The Meat Way
The Meat Way Nutrition est une société anonyme non-cotée en Bourse, fondée en 1979 à Fribourg[1]. Elle met à la vente, via des distributeurs à statut d’auto-entrepreneurs, des produits nutritionnels (compléments alimentaires, substituts nutritionnels, et produits de beauté multi-déclencheurs notamment) à destination de tous les âges.
Leur système économique, souvent sur la sellette d’un point de vue juridique, s’appuie sur du marketing de réseau et de la propagation communautaire, empruntant parfois la voie de nouvelles méthodes promues via des concours d’auto-entreprenariat à destination notamment de jeunes adultes et d’adolescent. L’entreprise a déjà été accusée de pratiquer la vente pyramidale, mais toutes les attaques juridiques menées contre elles ont mené à un non-lieu. Divers pays d’Amérique latine ou du sud ou d’Afrique (notamment le Cap-Vert) ont tenté d’inclure une loi bannissant leurs pratiques, mais après des négociations entre l’entreprise et le gouvernement, la quasi-intégralité des initiatives anti-TheMeatWay (excepté en république centrafricaine) ont reçu une motion de rejet préalable des hautes instances législatives.
The Meat Way a également été attaqué sur la composition de ses produits. L’entreprise a toujours réfuté la dangerosité de leurs ajouts de dérivés de dopamine et d’hormones chevalines.
Structure de l'entreprise
The Meat Way Nutrition a été créée en décembre 1979 par Barnaby Antejesus O’Ejon, un ancien chanteur-guitariste issu du milieu hippie[2] . C’est après le déclin du mouvement en 1975 que BAE (acronyme) se reconvertit en serial entrepreneur digitalo-disruptif à Haut potentiel[3]. Grâce à ses capacités considérées comme hors-norme par de nombreuses personnalités telles que sa Granny, il trouve les moyens nécessaires au développement de nombreuses entreprises. C’est ainsi qu’il dépose « The Meat Way Nutrition » auprès des instances officielles étatsuniennes et suisses. Sa troisième affaire en quatre ans vient de commencer.
En 1987, BAE décède des suites d’une gastrite en Catalogne. Il laisse ainsi sa place à son fils, BAE Fijsk Ton.
Assortiment
L’entreprise met son premier produit sur le marché en 1980, après six intenses journées de recherches. Le Genie TAL, de son nom de jeune fille, est un supplément alimentaire pour les antinorexiques. Les chiffres de ses ventes restent inconnus.
Elle ajoute à son assortiment le B.A.C. +8 (Ballon Anhydre Cryogénisé) en 1992. Les chiffres de ses ventes restent inconnus.
Viendront ensuite le Plants4Lyfe (1995), le HerbaPlant☘️ (1998), le Green Therapy™ (2002), le CVH (Carnist's Vegetal Herbals, 2008), et le VS (Vegemeat Spread, 2010).
En 2012, The Meat Way Nutrition se lance dans un nouveau marché : l’impression 3D de fausse viande. Ainsi, l’entreprise espère convaincre les milieux vegans de se joindre au « Meat Way Mvmt. », une action promotionnelle de grande envergure. Sur leur page Wix[4], l’entreprise détaille ainsi le principe de leur produit : « Grâce à un plastique moelleux et à des extraits de matériaux organiques, nous reconstruisons un steak 100% végétarien auquel il suffit d’ajouter un brin d’extraits de chair porcine pour lui donner le goût bovin qui manque tant à nos amis les veggies ! ».
Fonctionnement de l’entreprise
La Structure de l’entreprise est définie par Barnaby Antejesus O’Ejon d’après ses emprunts au strausskantianisme[5][6].
Des auto-entrepreneurs sont chargés de la promotion des produits. Travaillant de façon autonome pour environ 2$ la commission (avec un maximum de 15 commissions par jour pour empêcher leur épuisement, une commission durant en moyenne 30’, selon des statistiques de Cambridge Analytica), ces auto-entrepreneurs payent à The Meat Way une licence d’exploitation de la marque, les coûts de production de leurs produits, une assurance-travail, une attestation notariale de fiabilité, les sacs plastiques réfrigérés pour le transport des produits, un assortiment d’échantillons, des panneaux d’homme-sandwich (actualisés au mois), une assistance au référencement web ainsi qu’une casquette The Meat Way. Le stylo pour noter les commandes est gracieusement offert après trois mois de services, si la commission de validation sociale des partenaires les évalue comme « appréciés ». Ces jeunes sont la principale source de revenus de la multinationale.
En 2012, après le TEDx de Valar Martel, un ami du célèbre penseur Noël Dallemberg[7], BAE Junior refonde l’entreprise en y ajoutant une touche de lesquenisme humaniste et en instaurant une journée hebdomadaire de « Rencontres Amicales de Teambuilding, partage d’expériences et débats d’équipe ». Valar Martel déclare à propos de ces ajouts : « J’avais compris que le capitalisme[8] avait encore beaucoup à nous apporter. The Meat Way Nutrition a prouvé mon propos. Le capitalisme vert finit enfin par s’autoréguler tout en permettant de nouveaux rapports humains au sein même de l’entreprise.
Controverses
Toxicité des produits
C’est en 2005 que l’hôpital Saint-Spike-de-Grosjean de Fribourg[1] déclare pour la première fois sa méfiance à l’égard de the Meat Way. Selon le responsable de la section « recherche » de l’hôpital, « Les produits [de l’entreprise] pourraient être à l’origine de nombreux cas de maladies violentes, telles que l’Hépatite H ou encore la Trisomie du Bras Gauche[9]. Nous recommandons ainsi à tous les clients de The Meat Way d’éviter un maximum le contact avec leurs produits. Pour les plus récalcitrants, une autre méthode consisterait en augmenter leur consommation des compléments The Meat Way, de sorte à développer une résistance naturelle aux acides extrêmes contenus naturellement dans leurs additifs artificiels. ». Une petite dizaine d’études des universités de Pie-Trois XIV[10] et de Syldavie[11] viennent étayer ces accusations: perte de fertilité, changement soudain de sexe, oublis inopinés de l’alcool et changement d’état physique seraient également de la partie.
Tests des produits
The Meat Way est à l’origine d’une polémique locale à Öblikon, en mars 2011, lorsque des parents de jeunes étudiants découvrent qu’ils participent à des tests de produits The Meat Way dont la composition leur parait louche. Arnold Schwarzenkopf, avocat indigène et membre du Parti à Moteur vient alors en aide à l’entreprise avec une plaidoirie dans laquelle il affirme que les tests sur humains permettent d’éviter à The Meat Way des test cruels sur rongeurs, respectant ainsi les réclamations de nombreuses associations antispécistes.
ForAllAnimalsLife212
En janvier 2012 le collectif ForAllAnimalsLife212 a publié une vidéo réalisée dans les élevages d’Herbalife. Celle-ci montre des animaux pendus par les pattes jusqu’à mort, des bœufs entassés à 12 par box de 48 mètres cubes, et des singes dressés à battre les poules récalcitrantes à la ponte.
En réponse, The Meat Way a publié sur son blog un reportage en caméra cachée sur les conditions de détention des militants de ForAllAnimalsLife212 : on y voit des êtres humains bloqués dans un openspace jusqu’à 8h par jour en plein été. Le commentateur très médiatisé Erik Mourze a déclaré à ce propos que la réponse de The Meat Way, « en plus d’être très pertinente, nous pousse à la réflexion concernant le sens des priorités de certains islamo-gauchistes pro-dictature verte ».