Star Wars, épisode VI : Le Retour du Jedi
Star Wars, épisode VI : Le Retour du Jedi est un documentaire de George Lucas sorti en 1983. Ce documentaire est à l'origine d'un mouvement de pensée pacifiste : Le Problème de l'Étoile de la Mort. En effet, la fin du documentaire montre l'Étoile de la Mort, une gigantesque structure habitée complètement détruite dans l'indifférence générale, ou plutôt dans la liesse et l'allégresse la plus totale de la part des Gentils. Tout ça passque ce sont des méchants qui la dirigeaient et qu'ils ont finalement perdu.
Mais que deviennent tous ceux qui y travaillaient ? Tous les employés qui n'ont pas survécu à l'explosion ? Pas seulement les stormtroopers et autres militaires, mais aussi les civils qui la peuplaient ? Les techniciens, les agents d'entretien ? Des milliers de civils morts en toute impunité. C'est cette question que soulève le douloureux problème de l'Étoile de la Mort.
Un choix de vie
Car travailler dans le milieu du crime organisé ne découle pas forcément d'une méchanceté innée, c'est aussi et SURTOUT une opportunité de travail ! D'avoir un emploi, de valoriser ses années d'études après avoir tant galéré pour trouver un boulot dit "normal", de gagner sa vie. Car le crime paye bien, contrairement au proverbe politiquement correct, et on peut comprendre la formidable opportunité que cela a représenté pour ces jeunes désœuvrés. Ne dit-on pas « il n'y a pas de sot métier » ? Sinon travailler pour un Super Vilain, quel avenir pour ces jeunes, racailles en puissance ? Vol ? Viol ? Arnaques à la petite semelle ? Président de la République ?
Grâce à Dark Vador, Jeanne D'arc, Dark Maule, Georges Bush, Lex Luthor, de la Wikimedia Foundation et du lobby LGBT, ces gens ont pu trouver eux aussi leur place dans la société. Ils ont eu ainsi la possibilité d'une ile de s'établir, de fonder une famille et pouvoir subvenir à ses besoins. Mais suite à la destruction du Quartier Général par les Gentils, ils laissent derrière eux une famille mutilée, meurtrie et sans aucun revenu financier.
La question morale
La question éthique et philosophique qui se pose est « A-t-on le droit de se réjouir de la destruction d'une organisation de Méchants quelle qu'elle soit lorsqu'il y a tant de vies innocentes supprimées ? ». Car il ne faudrait pas confondre les employés d'une organisation maléfique avec les ennemis de base ! Car là où ces derniers affichent clairement leur méchantude en s'attaquant directement au(x) Gentil(s), qu'ils obéissent aux ordres d'un méchant ou agissent de leur plein gré (__et encore le problème demeure intact car certains d'entre eux détestent souvent la violence et ne font que ce qu'ils sont censés faire, dans leur intérêt ou celui de leur famille !__) , les civils eux ne confrontent jamais les gentils ! Ce sont de parfait anonymes qui n'ont pas cherché à nuire et dont le monde ne connaitra jamais le visage. Ont-ils mérité leur sort ?
L'art contre le silence
Certains films engagés comme par exemple Austin Powers, ont osé dénoncer toute la Cruauté de cette notion, en montrant au public les conséquences des actions des prétendus "Gentils" sur les familles des victimes. Je vous invite à lire le Vibrant et Poignant hommage de Robert Cash aux innombrables victimes de Kenshiro.
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