Sir Lipton
Sir Thomas Johnstone Lewis Dimitri Jean Jacques Lipton, est un navigateur, alchimiste, et Théo-chimiste (ici le terme Théo-chimiste désigne la chimie du thé, à ne pas confondre avec la chimie de la théorie, ou la chimie théorique, enfin bref vous avez compris), né en 1773 à Boston, et mort il n’y a pas si longtemps que ça. C’est aussi, et tout le monde le connaît plus à cause de ça, car il a grave percé, le fondateur de la marque de thé Lipton.
Biographie
Contrairement à beaucoup de personnalités, Sir Lipton n’a pas écrit d’autobiographie, surement sous l’influence de l’artiste contemporain Orelsan, très apprécié de Thomas, qui je cite dit dans une de ses œuvres « Viens pas jouer les stars si t’écris toi même ta bio ».
Je m’occuperai donc de résumer sa vie plus que trépidante ici.
Une naissance pour le moins agitée
Notre ami Jacques nait d’une mère américaine et d’un père américain à Boston en 1773. On raconte que la mère de Thomas souffrait d’obésité à la suite d’une overdose de composés lipido-gastriques entraînant une réaction d’hypertrophie des tissus adipeux, rendant l’extraction du bébé difficile. Maladie pour le moins rare, car survenant avant l’arrivée des chaines de restauration rapide.
Son père, qui rentrait alors d’une dure journée de labeur, eut la bonne idée de faire tourner sa femme sur son ventre, de sorte à exercer une pression sur les parois utérines et permettre l’éjection du nouveau-né. Pratique encore utilisée aujourd’hui, bien que controversée, car résultant une fois sur deux par la mort du mioche.
Une enfance toujours agitée
Durant son enfance, Dimitri frôla plusieurs fois la mort. L’année de sa naissance, alors qu’il était sous la garde de son vieux, ce dernier était occupé à jeter des barils contenant du thé. En effet, les taxes de douane étaient particulièrement élevées, et ce radin d’importateur n’avait pas prévu assez d’oseille. Il a donc fallu jeter une partie de la cargaison afin de payer moins de taxes. Logique me diriez-vous. Ce n’est pas comme s’ils allaient jeter du thé dans de la flotte pour montrer qu’ils ne sont pas contents. C’est complètement ridicule voyons. Cela est pourtant une croyance populaire.
Lewis, qui, assis sur un baril de thé pendant que son père était à l’œuvre, trouva malin d’ouvrir le baril et de s’y cacher. Il n’avait que 3 mois, mais était étonnement précoce.
Suite logique, son père jeta le baril contenant le petit homme. L’histoire ne raconte pas comment il a survécu, mais tout le monde était tellement dans la joie qu’ils ont décidé de fêter ça. Ce qui à la base n'était qu’une soirée où tout le monde se bourrait la gueule allait devenir un événement historique majeur, nommé Boston Tea Party. La référence paraît évidente.
Une adolescence encore agitée
Alors qu’il se masturbait devant son émission porno hebdomadaire, lors du moment tant attendu, son père frappa, signe interprété par Johnstone comme une envie de pénétrer dans sa chambre. Pris de panique, notre ami Lipton énonça cette célèbre phrase, reprise plus tard pour le café :
« Je suis en train de faire couler du thé au lait ! »
Son paternel, un peu con, mais pas tant que ça, comprit le subterfuge : la machine à thé n’existe pas… Il entra et surprit Jean :
Ses ambitions étaient grandes, et il allait bientôt réaliser son rêve...
Une vie d’adulte, euh, agitée
Sir Thomas, suite à la découverte de son idée, décida d’entamer des études de Théo-chimiste. Mais aucune école n’existait aux États-Unis d’Amérique. Il appris donc la navigation, afin de rejoindre le Turkménistan, seul pays possédant une telle école. Du moins c’est ce qu’assure son ami Jim Tetley, qui malgré un visage peu harmonieux, allait devenir le principal concurrent de Lipton. Car c’est connu dans le monde des affaires, qui est moche ne réussit pas, ou pas longtemps, et les exemples ne manquent pas : Bayrou, Tapie, Ribéry, Geneviève de Fontenay, Nicolas Sarkozy… Mais revenons à nos moutons.
Lipton se rendit compte bien tard de son erreur : le Turkménistan n’est pas joignable par la mer. Il décida enfin de faire comme tout le monde et prendre un avion pour y aller. Cet événement marque aussi le début d’une certaine méfiance de Lipton envers Tetley, ce dernier l’ayant induit en erreur.
Arrivé au Turkménistan, dans son université, il dut faire face au traditionnel bizutage, non sans lui rappeler la machine à thé qui coule du thé au lait, Sir Lipton dans le rôle de la tasse. Après trois années d’études, il obtient un diplôme de Théo-Chimie, et aussi un Diplôme d’Alchimie, car ça faisait vachement plus classe. Son diplôme en main, il retourna aux États-Unis, puis alla en France, pour se faire embaucher par Nestea, et réaliser son plan machiavélique. Cependant, son diplôme n’était pas valide, et il dut revenir aux États-Unis. Il apprit dès lors que Tetley avait ouvert sa boite de thé (sans aucun jeu de mots bien sûr), et il ragea un max. Sir Lipton décida lui aussi de faire de même
La création de Lipton Fuck**g Best Tea Company
Déterminé, Lipton décida de faire de son thé le meilleur du monde. Mais il lui fallait un nom. Un nom qui claque. Son idée est que son thé provoquerait ce geste très connu lorsque l’on veut enlever la « moustache » causée par le liquide qu’on ingurgite.
On effectue en effet une rotation de la langue sur les lèvres. Et là ce fut le coup de génie. Lèvres se dit Lips en anglais, et langue se dit Tongue. On obtient donc Lips-Tongue, qui en contractant donne Lipton. « Mais évidemment, il était là depuis le début » nous dirait l’éminent philosophe Thomas N’Gogol. Bien plus qu’une évidence, cela prouve que Sir Lipton était prédestiné à devenir fabriquant de thé.
Il fallait ensuite trouver un nom original. « Tetley c’est classe, mais ça fonctionnera jamais chez les jeunes ! » disait Dimitri. Il décida donc de montrer que son thé serait le meilleur, en rajoutant « Fuck**g Best Tea Company », qui signifie « Putain de meilleur thé » derrière Lipton. Mais par la suite, ce suffixe disparut. En effet, en bon chef d’entreprise, Sir Lipton faisait passer ses dépenses sur le compte de la société. Mais ça le gavait de devoir écrire « Lipton Fuck**g Best Tea Company » à chaque fois sur le chèque. De plus, la plupart du temps en état d’ébriété, il se trompait souvent. Il abrégea donc le nom en Lipton. On raconte aussi que la couleur jaune des emballages vient de son nom Johnstone, qui pourrait être traduit comme Jaune-Stone, Pierre jaune en Anglais. Mais en 1820, il dément cela dans une interview accordée à Closer Magazine.
L’apogée
Son thé fut un réel succès. Cependant un événement sombre vient perturber l’escalade de cette société à Wall Street. Selon une recherche effectuée par un certain Jim Tetley, des quantités infimes de nicotine, substance inconnue à l’époque, étaient introduites dans le thé Lipton, afin que les gens y deviennent dépendants.
Sir Lipton fut, suite à ce scandale, incarcéré dans une prison dans l’Utah. Il y fit la connaissance de Théodore Bagwell, dit T-Bag, qui lui donna une sacrément bonne idée : le Tea-Bag. À la fin de son séjour de plus de 2 ans en prison, il reprit les rênes de la société. Les gens étaient devenus totalement accros au thé Lipton. Tout allait bien pour lui.
Une mort, finalement, agitée
Il mourut quelques années après, dans des circonstances inconnues. On parle de suicide, mais personne n’en sut rien. Il fut retrouvé dans les locaux de Tetley. Le patron Jim avait sa chemise tachée du sang de Sir Lipton, il aurait selon le rapport de police trébuché sur le corps. L’arme du crime s’est révélée être un sachet de thé Tetley, enfoncé dans la gorge. Mais cela ne prouve pas le fait que ce soit un crime, ni n'explique le sang sur la scène de crime. Le mystère reste aujourd’hui encore non résolu.
Vie Privée
Sir Lipton était connu de tous comme étant très pervers, et se tapait souvent des putes. Mais il fut marié à Lady Margeory Cup quelques années avant sa mort. L’héritage revint donc entièrement à Margeory, qui reprit aussitôt les rênes de Lipton, et créa l’association Cup of Tea pour venir en aide aux plus nécessiteux. Il n’eut point d’enfant, du moins point d’enfant déclaré.
Sir Lipton est aussi connu de tous comme un fervent, mais aussi un des meilleurs pratiquant de la boxe Ouzbek. Cet art martial lui permit notamment d’intervenir personnellement lors d’une attaque de ses champs de thé par les Celsiths, d’origines Cap-Verdienne, qui détruisaient tout sur leur passage.
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