Utilisateur:Young-Man/Bac à sable
Cette brève histoire sur le sport m'a été conté par un vieil ami à moi qui, revenant d'un voyage en Crète avait été atteint d'une maladie fort comique qui, passée moi l'expression, rendait completement frapadingue. Lors d'une visite chez cette ami à l'hopital Fernand Terrement, il s'est mis à parler dans son sommeil, et bien que tout ce qu'il disait m'était tout à fait incompréhensible, je réussis à décéler dans tout ce charabia quelques bribes de truc que j'écrivis sur mon carnet.Puis, de retour chez moi, et à la suite d'un long travail de reflexion pour essayer de mettre en ordre ces petites bribes de pensées, j'atteins enfin mon but et peus vous livre ici cette brève histoire sur le sport.
Une brève histoire sur le sport
Le début de la brève histoire sur le sport
Le ciel se couvrait étrangement de nuages inquiétants. La liasse sanglante de la terrible hache faisait de son cadeau un parpaing oublié. Mais dans ce morbide enfer, de douleurs et de chants, subsistait, un homme, un seul plein de peines et de moucherons. Alors qu'au loin s'envolait en dansant le méandre des profondeurs,lui, tenait bon, accroupi au madrigal, faignant la peur sous les luttes sodomites du bromure célophané. Mais alors que tout espoir semblait disparaitre, sous le poids des voutes perdues de la soupe à la grenouille, et que l'homme allait renoncer, se retourner et perdre le démenagement des consciences subtiles, advint un evenement innatendu et salvateur que la jouissance terrible des besaces microscopiques forcenées par la tourterelle mignonne mais sédantaire ne tarderait pas à accentuer grandement.L'homme, en voyant arrivé ce sauvetage intempestif, pris sa respiration et sauta dans les morcellements volages qui l'engloutirent bientot sous leurs natures ignominieuses et falacieuses du camembert de Bretagne.
La fin de la brève histoire sur le sport
Crackers, juin, Gaston Doumergue, , wagon-lit, Renault... Ô...Ô...Ô vous fûtes une joie pour le quinquagénaire pénible de la vieille source modératrice du frileux frelon qui, prenant sa pression sur le style hyper-Bruno de la moche incarnation d'une jeep lenticulaire, nous pond une série de posters sérigraphiés d'Alphonse Daudais.
Oui, pleurs en sous-traitance, mon Xavier, mais n'oublie jamais la cruel cruche du colonel Séraphin: « Vomi ton soulier braguetteux, mais ne le choucroute pas ». Car tu fus laid, mais tu fus encore, et tu le fus toujours. Lorsqu'à la fin du 15 février, L'homme fut épris de la quintessence mystique des blasons chiropracteurs, il s'en alla tuer le farouche phacochère à dos de blanquette de semelle. Et ainsi fut mordu le chenil charvin.
Analyse explicative de l'histoire par le docteur Ernesto "Che" Dugenoux, professeur de lettres à l'Université Jean-Baptiste Poquelin de Trouilly-sur-Bellejambe
Developpement sur la question de la métaphore
Partie 1
Alinéa A
Entrée en matière
Merci, docteur Dugenoux !