La Belgique part en couille
L'actualité internationale décortiquée avec rigueur par RadinRue.com - le 15 juillet 2008
Faut faire vraiment gaffe, une fois en Serbie ça a été le bordel pour moins que ça, et maintenant il y a plusieurs pays et pas mal de décombres alors que leur premier ministre c'était même pas un flamand. En fait c'était même pas un premier ministre, mais deux gars : un président de la république et un président du Gouvernement. En Belgique ça risque donc d'être pire, et ça risque de faire pas mal de petits pays différents au final. Ça va pas arranger la situation géographique dans ce coin où il y a déjà le Luxembourg comme petit pays.
En fait ça risque même de les emmerder un peu au Luxembourg, tout ces nouveaux petits pays. Ça va pas mal mettre en péril leur statut de seul très petit pays du coin, alors ça m'étonnerait qu'ils laissent ça passer comme ça, sans essayer de faire quelque chose. Et si ça dégénère en guerre Luxembourg-Belgique, c'est tout le processus de construction européenne qui est en péril. Pas question de s'échanger du charbon et de l'acier si c'est la guerre. En tout cas pas, de manière économique et communautaire. L'acier va s'échanger à très grande vitesse si vous voyez ce que je veux dire. À la vitesse des balles et des coups de canons !
C'est con, parce que nous en France on veut bien les accueillir les Belges. On partagera avec eux notre gouvernement qui est quand même sacrément efficace depuis De Gaulle et la cinquième République. Et après on leur fera un parc naturel où ils pourront mettre les flamands, avec de grands lacs. Je sais pas s'il y a des lacs assez grands en Belgique, mais nous on peut leur donner le lac d'Annecy, ou même le Lac Léman si les Suisses sont OK. C'est embêtant de faire tout ses pays différents pour y mettre rien que des Français, ça serait plus simple d'en faire qu'un seul. Avec le Québec, la Louisiane et l'Algérie on comprend, c'est loin, mais pour la Suisse et la Belgique je trouve que c'était une très mauvaise idée.
Bref, une affaire à surveiller de très près avec toute la rigueur journalistique qui s'impose.
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