Secte satano-nazie

L'étoile de Skippy Nasee, grand gourou australien, fondateur de la secte

Aussi appelée secte “satan ô Nasee”, cette farce sérieuse secte s'évertue à former de jeunes enfant(e)s ou de jeunes adolescent(e)s (ou dé“jeune”r avec d'autres personnes, c'est selon) par le biais d'entraînements physiques et spirituels très intensifs (la fameuse chanson je suis un mouton est particulièrement ardue, de par l'emploi d'un vocabulaire inusité, désuet).

Les origines

Elle fut fondée au XVe siècle par un autochtone australien, Skippy Toyable. Ce bon monsieur, plombier émérite, était apprécié de tous les villageois de JwakontN'importkwa, célèbre village d'ailleurs, premier importateur de blagues et calembours stupides au XXe siècle. Or, en ce jour maudit du 6 juin 1466 (coïncidence? pure hasard? force magnétique venue de l'espace? Lucky Luke contre les Daltons? nul ne le sait), sa voisine de palier demanda ses services pour un trou bouché (attention, je parle du lavabo, pervers !). S'en suivit alors une remarque de la belle, qui allait changer à jamais le destin de notre plombier. « S'qui peut être nase, lui. » (remarquez, tous ces jeux de mots tirés par les cheveux... AIE ). Cette phrase fut à l'origine de son pseudoNîmes, Skippy Nasee, père et fondateur de la secte Satan ô Nasee.

La secte : son combat contre la Craie teintée

Satan, Big brother de la secte, espère lui aussi ramener des fidèles à sa cause, afin de lutter contre la bonne parole de la craie teintée, entité très puissante qui confère d'excellents résultats à l'école.

« Les petits français travaillent mal à l'école; attention à Skippy Nasee ! »

~ la Craie teintée à propos du french-cancancre

Et alors...

Non, Zorro n'est pas encore arrivé. Mais il faudrait qu'il fasse vite, pour botter les fesses du sergent Garcia à la solde de la secte (ne dit-on pas “Gare si à Satan ô Nasee tu tombes, d'une im(Skip)pytoyable cruauté”). Il retient prisonnier des enfants mexicains pour les livrer au Maître.

Former les jeunes esprits

Pendant deux ans, les nouveaux fidèles, la plupart des enfants (pour leur esprit malléable) sont initiés aux rites sataniques, il faut bien le dire.

• une écoute journalière de Tokio Hotel, musique gothico-satanique qui réduit considérablement le cerveau du jeune.
• une dose massive de Star Academy, poison aborigène très violent qui paralyse les fonctions cérébrales du jeune.
• A l'état de légume, le jeune doit avaler de nombreux satanisfères, produit hautement toxique à base d'excréments de toute sorte.

Les tests passés avec succès amène à la pensée collective :

• danse dite du ridicule qui permet au nouveau fidèle de passer pour un con aux yeux du Maître.
• les chants Satan ô Naseeien, dont la célèbre je suis un mouton (je n'ai Dieu que pour Satan et la danse des Canards sont aussi au programme).

C'est un rituel très long qui, arrivé à son terme, ouvre les portes de la réussite et de la gloire (avec l'amour et la beauté...).

Les mœurs changent avec l'OTAN

Avec l'OTAN (calembour très raffiné au passage), la secte Satan ô Nasee s'est vu listée dans les projets de Guignol, qui, après la guerre à l'Irak, à l'Iran, la Corée du Nord et du Sud (pas de jaloux hein !), à E.T. et à MacGuyver, s'attaquera à la secte. Aussi, elle est désormais illégale et craint une attaque du bushmen (Skippy, le Maître gourou satanique, ne se sent pas dépaysé) qui pourrait anéantir tout une vie: une prolifération de métalleux détruirait la secte (cf. chapitre précédent).

Quand c'est secte, ce n'est pas mouillé

Proverbe de Skippy Nasee, qui, aujourd'hui, reste mystérieux. On pense qu'il y a un rapport avec Hitler et une lampe à pétrole.

— Hitler?

— Hitler très bien, on peut lire le livre noir de Satan

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