Madame Smith et la division du travail.
Madame smith
Au deuxième siècle avant Nicolas Sarkozy, vivait dans une fabrique d'épingle un(e) pauvre entrepreneur(e) malheureux(se), Madame Smith. Il est souvent considéré comme le père (ou parfois la mère) de l'économie moderne.
En effet, son célèbre écrit La nature et les causes de la richesse des femmes montre à quel point ce personnage était en fait tourmenté. Voici une rapide étude de son ouvrage.
chapitre 1 : la main invisible
Le concept de la main invisible désigne chez Smith la tendance spontanée que les hommes ont à toucher tout ce qui leur plaît et dans un second temps de faire croire aux personnes concernés que c'était en faite l'acte d'une main invisible. Par exemple, Smith aimait tripoter d'autres femmes et hommes que sa femme, et quand il se faisait remarquer il prétendait que c'était la main invisible.
Ce concept a pris plus d'importance aujourd'hui avec son extension au "c'est pas moi qui l'est fait"; cependant il a perdu de l'importance dans son fonctionnement premier et sert actuellement au pater à expliquer pourquoi il rentre tard du boulot, la main invisible ayant pris maintenant un aspect économique.
Passons enfin au chapitre deux: la division du travail
Bien feignant de travailler, Smith s'est dit un beau jour que tout le monde pourrait se partager le travail. Bien qu'une épingle soit pas si longue que ça à fabriquer, Smith a quand même réussi à diviser en 12 tâches la fabrication d'une épingle. Et c'est ainsi qu'il résolut le problème du chômage, en rendant la fabrication des épingles plus tachetées. Avouons que Madame Smith pouvait être fier de ses ouvriers qui arrivaient à être 12 sur une épingle en même temps.
Mais la division du travail a aussi un champ d'application différent (le préféré de ce travelo) sur lequel je ne m'étendrais pas tant que je ne saurais pas si Madame Smith était une femme ou non.
Avez-vous retenu la leçon?
Smith et Ricardo sont sur un bateau, Ricardo tombe à l'eau, qui l'a poussé?
La main invisible bien sûr.