Kirsten Dunst
Officiellement, Kirsten Dunst est une actrice germano-suédoise, blonde (occasionnellement rousse), fraiche et dispo. Et c'est de la connerie pure, car aujourd'hui nous savons tout. Kirsten a été démasquée. Ne supportant plus le mensonge et l'aveuglement général , une réalisatrice quelconque a levé le voile sur la terrible vérité...
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Maria Antonia Josepha Johanna de Habsbourg-Lorraine , plus connue sous le nom de Marie-Antoinette d'Autriche ou Marie-Antoinette de France (Vienne, 2 novembre 1755 – morte guillotinée à Paris , le 16 octobre 1793 (à 12h15), était archiduchesse d’Autriche, princesse impériale, princesse royale de Hongrie et de Bohême, dauphine de France, reine de France et de Navarre (1774–1793), épouse de Louis XVI , roi de France . Elle était la sœur de Joseph II d’Autriche et de Léopold II d’Autriche. Elle fut surnommée l'Autrichienne dès son arrivée en France et, plus tard, Madame Déficit. |
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Ça, c'était l'histoire de Marie-Antoinette, aujourd'hui morte... ou pas. Replongeons dans ce chapitre terrifiant de l'humanité pour en comprendre le pourquoi du comment.
Post Mortem
16 octobre 1793 , Paris Place de la Concorde , 12h15 -heure locale.
**schluk !**
Nous nous transposons dans le corps d'un témoin de la scène, source sûre, George Micheal.
Je me trouve actuellement parmi la foule Il est 12h16 et je viens d'assister au plus grand mensonge de l'histoire. La femme décapitée à la minute n'est pas Marie-Antoinette.
Oh certes, les différences sont terriblement discrètes et il faut avoir l'œil sur-entraîné pour détecter ces subtilités.
Et je constate avec surprise que le temps séparant mes années de service de renseignement au KGB à aujourd'hui ne m'a pas fait totalement perdre la main. Je retrouve même de vieux réflexes, comme ...
L'autrichienne avait une mouche sur la poitrine, décalée de deux centimètres sur la droite par rapport à cette imposteur.
Je suis sûr qu'il s'agit là d'un vil complot, et je jure devant Stakanov que je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour dévoiler cette calomnie au grand public.
Le lendemain, appartement de George Michael, 11h10.
Je suis épuisé, mais satisfait. Mes efforts ont porté leur fruit car je suis sur une piste non négligeable :
Hier soir suite à l'évènement, je me suis précipité à Versailles dans l'espoir d'y rencontrer un quelconque indice de compréhension. Je me dirigeais vers le château. Personne. J'allais fouiller les appartements de la reine, lorsque j'entendis des pas précipités se rapprocher de moi... Caché derrière la rangée de buissons royales , je tendis l'oreille .
Un soldat, une femme recouverte d'une longue cape noire et un petit chien... Marie-Antoinette!
Par réflexe, je m'apprêtais à tirer mon revolver de ma ceinture mais ma main ne rencontra que ma hanche.
Bon sang! C'est vrai que je l'avais caché dans mon appartement en arrivant à Paris... Maudite soit cette loi qui interdit le port d'arme à un civil!
Frustré, j'observais cette fuite improvisée derrière mon arbre dans l'espoir de percevoir des brides de conversation.
Voici ce que je réussi à entendre :
J'en suis sûr désormais, l'autrichienne va fuir vers l'ouest. Mais quand ? Qui est cet homme ?
Je dois impérativement surveiller le port le plus proche. Je m'y rendrai cet après-midi. Mais d'abord, reprendre la main avec mon flingue... je risque certainement d'en avoir besoin.
17 octobre 1793 , Port de Paris , 16h35.
Je me trouve actuellement à quelques mètres du prochain bateau en partance pour l'Amérique.
C'est une merveille de paquebot, gigantesque et solide. Les cheminées rouges et noires recrachent un nuage de fumée grisâtre. Il va partir d'ici quelques minutes , au dernier moment je compte bien m'infiltrer dans la soute.
J'aperçois le trio de la veille se faire contrôler avant de pénétrer le bateau , et je dois bien avouer que j'ai failli n'y voir que du feu tant la transformation est radicale.
Le soldat est en costard noir, il parle allemand au contrôleur. Marie-Antoinette ressemble à une jeune bourgeoise mondaine. Une cascade de cheveux blonds lui caressent l'échine et elle a troqué sa robe royale contre un vêtement plus sobre qui laisse deviner un corps aux courbes voluptueuses. Dans ses bras, elle tient fermement son petit chien. Je me rapproche doucement.
Son allemand est très approximatif. Marie-Antoinette le regarde pas le moins du monde intimidée car habituée à cette langue que l'on parle souvent en Autriche.
Un prénom à consonance germanique et un physique de l'est, le contrôleur se fait naturellement entuber. Cette femme a des ressources...
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.
| Des femmes... intrigantes |
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