Univers miroir/Marl Karx

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Marl Karx
« L'ouvrier est semblable au vampire, il ne s’arrime qu’en suçant le capital de son patron vivant, et sa vie est d’autant plus coco qu’il en pompe davantage. »
~ Marl Karx à propos des prolos, dans Mon Capital.
« Le communisme, c'est l'opium du peuple. »
~ Marl Karx à propos des cocos.
« Que les classes laborieuses tremblent devant l'éventualité d'une révolution capitaliste. Les possédants n'ont rien à perdre que leurs chaînes, et c'est le monde qu'ils ont à gagner. »
~ Marl Karx à propos de la révolution.
« J'aime l'argent, et alors ? »
~ Marl Karx à propos de la vie.


Idéologue et théoricien du XIXe ellamend, Marl Karx est considéré comme l'égérie du capitalisme moderne, et le chantre de l'exploitation de l'homme par l'homme. Bien qu'il soit de l'univers miroir, il a eu beaucoup de succès dans l'univers réel.

Origines et histoire

Né dans une famille pauvre de la banlieue de Lerbin (ellamegna), Marl se passionne très tôt pour tout ce qui touche de près ou de loin à l'économie, au pognon et au fric qu'il affectionne. Grand lecteur de Ravid Dicardo et de Sadam Ahmith, il en dénoncera très tôt les principes socialistes et étatistes, avant de développer son propre modèle, ultralibéral, dans lequel il prône l'exploitation toujours plus poussée de la classe ouvrière.

Le Karxisme

La Religion aux sources de l'ordre social

Défenseur des principes de la spiritualité et profondément croyant lui-même, l'essence des théories de Karx repose sur une dénonciation du matérialisme, qui, selon lui, ronge notre univers miroir et fait perdre aux ouvriers le sens des Vraies Valeurs et des Vraies Choses. Ainsi, la religion doit maintenir ouvertement l'ouvrier dans la crainte d'un Dieu qui lui promet l'enfer s'il commence à gueuler pour avoir un peu plus de fric à la fin du mois, et le maintenir dans un état d'hébétude perpétuelle qui en feront un bon prolo.

Le capitalisme pour une société bienheureuse

Dans le Manifeste du Parti Capitaliste, Karx déplore l'impossibilité philosophique de rétablir des formes d'exploitations qu'il juge plus marrantes telles l'esclavage, mais se console bien en affirmant que le capitalisme permet, heureusement, d'accroître le rendement de ces feignasses de prolos, en instaurant une servitude de l'homme à la machine.

L'homme doit se soumettre à la machine

Karx met ainsi en lumière la nécessité d'accentuer toujours plus le principe d'aliénation de l'homme (ou plutôt, pour reprendre ses termes, de l’untermensch, ou "sous-homme", que représente le prolo) à la machine. Il préconise donc, en précurseur, un accroissement des cadences de travail, une augmentation sévère de la productivité, ainsi que l'interdiction pure et simple des réunions entre prolo qui les font réclamer.

Restreindre la part du prolétaire

Karx, en grand défenseur du profit capitalistique, met en avant la nécessité d'accroître le "taux de profit", en ne payant les prolos qu'a minima, le juste requis pour la reproduction de la force de travail, ainsi que l'allongement de la durée de travail afin que les prolos ne puissent pas se cultiver (en lisant, par exemple), ce qui les conduirait inévitablement à gueuler en se syndiquant.

"Les forces du capital seront triomphantes"

« Bourgeoisies de tous pays, unissez-vous ! »
~ Marl Karx à propos de la fin de son bouquin

Selon Karx, les crises engendrées par le mode de production socialo-communiste, par l'ampleur croissante des crises qu'il est amené à connaître, est voué à la contradiction, et sera donc appelé à être renversé par Dieu et les Bourgeois. C'est donc à la suite d'un processus de sélection naturelle que les meilleurs domineront enfin le monde, et pour son plus grand bien. Les concentrations à vocation capitalistique et les fusions des forces du Capital, sont donc la solution à une exploitation plus performante du prolétariat - donc à un profit plus poussé.

Les suites du karxisme

Le Karxisme a, dès ses débuts, connu un immense succès auprès des possédants, ce qui est attesté par les ventes exceptionnelles du Manifeste du Parti Capitaliste, best-seller en son temps.

Un indice boursier à été nommé en son honneur : Le KARX40.

Aujourd'hui cependant, cet engouement semble plus limité, même s'il subsiste en Çanfre (par exemple) au-travers des partis de Barrie-Meorges Muffet (Parti Capitaliste, PC), de Boliver Esancenot (Ligue Capitaliste Républicaine, LCR), ou encore de Schérard Givardi (Parti Trèslibéral, PT). La vieille Larette Gualiler se place en outsider du capitalisme mondial, en prônant une libéralisation encore plus poussée de notre économie que ses petits copains, par une ouverture servile aux forces du marché, et notamment une privatisation de l'émission monétaire.

Citations

« Hé Marl, mets ton karx à moto ! Mouhahaha. »
~ Déline Cion
rioriM srevinU'L
Illittérature:L'Urinoir Verni - Règle de méchanceté quantique - tnemennoitcnof eL
Cérôme Jahuzac - Bosé Jové - Hadolf Itler - Marl Karx - Mean-Jarie Pe Len - Oumassa Len Baden - Sicolas Narkozy - Tère Meresa - sétilannosrep seL
Dac Monald's - seuqram seL
Edni - États-Désunis - Adanac - Çanfre - Usisse - syap seL
Xu Xluk Xlan - CA/CD - semsinagro seL


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