Discussion utilisateur:Jeaninne Brisset

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Salut à toi qui arrives, on se demandait encore avec les copains comment tu... HÉ !

On t'as démasqué, espèce de vermine ! Tu ne nous feras pas le coup ! VOUS êtes suspectées de créer une multitude de comptes afin de pouvoir voter aux Votes Best Of pour élire tout vous articles et dominer ainsi la sencyclopédie !

On vous avait vu comploter avec votre amie ! Qu'est-ce que vous mijotez vous deux ? Bande de rats puants et dégoutants !

Recommandations de lecture (me dis pas que tu connais pas ces liens, connasse) :

Et voilà, finalement, vous êtes la bienvenue, mais j'exige des explications !

_ signé : YOSHKILL LE BOSS -- envoyez-moi un MP et je verrai si je vous réponds Sunglasses.png 1 septembre 2009 à 10:32 (UTC)

Compte raté

Je ne crois pas qu'on puisse supprimer un compte utilisateur mais en l'état ça n'a guère d'importance puisqu'il ne sera pas utilisé. N'hésitez pas à demander de l'aide pour les opérations techniques, vous n'êtes apparemment pas aussi autodidacte que votre époux et maître. En espérant vous trouver de même. Votre dévoué WiiKend - Ceci était une signature septembre 4, 2009 à 17:58 (UTC)

Monsieur Wiikend, S'il vous plait, ne parlez de rien à mon Paul. Il serait faché après moi. Très entre nous, est-ce que la boucherie Sanzot pourrait me livrer une tranche de jambon. Depuis mon hémorroïde cérébrale, mon Paul me prive.
bien sûr, vous pouvez les appeler de ma part au 231 à Moulinsart. WiiKend - Ceci était une signature septembre 4, 2009 à 18:34 (UTC)
Voilà, je te trouve ici, femme insoumise! Je te rappelle que tu n'as pas le droit d'utiliser mon ordinateur hors des horaires convenus dans notre schéma:

09:00 - 12:00 : Paul
12:00 - 12:30 : personne (dîner)
12:30 - 14:00 : Kevin si présent, sinon Jeaninne (jeux uniquement)
14:00 - 16:00 : Paul
16:00 - 16:15 : Jeaninne (email ou jeux uniquement)
16:15 - 18:00 : Paul
18:00-18:30 : personne (tartines)
18:30 - 22:00 : Paul
22:00 - 09:00 : personne
Or je constate des activités en dehors de ces horaires. Ceci est intolérable. Tu te fous de mon Authorité! Je te rappelle que tu es toujours ma femme et dans notre carnet de mariage, il est marqué : la femme doit obéissance à son mari. Et je ne veux plus que tu voies Claude Bultereijs. Et où est mon dictionnaire? J'ai en plus des preuves irréfutables que tu comptes publier mes Importants Travaux Scientifiques derrière mon dos. Et que tu as écrit une lettre à un président pleine de médisances sur mon dos. Mon oeuil d'Horus veille!
Et vous autres, qui l'aidez, Claude Bultereijs, Anne-Marie, traitresse, ou les Désencyclopèdes, craignez mon ire!
Brisset septembre 7, 2009 à 22:34 (UTC)

Et c'est quoi d'aller raconter partout que je te prive, et de mendier des tranches de jambon. Je te rappelle qu'on a fait des accords clairs sur les dépenses. Occupe-toi de tes casseroles, le budget c'est mon domaine. Tu me fais passer pour un tyran, alors que c'est TOI qui cause des histoires. J'ai d'ailleurs noté que les tartines étaient sur la table à 18:03, au lieu de 18:00 (voir schéma). Tu brouilles la bonne marche de la maison avec tes caprices. Et OU EST MON DICTIONNAIRE!!!! Comment veux-tu qu'un Homme de Science, un Philosophe, puisse travailler convenablement?! C'est pour avaler sa pipe.
Brisset septembre 7, 2009 à 22:35 (UTC)
Et toi, quand tu es dans ton "campus", ton "université kémétique" à la cafétaria du camping, qu'est-ce que tu crois que je fais ? De la broderie traditionnelle au point de croix peut-être ? Et bien non Paul, je prends du bon temps. Je mange une tartine, avec du vrai beurre (et pas cette infâme margarine que tu m'imposes) et du jambon que l'"on" me fait parvenir. Il y a encore des jeantlemânes qui savent se comporter avec une dame. - Ta Jeaninne Brisset septembre 8, 2009 à 14:14 (UTC)

Protestations solenelles du Pr. Polycarpe Brisset, Égyptologue


Gotverdoemme, Jeaninne! Gotverdoemme! Comment as-tu osé, nom de Dieu? Publier MES recherches d'Importance Mondiale prématurément et sans ma permission! Voler les Idées d'un Grand Savant! Et de plus, devancées d'une méchante lettre, irrévérente, insultante, raciste, mauvaise et pleine d'inexactitudes. Comment oses-tu t'adresser à un Président, toi, une ménagère!! Et insulter l'honneur de la Nation sénégalaise! Et te mêler du Monde Académique. Je suis sûr que Claude Bultereijs est là derrière. Ou un de mes autres ennemis. Sénèque Vanschrieck peut-être. Je suis profondément blessé dans mon honneur d'académicien, de Professeur d'Université Kémétique de Hotep, et de collègue, voir même ami, si je l'avais connu, de Cheikh Anta Diop. Je vous avertis, si le Sénégal déclare la guerre à la Belgique, c'est pas moi qui vais vous défendre, contre les tirailleurs.
Il suffit que je sorte pour un examen médical [1] pour que tu me fasse ça. La honte! Que vais-je dire à Son Excellence M. Abdoulaye Wade, moi qui osais espérer une médaille, une légion d'honneur, les palmes académiques de l'Université Cheikh Anta Diop! Vous avez voulu briser ma carrière.
Que la malédiction de Tout-ânkh-arton tombe sur vous tous.
Paul Brisset septembre 8, 2009 à 20:51 (UTC)

Protestation officielle et solenelle

Moi le soussigné Polycarpe Brisset, Morosophe, Égyptologue et Grand Savant belge, je renie la lettre insultante que ma femme Jeaninne Brisset, née Vandepudt, ménagère avec une vie secrète (je pèse mes mots, je ne cite pas de noms!) a publiée à mon insu. Je déclare solenellement que RIEN n'est vrai dans cette lettre ou dans toutes autres qu'elle publierait, avec ou sans l'aide de Claude Bultereijs ou S. Vanschrieck, ou Wiikend et ces encyclopistes.
Je nie aussi avoir une relation avec une certaine Violette.
Privé des droits d'auteurs qui m'auraient fort enrichi si j'avais publié mes Recherches Savantes chez l'Éditeur Menaibuc, j'exige que la dÉsencyclopédie me dÉdommage de 87 eurocent par visite sur la page de Jeaninne Brisset, avec un minimum de 20.000 euros.
Bien à vous
Paul Brisset septembre 8, 2009 à 20:51 (UTC)

  1. une coloscopie, si vous voulez vraiment savoir
Paul, tu me fais bien de la peine.
Toutes tes idées noires ! Je vois bien comment vous vous regardez avec la patronne du camping. Cette Grietje !
Je me rends compte que pour toi, je ne suis plus bonne qu'a entretenir ton linge et préparer tes tartines.
Quand au reste, il y a bien longtemps que tu n'y penses plus. Enfin pas avec moi.
Quand tu me laissais seule le dimanche après-midi pour aller à Modave. Soi-disant pour compulser des documents à la bibliothèque en relation avec tes recherches kémétiques sur les idées noires. Crois-tu que je ne savais pas que le dimanche, la bibliotèque publique est fermée.
Crois-tu que je n'ai pas deviné que tu allais rejoindre cette trainée de Violette Bultereijs, chez elle, pendant que son concubin, Didier Deconick jouait aux boulles avec son fils Kevin qui a depuis été placé en Maison de Jeunesse après que son père soit placé en prison.
Ce même Kevin que tu m'as demandé de reccueillir chez nous et de traiter comme un fils lorsqu'il a des permissions.
Paul, je n'ai rien dit quand tu revenais de ces rencontres ou tu avais pris du bon temps. Je n'ai rien dit non plus alors que je devais frotter tes cols de chemise maculés de rouge à lèvre.
Aujourd'hui, crois-tu que je ne sais pas que tu prends prétexte à tes leçons particulières kémitiques pour prendre du bon temps avec qui tu sais, cette...
Paul, je ne suis plus ton esclave. Je suis une honnête ménagère, pas une femme d'ouvrage que l'on exploite à merci.
Eh bien oui, lorsque, quand tu es a ton Université Kémitique, je prend du bon temps  : je mange une tartine avec ton beurre, celui dont tu me prives pour cette infâme margarine.
Eh bien oui, je suis courtisée par quelqu'un qui m'envoie des petits mots et me fait parvenir les tranches de jambon que tu me refuses sous prétexte que ce n'est pas Halal. Et mes rillettes pur porc sur tes tartines, tu ne les manges pas peut-être ? C'est Halal ça ?
Et toi, vieux cochon, aller courrir la gueuZe, c'est Halal ça ?
Paul, si tu dois en avaler ta pipe, crois bien que dans l'état actuel de tes idées noires, ce n'est pas moi qui t'en ferai une !
Ta Jeaninne Brisset septembre 9, 2009 à 14:23 (UTC) - Jeaninne Brisset, tant que ça dure.

Mon pauvre Paul, tu en deviens pathétique. Une coloscopie ! Mon oeil oui ! Et toi, pendant ce temps, sur la terrasse du Grote Markt Café, tu prenais du bon temps avec cette... cette... Grietje qui riait fort et se goinfrait d'une gauffre à la chantilly. Comment je le sais ? J'étais là, à Scherpenheuvel, en pélerinage. Je regardais les boules à neige de la boutique des bondieuseries. Je vous ai vu dans le reflet de la vitrine. Quand je pense que j'ai fait le pélerinage pour toi. Pour que tes examens se passent bien. Et dire que j'ai dépensé 7,50 Euros sur mes économies pour allumer un cierge qui m'aurait fait beaucoup plus d'usage si je l'avais gardé pour moi-même... - Ta Jeaninne Brisset septembre 9, 2009 à 19:54 (UTC) - Jeaninne, oui, Brisset, pour le temps que ça dure.

Tout menti (fenn rekk)

Scherpenheuvel.jpg

Je vous prends TOUS comme témoin des mensonges et de la perfidie de ma femme! D'abord la place à Scherpenheuvel à la Sainte Basilique s'appelle Albertusplein. Et le café des gaufres St-Joseph. Vous voyez sur l'image qu íl est impossible de me voir dans le reflet de la vitrine de (1) alors que j'étais (supposé) à (2). Elle a tout rêvé! C'est Claude Bultereijs qui lui souffle tout cela, et qui lui donne des drogues. Notez aussi que Scherpenheuvel est sur la route de l'hôpital et de Oteppe, donc j'aurais PU y passer. Et comme pour une coloscopie on ne peut pas manger de toute une journée [1] j'aurais pu avoir faim d'une gaufre. Et j'aurais pu y rencontrer des pieux pélerins ou pélerines. Mais ce n'est PAS VRAI. Inventions! Tout menti![2]
Paul Brisset septembre 10, 2009 à 10:00 (UTC)
Égyptologue

  1. et prendre du laxatif, dont Jeaninne a bel et bien été témoin, des résultats, dans la caravane on n'a pas de vie privée - tu penses que j'ai pris tous ces laxatifs pour avoir une excuse et d'aller à Scherpenheuvel avec une femme??
  2. je dirais même plus, en égyptien, donc en wolof: fenn rekk! duul rekk

Climat de Guerre

Ça y est, gotverdoemme, Jeaninne, c'est de ta faute :

Engouement pour le départ de patriotes de la Marine Nationale Sénégalaise vers Ostende



AFP/Reuters/Bloomberg

Dans un climat de tension croissante dûe à une publication belge dans une dÉsencyclopédie, le président sénégalais a retiré son ambassadeur en Belgique pour consultations. A Bruxelles, le roi Albert II s'est placé à la tête des Armées, suite à un 'danger de guerre imminente'. A 18:00, l'avion royal a décollé de la base de Melsbrouk pour une destination inconnue (le Palais nie qu'il a fui). Devant la côte sénégalaise, la marine sénegalaise se prépare, selon des sources officielles 'à des manoeuvres'. À Dakar, on vendraient des tickets sur les bateaux de guerre pour 1 million de FCFA par tête, et des faux permis de séjour en Belgique pour un autre million de FCFA. 'Radio Boulevard' a annonçé que les soldats qui seraient envoyés en Belgique seraient octroyés un 'pirmi' si l'invasion durerait plus de cinq ans. De longues queues d'attente, hommes, femmes, homosexuels, enfants et vieillards - tous désireux d'émigrer - se sont donc formées aux bureaux de recrutement de la Marine Nationale Sénégalaise. La police frontalière belge, qui s'attend à un débarquement à Ostende, a fait savoir que tous les envahisseurs qui ne peuvent pas se légitimer en tant que militaire seront renvoyés comme illégaux. L'amiral de Hadoque a déclaré que la flotte belge était suffisamment équipée pour faire face à toute éventualité, même si elle ne dispose plus de son sous-marin, perdu lors de la dernière Journée Portes Ouvertes.

Que faire maintenant, Jeaninne? Reste dans la caravane, ces tirailleurs sont capables de tout, et ce n'est pas ton beau Claude qui va défendre ta virginité.
Brisset septembre 10, 2009 à 22:30 (UTC)

Paul, cela me touche que tu t'inquiètes pour moi. Le Glaude, c'était un prétexte pour te rendre jaloux. Et maintenant, c'est déjà de l'histoire ancienne.
Il y a quelques années, j'ay peut-être attrapé une hémorroïde cérébrale qui m'a coupée la parole, mais maintenant je suis prête !
Même si je ne puis plus parler, je saurai me faire reconnaitre de Luy et je saurai protéger Notre Roy des Idées noires, et s'Il me le demande, j'irai bouter les tirailleurs hors du royaume.
Ta Jeaninne Brisset septembre 11, 2009 à 15:33 (UTC) -
PS. Ce matin, j'ai eu une discussion avec la patronne du camping, cette sal... de Grietje. Tu ne peux pas savoir comme elle est toute excitée et, je cite ses mots, "prête à être réquisitionnée personnellement" pour accueillir les troupes d'occupation sénégalaises.

Bon retour

Bon retour parmi nous. _ signé : YOSHKILL LE BOSS -- envoyez-moi un MP et je verrai si je vous réponds Sunglasses.png juin 16, 2011 à 12:02 (UTC)

Jeune homme, je suis une femme mariée et honorablement connue. Mesurez votre enthousiasme je vous prie ! Baronne Jeaninne Vandepudt, épouse Brisset
Je me sers de ma grande bite pour mesurer, t'en fais pas ma vieille. _ signé : YOSHKILL LE BOSS -- envoyez-moi un MP et je verrai si je vous réponds Sunglasses.png juin 16, 2011 à 18:27 (UTC)
Eh bien merci pour le message de retour. Toujours au ras des pâquerettes ici. À part le cul et la bite, on se demande ce qui vous intéresse. Peut-être la bite et le cul. Au fait jeune homme, vous avez certainement eu le temps de mesurer, alors combien ? 9 cm ? 10 ? ne me dites pas 12, je n'y croirais pas !!! Baronne Jeaninne Vandepudt, épouse Brisset
9+10+12. _ signé : YOSHKILL LE BOSS -- envoyez-moi un MP et je verrai si je vous réponds Sunglasses.png juin 16, 2011 à 19:03 (UTC)
Ah ! Non ! C'est un peu court, jeune homme ! On pouvait dire... oh ! Dieu ! ... bien des choses en somme... En variant le ton, —par exemple, tenez : Agressif : « moi, monsieur, si j'avais une telle bite, Il faudrait sur le champ que je me l'amputasse ! » Amical : « mais elle doit tremper dans votre tasse : Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! » Descriptif : « c'est un roc ! ... c'est un pic... c'est un cap ! Que dis-je, c'est un cap ? ... c'est une péninsule ! » Curieux : « de quoi sert cette oblongue capsule ? D'écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? » Gracieux : « aimez-vous à ce point les oiseaux que paternellement vous vous préoccupâtes de tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? » Truculent : « ça, monsieur, lorsque vous pétunez, la vapeur du tabac vous sort-elle de la bite sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ? » Prévenant : « gardez-vous, votre tête entraînée par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! » Tendre : « faites-lui faire un petit parasol de peur que sa couleur au soleil ne se fane ! » Pédant : « l'animal seul, monsieur, qu'Aristophane appelle hippocampelephantocamélos dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os ! » Cavalier : « quoi, l'ami, ce croc est à la mode ? Pour pendre son chapeau c'est vraiment très commode ! » Emphatique : « aucun vent ne peut, bite magistrale, t'enrhumer tout entier, excepté le mistral ! » Dramatique : « c'est la Mer Rouge quand elle saigne ! » Admiratif : « pour un parfumeur, quelle enseigne ! » Lyrique : « est-ce une conque, êtes-vous un triton ? » Naïf : « ce monument, quand le visite-t-on ? » Respectueux : « souffrez, monsieur, qu'on vous salue, c'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue ! » Campagnard : « hé, ardé ! C'est-y une bite ? Nanain ! C'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain ! » Militaire : « pointez contre cavalerie ! » Pratique : « voulez-vous la mettre en loterie ? Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! » Enfin parodiant Pyrame en un sanglot : « La voilà donc cette bite qui des traits de son maître a détruit l'harmonie ! Elle en rougit, la traîtresse ! » — Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit si vous aviez un peu de lettres et d'esprit : mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres, vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot ! Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut pour pouvoir là, devant ces nobles galeries, me servir toutes ces folles plaisanteries, que vous n'en eussiez pas articulé le quart de la moitié du commencement d'une, car je me les sers moi-même, avec assez de verve, mais je ne permets pas qu'un autre me les serve. Baronne Jeaninne Vandepudt, épouse Brisset