, le fils de Jack et neveu de Jim Carrey



Jack Nicholson, né Jackie Sardou Nicholsonski en 1937 à Moscou, est un humanoïde polymorphe dont l'étrange faculté lui a valu une brillante carrière dans le métier d'acteur. Cousin éloigné de Jim Carrey, célèbre lui pour avoir la capacité de mettre sa tête dans son anus sans les mains, Jack Nicholson a été durant son heure de gloire un des piliers du cinéma d'auteur américain. On le retient notamment pour sa formidable performance dans Beethoven 2 (1993) où il interprète le rôle du Saint-Bernard, ainsi que pour La vache et le prisonnier (1959), le film qui l'a lancé, et dans lequel il est absolument méconnaissable en Fernandel. A ce jour, malgré tous les scandales médiatiques qui l'ont ébranlé (on lui attribue en particulier une relation avec la chienne colley de la série Lassie), Jack Nicholson reste un des modèles d'une génération d'acteurs d'un genre nouveau.

Les débuts

C'est dans les égouts de Moscou, le 22 avril 1937, qu'est venu au monde le petit Jackie. Abandonné par ses parents, il fut aussitôt recueilli par Splinter, qui lui offrit la même éducation qu'aux Tortues Ninja. Très vite, il découvrit le potentiel de son pouvoir d'humanoïde polymorphe, et s'imagina une carrière dans le monde du cirque, au grand dam de Splinter qui rêvait de lui faire suivre les études de droit qu'il avait raté vingt ans plus tôt. Mais son ambition fut telle que dés 1955, alors âgé de 18 ans, il quitta Moscou pour aller vivre comme un manouche aux quatre coins de l'Europe. Deux années durant, il travailla d'arrache-pied comme bête de foire pour un ridicule salaire à peine digne d'un poney. C'est ainsi qu'en 1957, plus motivé que jamais, il pris la décision de quitter le vieux continent pour partir à la conquête d'Hollywood.

Prestation pour Savane Extreme POV qui lui valut de remporter l'award Meilleure scène anale animalière

Au cours des premiers mois, il assura sa survie grâce à ses qualités de gigolo. Plus tard, il commentera cette période de sa vie: "C'est là que j'ai compris le véritable sens de l'expression casser la croûte." Il exerça également un nombre incalculable de jobs tous plus ingrats les uns que les autres, jusqu'à enfin obtenir un petit rôle dans Basse-cour Orgy Vol.8 (1958), film zoophile à petit budget dans lequel il campa une poule lubrique prise d'assaut par une armée de chibres.

Tout s'enchaîna alors très vite pour Jack Nicholson, qui accumula les rôles dans les superproductions pornographiques à caractère déviant, tout en mettant son polymorphisme à rude épreuve. D'où le sobriquet de "pervers polymorphe" qui le suit encore aujourd'hui.

C'est durant l'été 1959, lors du tournage de Drosophiles en chaleur, que lui fut présenté Luc Besson, l'homme qui le fit connaître du grand public avec La vache et le prisonnier (1959). Auditionné tout d'abord pour le rôle de la vache, il fut finalement retenu pour celui du prisonnier, Fernandel étant plein comme une barrique ce jour-là. Cette expérience lui permit de diversifier ses interprétations, sans se limiter aux seuls animaux, et ainsi devenir une célébrité internationale.

Les années noires

Si sa vie professionnelle s'est avérée une véritable réussite, il n'en est pas de même pour sa vie privée. Ces déboires ont commencé par sa rencontre au milieu des années 1960 avec Roman Polanski, violeur et meurtrier nécrophage multi-récidiviste accessoirement réalisateur de cinéma. En 1968, lors du tournage de Rosemary's baby, on raconte que Nicholson (jouant alors le rôle de Mia Farrow) et Polanski auraient mangé un caméraman hippie après l'avoir finement découpé façon carpaccio.

Par la suite, cependant qu'il fut victime d'accusations virulentes de meurtre, pédophilie, viol, torture sur animaux et crime contre l'humanité, Jack Nicholson décida de quitter momentanément le show-business afin de suivre la voie que son père d'adoption avait choisie pour lui. Ainsi, il termina en 1975 une thèse sur l'anthropologie politico-juridique du droit au Turkménistan en 18 tomes, qui lui valut trois séjours successifs en hôpital psychiatrique. En effet, extrêmement affaibli par son travail, il ne se nourrissait plus que d'excréments et ne cessait de montrer ses attributs masculins à qui voulait les voir.

E.T. à gauche et le Joker à droite


Après un prompt rétablissement, il reprit ses activités cinématographiques dés le début des années 1980 avec le rôle d'E.T. l'extraterrestre, dans le film du même nom de Jean-Luc Godard. Cette décennie fut également marquée par son interprétation sans égal du Joker dans le Batman (1989) de Pedro Almodovar.

A partir des années 1990, Jack Nicholson eut beaucoup plus de mal à décrocher des rôles au cinéma car il fut atteint de priapisme, un mal pernicieux dont le principal symptôme peut se traduire par un garde à vous incontrôlable. De fait, il ne dût qu'accepter des films psychologiques, romantiques: des films où son handicap n'apparaitrait pas à l'écran. On a tendance à dire que c'est la raison pour laquelle il est devenu médiocre.

Filmographie (non exhaustive)

acteur


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