Poitiers

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Capitale de la Vienne (région Poitou-Charentes) environ 100 000 habitants, enfin beaucoup moins quand même. Ville rurale, plus connue sous le nom de Bitardbourg, située dans un désert de campagne. Étant donné que les habitants du Poitou se sont attribués le qualificatif de Poitevins, les habitants de Poitiers ont dû se rabattre sur les termes de Pictavien/Pictavienne/Pictaves. Cependant rares sont les pictaves qui ont connaissance de cette appellation.

Les Pictaves se considèrent comme étant dans le Sud de la France ...


Mentalités

Dû à leur histoire, les pictaviens n'ont aucune fierté régionale :

Poitiers a été quasiment sur la ligne de démarcation durant l'occupation, neutre et donc ravagé par les deux camps dans la Guerre de cent ans, ses habitants se sont pris le chou entre deux quartiers pendant les guerres de religions (ceux du centre provoquèrent au passage une peste centralisée sur une rue, la Grand' Rue, couverte de bâches pour se dissimuler aux tirs ennemis les immondices fermentèrent).

À la fois pro-romain et pro-gaulois pendant la guerre des Gaules, ces traitres en puissance ont été des deux camps à chaque conflit !

Les pictaves ont une drôle de mentalité, par honte d'être pictave (ça se comprend).

Vous y croiserez des voitures avec des autocollants comme le burro catalan, le 64 pas basque ou encore el toro español. Le pictavien ne s'assume pas et ne connaît pas le sens de la fierté.

Souvent retardés, ils ont de drôles de structures familiales, cela est particulièrement vrai dans la campagne environnante, on peut y noter une touche de consanguinité.

Histoire

L'histoire de Poitiers est très riche 1 euro seulement … mais elle est surtout inintéressante, nous vous l'épargnerons.

Notons simplement qu'en 732, Charles Bretelles arrêta les arabes à Poitiers lors d'une partie de football. L'équipe locale s'imposa sur le score de 2 buts à 0.

Ensuite en 2005, en mettant fin à son mandat de Premier ministre, Jacques Chirac arrêta Jean-Pierre Raffarin qui voulait délocaliser tout Paris sur la technopole du Futuroscope. Sans compter Ségolène Royal.

Langue

À Poitiers on parle le Russe et le français, mais avec des expressions de la paysannerie. Si quelqu'un vous dit : Je débauche à 18h, ne croyez pas que l'individu va aller dans une boîte échangiste à cette heure là, débaucher veut dire l'heure où on finit sa journée de travail.

Si vous entendez : Stantôt, je vais faire les courses, ça veut dire : J'y vais cet aprem et non pas tôt le matin. Le patois est aussi très présent, Vindiou, Oudjnoiou, Quiqolédcheu ?, Bah couillon ! (à prononcer "bâcoillon") et autres.

Si le pictave vous demande une poche ou un pochon, ne croyez pas qu'il veux en faire coudre sur son jean mais simplement qu'il souhaite un sac en plastique.

Le pictave barre sa porte au lieu de la fermer.

Si le pictave vous informe qu'il souhaite rentrer chez lui scincer sa cuisine, ne vous inquiétez pas pour sa femme il veut juste passer la scince (la serpillère quoi).

Il est à noter que le québecois est un mélange de pictaviennois et d'autres délicieux dialectes moyen-âgeux (picard, vendéen, normand et breton).

Perfides et aimant à se jouer des touristes, les habitants de Poitiers ont pour coutume d'utiliser les anciens noms des rues et places de la ville plutôt que leurs appellations officielles (ex. "place d'armes" pour "place du Maréchal Leclerc", "place Not'Dame" pour "place Charles de Gaulle", "place du Pilori" pour "place de la Liberté", "su'l'campus" pour "avenue du recteur Pineau", "la pénétrante" pour "voie André Malraux", "l'av'nue d'la gare" pour "Bd du Grand Cerf"). Selon la plupart des historiens, la victoire de Bretelle sur les Arabes (v. plus haut) serait très largement due à l'efficacité de cette technique de désorientation de l'ennemi, à moins que les troupes sarrasines n'aient subi une indigestion massive après s'être empiffrées de broyé (sorte de gâteau local composé environ d'un tiers de farine, d'un tiers de beurre et d'un tiers de ciment frais et dont la recette exacte demeure un secret bien gardé).

Curiosités

Poitiers possède sa statue de la liberté, c'est son coté american style, le pictave est très branché. celle ci est dédié à la Franc-maQuonnerie.

À noter aussi qu'il existe une rue d'Elne, la grande cité du Roussillon est donc un modèle pour la cité pictave.

Il faut noter aussi que le commissariat de Poitiers possède en son sein l'un des trois exemplaires du Manneken Pis, fierté de Bruxelles, trônant dans l'entrée du commissariat, fier comme Artaban roi des Parthes qui n'a rien à voir avec Poitiers.

Personnalités

Brian Joubert est l'idole de tout un peuple, il a des places de parking gratuites on n'hésite pas à lui payer une bière ou à lui rajouter un cheeseburger quand il va à Mcdo. Notre amie Ségo et le super pote JP avaient élus domicile dans cette ville et sa région. Sinon ... bon c'est déjà pas mal. A noter au passage l'idole des Parkinson poitevins, Maya (l'abeille) Monshipour, champion du monde de boxe de 2003 à 2006 et de 2006 à 2013 des tentatives de come back. Un homme qui a le franc zozoté!

Université

Le joyau de Poitiers est son université, une des plus prestigieuses d'Europe. Après chaque blocus (tradition locale qui veut que chaque année, pendant la moitié d'un semestre, les étudiants se mettent en grève pour réclamer un salaire minimum de 3500 euros par mois), les diplômes de Licenciés en pyjama party, Maîtres en glandouille, et Docteurs en gauchisme sont distribués par Ségolène Royal et le Grand Schtroumpf. On peut en conclure que l'université de Poitiers est la seule chose positive de cette ville (et encore).


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