Herr Laürrhent Derronzier

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Herr Laürrhent Derronzier en 1919

Célèbre scientifique, essayiste et philosophe allemand du 19e siècle, Laürrhent Derronzier (1837-1919) était l'un de ces hommes qui ont marqué l'histoire et illuminé leur époque par leur brillant génie et leur personnalité avant-gardiste qui les poussaient à se dépasser sans cesse. Il fut très connu sous le nom de : Baron Derronzier, propriétaire du mythique manoir de Schwarzwald, situé au cœur de la forêt noire de Bavière.

Biographie

Jeunesse

Le château Derronzier Schloss, où naquit et grandit Herr Laürrhent Derronzier

Laürrhent Derronzier est né en 1837 au Château Derronzier Schloss à Hanover d'un père banquier et d'une mère soumise, qui mourront 20 ans plus tard dans des circonstances restées mystérieuses.

Issu d'une famille très aisée il grandit et fit ses études dans le luxe et la facilité. Il entame des études pour rentrer dans le clergé mais se voit découragé par le vœu de chasteté. En 1856, il obtient alors son diplôme de médecin, malgré le désaccord de nombre de ses professeurs, qui critiquaient son attitude lors des séances de Travaux Pratiques.

Son psychiatre note néanmoins un bouleversement, et une profonde déception après sa première expérience sexuelle le 15 avril 1840 à 17h07 GMT auprès de Lulu[1], péripatéticienne renommée d'Hanover (casier judiciaire vierge, 1723-1840, signe particuliers : morpions), sans doute occasionné par une prise de conscience de sa réalité sentimentale.

Débuts

Dès 1857 ses patients, indignés par la systématisation des coloscopies lors de ses consultations (et de la manière dont il les pratiquait), l'obligent à stopper sa carrière de médecin généraliste. Il se lance alors dans la recherche et mènera de 1858 à 1864 des travaux sur le cancer du colon rectal chez l'enfant.

L'état de Suède qui gouvernait la région coupa les fonds destinés pour sa recherche suite à une enquête révélant des pratiques douteuses, lancée par la plainte de 47 enfants boiteux âgés de 9 à 13 ans. Il sera jugé pour atteinte à l'anus en mai 1864. Son avocat, Maître Vergetroïte, le disculpa en rappelant que la médecine devait, si elle voulait progresser, se séparer des règles d'éthique de la société. Il sera cependant fortement réprimandé par l'ensemble de la salle d'audience, composée en l'occurrence des parents des plaignants.

Premiers grands travaux

Suite à ces controverses, ses relations et sa fortune lui permettent de s'installer à la cour de Prusse. Il s'y voit attribuer un immense laboratoire et y réalisera entre 1865 et 1872 ses découvertes majeures. La première d'entre elles fut un antidote contre les hémorroïdes (maladie dont il était victime et qu'il a toujours combattu), à base d'ortie, de vodka, de pierre ponce et d'adénosine triphosphate déphosphorilase, dont le succès fut fulgurant dans le reste du pays mais néanmoins sans effet sur ses propres patients et sur lui-même.

Après cette découverte qu'il considéra toujours comme un demi-échec et ses problèmes de colon persistants, il inventa surtout à des fins personnelles le premier anus artificiel destiné à la greffe, composé de kryptonite, de bambou et de poudre de perlimpinpin.

Son invention majeure restera néanmoins le suppositoire, qu'il créera en 1868. Aux yeux de la médecine moderne, c'est bien la seule découverte sérieuse et d'intérêt publique qu'il n'ait jamais réalisé. Cependant, l'idée d'un médicament à insertion anale a rencontré un fort mécontentement de la critique à son époque.

La renommée

Manoir de Schwarzwald principale demeure de Laürrhent Derronzier

En 1870, il se voit proposer de combattre la France lors de la guerre de Prusse. Il accepte en y voyant une opportunité de rehausser sa popularité après le manque de succès rencontré lors de ses dernières recherches. Il participera entre autres au siège de la citadelle de Bitche. Des écrits racontent qu'après une opération commando qu'il aurait mené dans l'enceinte du château, les soldats Français sont sortis en pleurant et se sont rendus.

Malgré cette victoire, il sera cependant éloigné du front, renvoyé par les militaires qui redoutaient avec lui toute promiscuité. De retour à la cour, il se voit quand même anobli et décerné la médaille du mérite de l'ordre des médecins (titre hautement contesté par ses confrères).

Il achète alors le château de Schwarzwald en Bavière, et se lance dans des expériences de pétrochimie. Il réalisera entre autres la synthèse de l'étalonine, molécule dont l'odeur et l'aspect imitent ceux du sperme de cheval[2]. Il acquiert ici le surnom "Kinder Ficker". En effet, on a pu noter que sa présence dans cette région a concordé avec la disparition de nombreux enfants en bas-âge.

En 1914, il est appelé à Sarajevo pour l'interrogatoire du meurtrier du prince François-Ferdinand, et découvre que l'attentat a été commandité par la Serbie. Ainsi certains historiens soutiennent qu'il fut l'élément déclencheur de la Première Guerre Mondiale. Après l'interrogatoire, un geôlier de la ville rapporte dans son journal que le terroriste saignait abondamment de l'anus lorsqu'il est arrivé en prison.

Déclin et mort

Le Baron Derronzier à la fin de sa vie, on peut noter le clignement de l'œil gauche signe d'une défaillance neuronale post-traumatique, sans doute aggravée par les vapeurs d'éthoxyéthanes inhalées au cours de sa carrière de chimiste.

Il retourne ensuite à Schwarzwald malgré la guerre poursuivre ses expériences. Il sera cependant forcé de les arrêter suite à la pression de la population locale. De plus, son influence et sa renommée s'effritent du fait de son grand âge. Il sera finalement jugé pour atteinte à la pudeur et tapage nocturne le 30 février 1919, puis placé sous liberté conditionnelle, malgré l'ardent plaidoyer de son seul disciple Eymërik Lessifllër qui déclara alors la citation devenue célèbre de son maître : "Tritten trat oder tritten trit, das ist die Frage".

Il déclinera ensuite l'invitation du nouveau gouvernement russe pour un séminaire de médecine radicale à cause de ses faiblesses au genou gauche. Ses défaillances l'empêcheront progressivement de se mouvoir et de se laver, ce qui attirera les drosophiles dans son château. Laürrhent Derronzier crève seul le 11 Septembre 1919 après s'être étouffé avec l'une d'elles par accident. Le peu d'argent qui lui restait fut en parti volé, ou réquisitionné par les collecteurs d'impôts. Le reste servit tout de même à élever une petite sépulture à côté de la fosse commune. La tradition du village de Schwarzwald a ensuite voulu que chaque année les enfants en bas âge viennent uriner dessus.

Héritages

Sans doute beaucoup trop en avance sur son temps, Laürrhent Derronzier a cependant été le précurseur de nombreuses inventions, théories et courants de pensées modernes. Ainsi, le suppositoire est très répandu dans la société occidentale et le cancer du colon rectal a été vaincu.

Hommage

La tour Derronzier à Kinderfickerstadt, rappelant les formes du suppositoire

En 1997, lors du 160ème anniversaire de sa naissance, a été inauguré à Kinderfickerstadt un bâtiment imitant les formes de son invention la plus célèbre. Les personnalités présentes furent notamment Emile Louis, Michael Jackson, Benoit XVI et DSK.

Notes

  1. Selon un témoignage de sa fille Lulu Jr qui a repris l'entreprise de sa mère et qui exerce à l'ouest de Grenoble sur la D1532 (St Quentin-sur-Isère)
  2. Molécule toujours utilisée dans la fabrication de composés agro-alimentaire tels que celui-ci : Dscf85561.jpg


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