Connar le Barban
Connar le Barban
Est le titre d'un film de science-fiction-héroïc-fantasy-bande-dessinnée-conte-philosophique dont l'acteur principal est Arnold Nègrenoir bien qu'il ne soit ni nègre ni noir. Et d'ailleurs, avez-vous déjà vu un nègre qui ne soit pas noir ? C'est donc un pléonasme. Ça commence fort.
Histoire
Au début, c'est le début, tout va bien, Connar est entouré de divines créatures très peu vêtues et joliment bien faites, ma foi. On déguste les vues des pulpeuses créatures dont peu de détails nous échappent. Puis ça va moins bien, puis ça va mal, puis ça va très mal, et ensuite ça va même très très mal. Bref, Connar le Barban se retrouve tout seul avec la veuve poignet car les vilains méchants ennemis ont enlevé les jolies filles peu vêtues, à notre grand dam.
Puis après le début, et avant la fin, c'est le milieu, là où il ne se passe pas grand chose. Connar cherche les filles, et il se promène partout. Ca permet aux dames d'admirer un peu les détails de la bète, ce qui les excite en général, Et nous ça nous arrange. En général.
Ensuite c'est la fin : Les magnifiques jeunes femmes sont sauvagement torturées. Il y en a une qui parvient à garder une culotte, mais c'est tout, les autres sont toutes nues et on assiste à ce spectacle horrible du mauvais qui a déshabillé les jolies filles pour les faire danser pour lui. C'est très cruel comme torture. C'est une scène abominable pour laquelle il faut être bien préparé. On ne regarde pas impunément de telles violences. Puis Connar retrouve les méchants ennemis, et les vainc. Il libère les superbes créatures, et elles l'aiment toutes, bien entendu. C'est là qu'on apprend qu'en fait dark vador est son père.
Personnages
Langage
Le langage ésotérique utilisé par les barbans dans le film n'a rien d'inventé : c'est la langue naturelle de Connar !
Affiche
Une des affiches montre bien la chair des deux protagonistes, mais là, la blonde toute nue est brune.
Ou alors elle est rousse, c'est pas très clair. Surtout qu'elle s'est rasé le sexe, on n'a plus de preuve. Mais on voit mieux, je vous l'accorde. Et puis on se fout de sa chevelure, non ? C'est pas ça qu'on regarde, de toute façon.
Conclusion
Hé oui mes petits amis, les meilleures choses ont une fin. Nous allons conclure en disant que ce scénario superbement construit étonne par sa grande intelligence, et que jusqu'à la fin, le spectateur est maintenu dans l'expectative et ne se doute pas du tout, mais alors pas du tout, de qui est le coupable. A part ça, bien sûr, les quatre-vingt filles nues qui s'ébattent à peu près tout le temps sont du remplissage dont on pourrait se passer.
Citations philosophiques
"C'est mon nom ! Wé hé !" (L'utilisateur Connar le Barban à propos de... Connar le Barban)
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