MHSC

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Histoire

Ho ! Qu'est-ce que je fais sur ce site de " tarlouzes " ?

"Créer un club de foot à Montpellier : il fallait oser !" C'est ce qu'explique haut et fort, mais plus poétiquement dans son jargon ("Créer un club de foot à Montpellier, il fallait des c..."), Louis 1er Nicollin, président du MHSC, aujourd'hui.

Né en 1974 à l'âge de 55 ans, le MHSC est une invention de Louis 1er Nicollin dit "Loulou" (elle lui a coûté 400.000 frs), qui cultive deux passions dans la vie : le brûlement de tout document ancien rappelant l'existence du club de foot de Montpellier avant Lui, et dire des énormités dans les médias. Aujourd'hui, le club est toujours dirigé par Louis 1er Nicollin, mais quand cela ne va pas, ce dernier explique que c'est désormais son fils, le dauphin, Louis II Nicollin dit "Laurent", qui est le vrai patron.

Palmarès

Malgré de nobles contre-performances, l'histoire du club est riche en titres de gloire.

2012 : Champion de France de Ligue 1 à l'endroit.

2006 : Elu meilleur centre de déformation de France par l'Amicale Française des Eleveurs de Chèvres.

2004 : Champion de France de Ligue 1 à l'envers.

1999 : Victoire dans la Coupe à Toto avec sa fameuse blague hilarante : "Alors c'est Toto qui recrute Gourvennec, Decroix et Pedros".

1998 : Montpellier garde le souvenir de ce score de 4 buts à 0, acquis à la mi-temps de son match face à l'OM, au Stade Vélodrome, en 1998, du temps où les deux équipes se disputaient la suprématie du plus marseillais des clubs de Ligue 1. À l'instar de cette performance, rarement (jamais ?) égalée, le plus mauvais souvenir de Montpellier reste quand même cette défaite (jamais égalée ?) face à l'OM, dans ce même match, 5 buts à 4.

1996 : Victoire au contre-la-montre par équipe Nîmes-Montpellier dans le tour de France à cheval.

1994 : Trophée de la tribune VIP la plus lourde du Monde (Louis 1er de la bière et Michel Mézy donc encore de la mayonnaise sur les frites de la buvette)

1991 : Trophée Arconada du meilleur gardien européen lors de la confrontation face aux fameux Raides des Villes.

1988 : Coupe Valderrama.

Depuis environ deux décennies, élu meilleur centre de déformations pour la chasse aux gabians au ballons, avec des champions olympiques comme Ibrahima Bakayoko, euh rien que de citer celui là tout est dit de la valeur de ce centre.

Anciens joueurs

Le club de Montpellier est effectivement reconnu pour avoir attiré de nombreux anciens joueurs de football. En effet, on ne compte plus les anciens cadres des grands clubs français et étrangers, qui sont venus terminer leur carrière à Montpellier, la quarantaine passée. Mais ce n'est qu'un fait de société, le footballeur moyen comme le Français moyen, se barre à Montpellier pour la retraite. Reconnaissons qu'il est quand même plus agréable de "faire le métier" du côté de la Méditerranée (avec bientôt la ligne 4 du Tram, qui conduira directement de la Mosson à Palavas) qu'à Lens ou au Havre... Cette démarche, autant que cette mentalité, de la part des dirigeants du MHSC, est une véritable aubaine pour de jeunes espoirs tels que Camara, Marveaux ou Pionnier, qui auraient encore beaucoup à apprendre de la part de footeux plus expérimentés qui pourraient rejoindre l'équipe, dit-on, dès l'ouverture du prochain mercato, en vue, toujours, du maintien en Ligue 2...

Un club haut en couleurs

La couleur du maillot, c'est l'éternel dilemme des supporters montpelliérains :
- il y a ceux, les plus anciens, qui souhaitent voir les joueurs en rouge et blanc, couleurs historiques avec lesquelles Montpellier remporta sa première Coupe de France, au XIXe siècle ;
- il y a ceux, les moins anciens, qui souhaitent voir les joueurs en bleu et orange, couleurs historiques avec lesquelles Montpellier remporta sa dernière Coupe de France, au XXe siècle;
- il y a les plus jeunes ayant connu le titre de champion de France à la surprise générale en 2011-2012 (et qui se demandent parfois si c'était pour de vrai, et s'il ne s'agissait pas plutôt d'une partie de FIFA sur leur console) qui considéreront le bleu et orange comme des couleurs historiques quand ils seront rentrés dans la catégorie des anciens ;
- il y a ceux, les pas nostalgiques, qui souhaitent voir les joueurs mouiller le maillot, tout simplement et quelle que soit sa couleur, pour remporter une Coupe de France au XXIe siècle.

Les supporters, les Ultras et... le mec plus Ultra

Il faisait froid, on a fait du feu...

Louis 1er Nicollin feint de l’ignorer, mais il y a des supporters à Montpellier

Les supporters. Espèce en voie de disparition, qui se distingue des "Ultras" par le port d'une tenue vestimentaire complète et de "Philippe Sers" par l'achat d'un billet d'entrée. Très peu équipé vocalement, le supporter soupire et geint assidument. Il ne se redresse que rarement en position verticale, généralement d'un seul et lent mouvement, à la faveur de la nuit, lorsque l'ensemble de la meute se déplace pour rejoindre la Civilisation.

Les Ultras. Issu d’une espèce animale évoluée, l'Ultra campe continuellement sur ses pattes arrières. Par contre, ne parvenant pas à manier d’autres outils que le fumigène, et le troupeau n'étant constitué que de mâles ne sachant coudre, l'Ultra n'est que partiellement vêtu et va, en toute saison, le torse nu. Pour cette raison, pour se réchauffer, il fait des bonds en se frottant à ses congénères, en fredonnant des cantiques.

Philippe Sers, le mec plus Ultra. Reconnu comme étant à lui tout seul LE groupe historique et le plus fidèle des supporters du club, Philippe Sers n’a cependant aucun mérite vu qu’il est un des rares à ne pas payer pour voir le simulacre de football professionnel les soirs de match et qu'il est, au contraire, rémunéré pour cela. Son sacerdoce remonte à la petite enfance, quand, en 1974, l’aîné de la fratrie hérite de la ferme familiale, et qu’il ne lui reste, alors, comme choix de survie intellectuelle que la vie monacale ou Radio France Hérault (où il est devenu, au fil des années, l'ultime journaliste à être capable d'aligner au moins deux phrases consécutives sans prononcer les mots "France", "Bleu" et "Hérault"). C’est avec courage qu’il opte pour le choix le moins enthousiasmant et ses proches témoignent à présent qu’il le regrette bien aujourd’hui. Éternel douzième homme de l’équipe, il n’est cependant jamais entré en jeu ; pourtant, d’aucun le considère comme le véritable joker du MHSC, et en tous les cas comme celui qui mériterait le plus de monter en Ligue 1. Entièrement responsable de l’absence de public au Stade de la Mosson — les supporters montpelliérains préférant, et de loin, écouter les matches à la radio en sa compagnie —, son secret pour commenter les matches de Montpellier avec autant de passion et d'excitation est simple : il suit, en vérité, les championnats de pétanque, ou parfois, les Joutes à Sète, sur une chaîne du câble pendant les directs, sans pouvoir camoufler ni ses émotions ni son vocabulaire qui fleure bon le Languedoc d'Ancien Régime... À l'instar d'un Larqué sur TF1 ("Tout à fait Thierry"), une phrase à elle seule résume sa verve journalistique : "Olalalalaaaaaah, mais c'est pas possiiiiiiible !", qu'il sait geindre dans le micro avec une sincérité non feinte au moindre but encaissé par son équipe favorite, c'est dire la fréquence de ces propos…

Anti-Nîmois

Le supporter montpelliérain voue une haine sans limites au supporter nîmois. Il n'aime pas le croco. Il se rallie ainsi au coté des grands penseurs contemporains, tel Obélix qui, dans "Les 12 travaux d'Astérix", déclare en forme de manifeste : "Moi j'aime pas le crocodile, j'y ai gouté une fois, c'est filandreux..."

Selon les études récentes, la confrontation des deux supporters suit généralement le rituel suivant : l'autochtone gardois, vétu d'une tunique rouge va s'approcher de son vis à vis montpelliérain et commencer la parade. Un chant pré-nuptial peut alors se faire entendre. Un chant étrange, mêlant "président Nicollin" et "bandido", "Coupe de France" et "1996". Cet hymne a pour effet d'exciter le supporter montpellierain au plus haut point. Malheureusement, les rencontres entre spécimen se font rares ces dernières années.

Frustré, le supporter de la Paillade va alors poursuivre sa quête anti-crocos tout au long de l'année. On peut l'apercevoir sur les plages du littoral l'été, harponant les crocodiles gonflables de jeunes touristes désorientés. Ou encore découper au cutter les logos des polos Lacoste. Les supporters les plus extrêmes tentent de manifester un élan de virilité en avouant ouvertement pratiquer le coït rectal sur le croco, mettant ainsi en péril l'intégrité de leurs parties génitales.

Enfin, bien qu'opposé à tout ce qui ressemble à un Nîmois, le supporter montpelliérain est aussi prêt à faire preuve de mansuétudes. Conscient de la difficulté pour les peuplades gardoises d'habiter une ville si éloignée de Montpellier et où l'arrivée de l'électricité apparait comme un défi à relever pour le siècle prochain, il peut se montrer généreux. Robert Malm ou encore Jean-Christophe Rouvière ont été ainsi déposé sur la berge Est du Vidourle en signe de fraternisation.


Le MHSC, en Ligue 1

Montpellier a évolué en Ligue 1. Enfin, c'est ce que racontent quelques papés du pays, dont le plus (re)connu est sans conteste l'emblématique et charismatique ancien cyclo-touriste Paco, le soir à la veillée pour faire rêver les jeunes gens et endormir les enfants sages... Lors de ces veillées, il se plaît souvent à raconter des histoires qui font peur, comme celle de l'arrivée du monstre légendaire et maléfique Pierrefanfanus, qui viendra sauver les petits enfants montpelliérains et les défendre contre les attaquants ennemis...


Le MHSC, en Ligue 2

Le MHSC manque à la ligue 2, la ligue 2 manque au MHSC. Ils se sont promis de se retrouver, bientôt.


La remontée en Ligue 1

Aussi incroyable que cela ne puisse pas paraître, et après cinq merveilleuses années passées en Ligue 2, le Montpellier Hérault Sport Club est remonté en première division, le 29 Mai 2009, au terme d'un match historique face aux Boches de Strasbourg (victoire 2-1). Pourtant, rien ne semblait empêcher les Montpelliérains de perdre ce match : Carotti met un terme à sa carrière juste avant le coup d'envoi, le Racing bénéficie d'un penalty, des buts sont refusés aux Pailladins, Deruda a joué... Bref, rien n'y fait, Montpellier gagne et se retrouve propulsé, comme cela, sur un coup de dés, en Ligue 1.
Stupéfaits, choqués, bouleversés (les mots ne manquent pas !), les 30.000 spectateurs envahissent le terrain à la fin du match, puis assiègent la Place de la Comédie en manifestant violemment leur désarroi. La ville est à feu et à sang ; heureusement, un jeune et très bon journaliste intervient et calme tout le monde en célébrant une phrase anodine sur le ton de la prophétie : "Quand on a une équipe de Ligue 2, on redescend en Ligue 2".


Le Titre 2011/12

Montpellier n'a pas gagné le championnat de Ligue 1, en 2011/12. Tous les experts sont formels : c'est le Paris SG qui l'a perdu. D'ailleurs, comme toute chose réclamée avant un an et un jour, ce titre perdu par les parisiens est restitué en mai 2013, par le club héraultais. Bel exemple d'honnêteté, dans ce sport de brutes.

Le MHSC, en Ligue Europa

Montpellier a déjà joué en Ligue Europa. Enfin, hongrois ou hongrois pas à ça, hein !


Le MHSC, en Champion's League

Après un score de 2 à 2 à Schalke 04, les Montpelliérains obtiennent un très bon résultat de 1 à 1 à domicile. Cependant, les Héraultais sont éliminés et les Chleuhs qualifiés. La FIFA aurait-elle oublié de comptabiliser les buts inscrits par le MHSC à l'extérieur ? Franchement, c'est pas cool...


Saint Jean-François Domergue

Il est le déclencheur de toute l'Histoire. Il y avait un avant-Domergue, il y aura un après-Domergue. Mais c'est surtout le pendant-Domergue qui a marqué le football montpelliérain.

Cosa Courbis Nostra

Ce pur Marseillais d'origine grecque, nationalisé corse depuis quelques décennies, est à lui seul à l'origine du football moderne, ce sport qui se pratique le portable à la main, le cours de la Bourse en point de mire. Petit casseur de la Cité Phocéenne, casseur de jambes sur les terrains de football, puis casseur de prix dans le milieu du football, c'est en se souvenant qu'il fut l'un des grands tauliers du championnat de France des années disco, que l'on comprend le parcours professionnel de Rolland Courbis, avec l'apogée de sa carrière en 2007 et son arrivée à Montpellier. Rappelons-nous les circonstances... Condamné à deux ans de prison ferme, son choix est fait aussi vite que son baluchon, et Rolland Courbis file à dos d'âne vers le maquis corse, où siège le célèbre Centre de Formation des agents, entraîneurs et dirigeants du monde du football français (qui a donné, en son temps, des cadres chez St-Étienne, Marseille, etc.), créé par Bernard Tapis. Dans la foulée (de l'âne), le président du MHSC, qui en connaît un rayon sur les ordures, lui propose illico une planque à Montpellier, avec l'Adsl, vue sur la mer et quelques avantages en nature négociables. "La même chose qu'en Corse, le Pass'Agglo en sus et les Corses en moins !", Courbis n'hésite pas et saute dans le premier avion pour la capitale languedocienne — non sans avoir revendu, auparavant et à prix d'or, le dit mulet, arguant qu'en lui donnant un peu de temps de jeu on pouvait encore en tirer quelque chose...


Le Clan Girard

En 2009, le MHSC embauche Nicolas Girard, comme préparateur physique de l'équipe fanion. Mais l'homme qui n'est plus à présenter dans le monde du football pose une et une seule condition à sa signature : que René Girard, son père, soit joint à lui. Le clan Girard mène l'équipe jusqu'au titre de champion de France perdu par le Paris SG en 2011/12.


Jean-Luis Fernandez

C'est lui, Fernandez...

Il s'agit, probablement, de la plus grosse blague de l'histoire du football montpelliérain.
Pour le Premier avril, Carotti, Delaye et Mézy tentent de faire croire à Louis Nicollin père, que Maradona serait prêt à signer au MHSC. Loulou, pas le dernier comique de la bande, ne tombe pas dans le panneau et répond à ses lieutenants : "Vous me prenez vraiment pour un jambon, hein ?!"
Un mois plus tard, lorsque les trois suscités se pointent dans le bureau du Président, avec une réelle proposition de contrat signé par Jean Fernandez, Louis Nicollin est persuadé qu'il s'agit d'une nouvelle vanne à son égard, et que le coach ayant paraphé le papier n'est pas Jean, mais... Luis Fernandez. Nicollin signe en leur faisant un clin d'œil et en disant : "Avec Luis, on va bien se marrer, vous allez voir !"


Fred-Aligot Hantz

Président de la République de Belgodère, il n'a, contrairement aux rumeurs, jamais entraîné le Mhsc. Si, si, on a demandé à Loulou Nicollin, qui a confirmé.


Le stade-piscine-olympique de La Mo(u)sson

Annexe du Stade Vélodrome, le Stade-piscine-olympique de la Mosson se situe en bordure d'une jolie rivière typiquement languedocienne, où co-habitent les batraciens et une collection de ballons tirés par les attaquants montpelliérains toutes compétitions confondues. Véritable bijou qui ne doit rien aux cathédrales du haut Moyen Âge, il siège en harmonie au cœur du quartier le plus emblématique de la téci : La Paillade, qui, d'ailleurs, tire son nom d'un ancien cadre de l'équipe de Montpellier d'avant-guerre, Stéphane Paille.

Plus connu pour abriter les matches amicaux de l'Équipe de France que pour les exploits de l'équipe locale, le Stade-piscine-olympique de la Mosson fait également le bonheur des vrais supporters de Montpellier qui se pressent, le dimanche matin, sur son parking, pour y revendre "aux Puces" les maillots jetés la veille dans les tribunes par les plus habiles (au lancé de maillot) des footeux du MHSC.

Le mardi matin, en ce même lieu, le dit parking abrite le Marché aux Fleurs de la ville. C'est à l'occasion de ce marché (mercato, en patois) que se sont effectués les transferts les plus déterminants de ces dernières années, d'où l'expression souvent redondante des supporters pailladins : "On a vraiment pas d'pot...".

Le Stade-piscine-olympique de la Mosson bénéficie comme tous les grands chantiers montpelliérains d'une architecture audacieuse. La tribune latérale bénéficie de deux toits décorés de magnifiques sièges dont on ne connait pas l'utilité. C'est un style d'art "Content-pour-rien". À la sortie des vestiaires, une pancarte avertit le joueur adverse : "Ici c'est le frigo", devise inspirée du fameux stade Daniel Guichard de St-Étienne. Les tribunes portent le nom de zones de la région et naturellement alors que les supporters qualifiés de "bête" sont parqués en Gévaudan ceux possédant un QI d'huitre se retrouvent, regroupés, en étang de Thau. Conscient de l'attrait exercé par le jeu de l'équipe maison et du quartier luxueusement bobo de la Paillade, les pouvoirs publics locaux ont jugé utile d'agrandir le stade.

En 1998, Montpellier accueille la coupe du monde de football, loin d'un France-Italie ou d'un Brésil-Pays-Bas, le Stade-piscine-olympique de la Mosson vibre pour les rencontres Tunisie-Colombie et Allemagne-Iran.

En 2007, le Stade-piscine-olympique de la Mosson a accueilli la coupe du monde de Rugby et a gardé, de cet évènement, un écran géant utilisé dorénavant pour revoir au ralenti les nombreux amortis du tibia des joueurs montpelliérains. Enfin, toujours en quête de modernité, le Stade-piscine-olympique de la Mosson a bénéficié de travaux de modularité exemplaire, permettant à une partie du terrain de se transformer en piscine olympique, dite piscine de la mousson, en période de fortes pluies.


  • Faits sujets à caution concernant le stade :

Le Stade-piscine-olympique de la Mosson a reçu la visite de Zinedine Zidane lors d'un match de l'équipe de France contre la Côte-d'Ivoire du présentateur de téléfoot Didier Drogba. La pelouse, peu habituée à de tels talents, a présenté des plaques d'irradiation et a du être changée après le match. Mais, le sol demeurant à jamais ruiné, la pelouse ne retrouvera son confort naturel que d'ici trois milliards d'années.

L'équipe femelle

Il n'y a pas que des thons dans l'équipe féminine du MHSC...

L’équipe féminine du MHSC est la véritable fierté du Montpelliérain. Grâce à elle, le supporter pailladin peut s’enorgueillir, le lundi matin au bureau (devant la machine à café, chez Nicollin), que Montpellier a battu Vendenheim 7 à 5, la veille.

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