De la violence faite aux femmes
De notre envoyé spécial Pruster de Las Cales - le 14 décembre 2015
De la violence faite aux femmes
Bonjour, ou plutôt bonjour. Aujourd'hui, un sujet grave : la violence faite par les femmes. Je me rends bien compte de la nature trompeuse de mon titre, mais comme le disait si bien Jean-Paul Sartre : « Aïe aïe ! Pas sur la tête Simone !!! », il semble clair que je n'aurais jamais pu soumettre cet article à Jeanne-Rogère, notre éditrice en chef et ceinture noire de pète-la-gueule, si je l'avais titré : Les femmes sont des hommes violents comme les autres, ou Parfois, les femmes nous pètent les couilles physiquement, ou encore Le pipi c'est chaud c'est beau (mais là, ç'aurait été pour une autre raison).
Un sujet de société, mais d'abord une souffrance personnelle
Oui, ce titre est très juste. Car avant d'être ce problème social, la violence faite par les femmes est d'abord quelque chose qui fait souffrir beaucoup d'hommes. Nous ne traiterons pas ici de la violence conjugale des femmes dans les couples homosexuels, non pas parce que ça n'existe pas, j'ai vu des tas de documentaires sur ce sujet sur YouPorn, mais je ne vois pas vraiment le problème dans ce cas là. Non, le vrai problème, c'est pour les hommes, c'est évident.
Mais étant moi-même un homme battu (pas uniquement par ma femme, mon fils aussi, ma fille, notre chien, le facteur, des passants, un chat une fois, le vent parfois), je pense que mon propos est peut-être biaisé, c'est la raison pour laquelle j'ai décidé de faire appel à un spécialiste, qui saura nous éclairer de ses lumières. Il s'agit bien sûr de votre intervenant préféré, j'ai nommé : Al-Khwârizmî !!! On l'applaudit bien fort.
Je vous rappelle que Al-Khwârizmî est arabe, il est mathématicien et il est du IXe siècle. Al-Khwârizmî, probablement, est aussi misandrologue, après tout pourquoi pas ? Al-Khwârizmî aime 20 000 lieues sous les mers et n'aime pas les pirates. Al-Khwârizmî fait de la plongée sous-Marine Le Pen, car il aime aussi retourner sa veste, retourner sa veste, toujours du bon côté.
Louis Brasfort : | |
Bonjour M. de Las Cales |
Louis Brasfort : | |
Absolument, et je dirais même qu'avec un temps pareil, on se croirait fin novembre, ha ha HA HA. HA HA HA !!! C'est amusant, car nous sommes en décembre, en fait. |
Louis Brasfort : | |
Non merci, je viens de déjeuner, et vous savez ce qu'on dit : « Si on a les yeux plus gros que le ventre, on risque fort d'avoir une crotte plus grosse que le trou du cul ! » Ha ha, HA HA. HA HA HA ! Désolé pour ce langage imagé, mais il y a du vrai là-dedans ! Est-ce que nous commençons notre analyse ? |
La femme : Un esprit malade ?
Ça paraît clair, mais demandons plutôt à notre expert, probablement.
Louis Brasfort : | |
Eh bien, voyez-vous, il s'agit d'un sujet que j'étudie depuis plusieurs années, et qui ne se comprend que par observation, regardez ce cliché... |
Louis Brasfort : | |
Vivaldi mon cher, certainement le meilleur, à moins que ce soit Paganini, mais franchement, celui-ci à un nom ridicule. Un Paganini au fromage s'il vous plait... Ha ha HA HA. HA HA HA ! Mon Dieu, je suis hilarant. |
De l'origine de la violence
Mais qu'en est-il des liens entre la violence faite par les femmes et la violence elle-même ?
Louis Brasfort : | |
Ah mais alors là, je vous le dit tout de suite, mes soi-disant "aventures" avec M. le Président Hollande sont purement sexuelles, rien de plus. Illustrations : |
Conclusion
Là, je vais conclure cet article génial.
Louis Brasfort : | |
Vous savez, l'important c'est de savoir qui l'on est. Suis-je un caribou islandais ? Suis-je un stylo communiste ? Qui peut savoir ? C'est là que demain réside dans un grain de sable infini, ou quelque chose comme ça. |
Vous n’êtes pas autorisé à voir les résultats de ce sondage avant d’avoir vous-même voté.
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.