Chien pseudo-communiste

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Une photo d'un célèbre chien pseudo-communiste : Che Guewawa.

Le chien pseudo-communiste est un canidé classé parmi les chiens dangereux ; à titre d'exemple, il est situé en France dans la catégorie 4 (chiens représentant un danger mortel à long terme).

Bien que d'apparence inoffensive, ces petits mammifères sont bien plus à craindre qu'un pitbull, un Rottweiller, ou même un tigre, même s'ils ont à peine plus de force qu'un Yorkshire.

Véritable virus canin, le chien pseudo-communiste surgit d'une manière bien spécifique dans la vie des honnêtes gens, établissant son règne au travers de 4 étapes progressives.


Cheguewawa.jpg

Première étape : l'adoption

L'adoption d'un chien pseudo-communiste s'effectue à peu près toujours de la manière suivante :

Tout commence d'une manière anodine : une petite affiche est scotchée sur un panneau d'affichage. Elle annonce que des petits chiots sont donnés à qui saura en prendre soin. Avec du recul, vous vous direz qu'il s'agissait du piège à cons le plus élaboré qui soit. Mais sur le moment, vous vous dites : "chouette, un petit compagnon canin, ce sera sympa !" ; une déclaration pleine de naïveté, mais qui prouve à quel point vous avez du cœur (et à quel point vous n'avez pas d'amis humains). Vous notez donc le numéro de téléphone, et après une petite discussion de 20 minutes avec votre conjoint(e), vous décidez d'appeler. La conversation avec le propriétaire des chiots laisse imaginer des petits bâtards à poils ras, absolument adorables et innocents ; très vite, vous prenez rendez-vous pour rendre visite à ces réussites de la nature. On vous donne l'adresse d'un lieu non loin de chez vous. Dans deux jours, vous rencontrerez peut-être le chien qui va vous accompagner durant des années. Vous êtes excité, votre cœur s'emballe, et vous espérez que les chiots seront aussi beaux qu'on vous l'a promis.

Le Grand Jour

Le jour du rendez-vous, vous vous coiffez bien, vous vous habillez avec classe, histoire de faire bonne impression à votre éventuel futur chien. Arrivé au lieu du rencard, un couple de jeunes étudiants super sympa vous invitent à monter dans leur voiture, afin d'aller visiter les chiots : on vous explique que ces derniers sont situés non loin, dans la maison parentale.

En montant dans la voiture, vous regardez votre conjoint(e) avec satisfaction : ces jeunes inspirent confiance, ils ont l'air ouverts et plutôt tranquilles. Cinq minutes plus tard, un de vos hôtes décide de mettre une cassette dans l'autoradio, parce que très vite, plus personne n'a rien à dire, et tout le monde regarde anxieusement sa vitre de voiture.

Eh eh, pour faire chier les cocos, j'ai aligné cette image à droite. Les boules!

Alors que vous entendez parler de lutte finale, vous réalisez qu'un truc cloche : la chanson qui s'engouffre dans vos oreilles n'est autre que l'Internationale ! Vous vous attendiez plutôt au dernier tube de Lara Fabian, et la surprise emplit bientôt votre regard. Vous regardez alors votre ami(e) avec amusement, échangeant un regard complice (un air con quoi).

Alors que l'Internationale finit de déverser son message communiste, la voiture freine, puis le conducteur coupe le contact : vous êtes arrivés...

Dès lors que vous entrez dans la maison, un horrible chien marron répugnant se jette sur votre mollet pour vous l'arracher : s'il avait eu des dents, ça aurait été votre fête. Les maîtres (les parents d'un des jeunes) reprennent leur vieux chien qui pue, et entament la conversation :

- Bonjour, vous venez pour les chiots ?

- Oui, on a vu l'annonce, et on aimerait bien avoir un petit toutou ! Alors on s'est dit que peut-être...

- Vous avez de la chance, il nous en reste trois, des femelles, et ce sont vraiment des belles chiennes !

Pourtant, vous hésitez à poser la véritable question, celle qui vous hante. Finalement, c'est votre ami(e) qui la pose :

- Ce joli chien, là, c'est la mère des petits ?

Alors que le "oui" retentit, la vérité semble vous assommer : ces chiots, ils ressembleront à des grosses merdes dégueulasses, des gros bâtards puants et moches. Vous vous apprêtez à ressortir, mais puisque vous êtes là, autant descendre dans la cave, là où sont entreposées les petites fientes.

Tout en bas, dans la vieille cave pourrite, on entend des jappements lugubres... A quoi ressemblent ces bestiaux? A leur mère? A TA mère?

La plus grosse surprise est alors devant vous : 3 chiots absolument exquis, magnifiques, sans aucun rapport esthétique avec leur mère. Le plus dur sera d'en choisir un, tant ils sont mignons. Vous vous apprêtez à faire votre choix, vous hésitez, mais après réflexion, ce sera... Le petit chiot marron !

Enfin, ça aurait dû, s'il n'y avait pas eu...

Le coup de la marche !

Eh oui, le coup de la marche est un procédé que maîtrise particulièrement bien le chiot pseudo-communiste : alors qu'il voit votre doigt pointer vers un de ses frères ou sœurs, il se dépêche de grimper sur une marche trop haute pour lui. Vous commencez alors à regarder la petite peluche qui peine à escalader ces quelques centimètres...

Elle est si mignonne ! Mais le coup fatal est porté lorsqu'elle est enfin posée sur sa marche : elle se met alors à trembler de la queue aux pattes, puis lentement, elle relève la tête tout en tremblant... Ses gros yeux luisants et humides vous fixent avec peine et émotion : vous êtes foutu. Aux chiottes le chien marron, vous prenez ce petit chien à la robe noire et feu, qui vous a littéralement foudroyé le cœur.

Pour la petite histoire, on vous explique que sa mère a eu une aventure avec un soi-disant pinscher nain, lors de vacances au Portugal, ce qui expliquerait sa perfection génétique et la couleur de sa robe.

Un croisement génétique improbable, et pourtant, ça donne un chien plutôt canon !

Quoi qu'il en soit, le chiot est à vos yeux le plus beau de la planète et le plus mignon ! D'ici une semaine, vous irez chercher ce petit bout de bonheur directement chez les jeunes communistes qui vous avaient conduit aux merveilles poilues.

Super sexy quand mon chien le chien pseudo-communiste était bébé !

Premier contact en tête à tête

Alors que vous entrez chez les jeunes, vous apercevez des dizaines de piles de tracts communistes, des affiches et autres babioles socialistes. Rien qu'à voir ça, vous auriez dû comprendre qu'il y avait un problème ! Pourtant, vous vous précipitez vers le canapé, sur lequel est installée la frêle créature noire et feu. Elle tremble encore, apparemment apeurée par votre présence. Vous la rassurez. Il est temps de l'emmener chez vous. Désormais, vous êtes ses maîtres, voire même, ses parents. C'est un long cauchemar qui commence.



Deuxième étape : l'installation

Du caca plein les doigts

Un chiot, c'est mignon, mais ça fait caca partout. Celui-ci, apparemment, n'a aucune limite : vous vous apercevez vite qu'il contient au moins une tonne de chiasse bien liquide à expédier sur votre moquette. Très vite, vous installez du papier journal, et vous lui montrez où faire ses besoins : elle évite soigneusement de déféquer sur les journaux. Non, elle, ce qui lui plaît, c'est la moquette. VOTRE moquette.

Et même, elle semble adorer vider ses intestins lorsque vous la regardez tendrement ; elle prend particulièrement son pied lorsqu'elle vous regarde nettoyer ses bouses. Quand vous frottez et que vous étalez la merde sans parvenir à l'enlever, ses petits yeux pétillent de bonheur. Le réveil, chaque matin, est difficile : vous descendez pieds nus de votre lit, et plongez jusqu'au talon dans un gros tas de merde. En regardant partout dans la pièce, vous ne voyez que des taches d'urine (de plus en plus grosses au fil des jours) et des petits tas bruns. Partout, sauf sur les journaux, qui sont immaculés.

Quel bonheur d'avoir un chien!!!!!

Vous utilisez des stratégies : ainsi, vous mettez tellement de journal qu'elle est obligée d'y faire ses besoins. Vous vous réveillez avec de la merde sur la couette. Évidemment, vous la sortez. Mais elle se contente de flâner bêtement à droite et à gauche sans poser la moindre pêche. Après une demi-heure de promenade, elle finit pas larguer un énorme étron : dommage, vous êtes déjà rentré chez vous.

Bref, ça s'annonce mal. La nuit, vous décidez d'enfermer ce chiot (ou plutôt cette chiotte puisque c'est une femelle) dans la cuisine. Alors forcément, plus de moquette. Ce n'est pas grave, le chiot a la solution : tout d'abord, elle aboie toute la nuit, vous plongeant dans une rage et un état de nerfs inconcevable. Ensuite, elle vous a réservé une petite surprise. Patience, vous la découvrirez vite.

La surprise

Vous vous levez avec des regrets, mal dans votre peau : le chiot, épuisé, n'aboie plus. Il doit surement dormir profondément. Vous l'avez abandonné, vous êtes un mauvais maître, une raclure. Il est temps d'aller se faire pardonner auprès du chien, qui après tout, n'est qu'un bébé-chien. Vous ouvrez donc la porte de la cuisine. A votre grande surprise, l'ouverture de la porte provoque un étalage de merde impressionnant sur le sol ! Le chiot, dans sa grande perfidie, a posé un énorme colombin bien épais derrière la porte : en ouvrant cette dernière, vous venez de former une grande trace de merde circulaire. Le bas de la porte est enduit de crotte et de morceaux mal digérés. Le vomi attend tranquillement dans votre gorge, prêt à en sortir rapidement.

Il ne vous reste plus qu'à soulever ou démonter la porte pour nettoyer sa partie inférieure. Les veines de votre cou ressortent tellement à présent qu'elles pourraient bien exploser. Il serait temps de programmer une terrible vengeance. Quatre mois passent. Rien ne s'est amélioré, et le chien produit des étrons de plus en plus gros.

Une touffe de poils de plus en plus adorable

Pas facile de latter les couilles d'un chien aussi sensuel...

Dans le même temps, le sympathique chien à "poils ras" se révèle être, bien évidemment, une saloperie de chien à longs poils : des poils qui ne cessent de voler dans tout l'appartement, comme s'ils faisaient exprès de recouvrir les habits et le sol.

Ces poils, évidemment, rendent le chien irrésistible, adorable et toujours aussi mignon. Comme si cela ne suffisait pas, vous voilà obligé de le sortir sans cesse, sans que ça ait la moindre utilité ; de plus, vous ne cessez d'entendre à votre passage des phrases comme "Mais quel beau petit chien, il est adorable !" ou encore "vous en avez de la chance d'avoir un si joli toutou !" : rien de tel pour vous énerver, et vous pousser à bastonner une petite vieille qui vanterait un peu trop les mérites de ce gros bâtard même pas puant.

Un beau jour, hors de vous, vous proposez de vous débarrasser du chien. A peine deux jours plus tard, le moment tant attendu arrive : le chien décide de faire pipi et caca dehors, dans le caniveau. Un tel retournement de situation vous comble de bonheur, vous et votre conjoint(e) ; cependant, ce hasard vous laisse perplexe : vous commencez à penser que ce chien est un fin stratège, et que vos souffrances sont loin d'être finies. Jusque l'âge de trois ans, le chien continuera à se soulager sur la moquette, sur le lino, les draps ou vos chaussons : mais pas suffisamment pour justifier un abandon. Et dans le même temps, il va chercher à mieux vous comprendre, non pas pour mieux se comporter, mais plutôt pour vous emmerder de manière plus subtile...



Troisième étape : l'observation

Après une période aussi difficile, le petit chien semble vraiment plus supportable, même si objectivement, il ne l'est qu'à 7% tout au plus. Un petit progrès permet de faire accepter les pires horreurs, auxquelles on finit par s'habituer... Le chien, d'une certaine manière, est affectueux ; et hormis le fait qu'il soit une plaie pour ses maîtres, il devient vite indispensable. Il paraît même être à l'écoute... Lorsque vous parlez, il vous regarde tendrement, et vous appréciez de lui gratter la tête, cherchant à mériter son affection. Au départ, vous ne remarquez pas qu'il vous observe, et pensez qu'il vous regarde bêtement.

Puis vous remarquez un phénomène : lors d'une discussion avec votre ami(e), ses oreilles se redressent lorsqu'il entend certains mots : tout d'abord, quand il entend son nom ou l'un de ses surnoms ; ensuite, lorsque vous prononcez des mots tels que "pizza", "manger", "nourriture", "faim", "lasagnes au saumon", "croque-monsieur", "frites délicatement salées et cuites au four", etc.

Le chien pseudo-communiste t'observe camarade !

Évidemment, c'est un chien, et il est normal qu'il repère les mots ayant rapport à la nourriture. Pourtant, le plus inquiétant survient plus tard, alors que vous discutez avec votre ami(e) des problèmes inhérents au communisme, et à sa dégénérescence en dictature. Alors que vous tournez la tête, vous vous rendez compte que le chien vous observe de manière particulièrement soutenue.

Vous souvenant de son passé au sein de communistes, vous faites un test : vous prononcez différents mots, tels que communisme, république populaire, ou nazisme. En entendant ce dernier mot, le chien ne trouve rien de mieux à faire que de se gratter. En revanche, que ce soit pour les mots "pizza" ou "communisme", le petit chien remue timidement la queue. Vous saisissez plusieurs choses : tout d'abord, votre chien comprend parfaitement le français ; ensuite, c'est un communiste de premier ordre. Cela explique pourquoi il fallait toujours partager sa nourriture avec lui, et qu'il tentait désespérément de vous prêter ses jouets...

Désormais, vous comprenez mieux votre chien, et la relation qui vous lie ne pourra qu'en être améliorée. Désormais, votre foyer sera dirigé de manière communiste : vous partagerez systématiquement la nourriture avec lui, et vous partagerez votre lit pour qu'il dorme en paix. Tout sera mis en commun avec lui, y compris vos vêtements. L'égalité homme-chien n'est plus une option : elle doit être réelle pour libérer le chien de sa condition de prolétaire. Vous ne devez plus être le maître, car il n'y a plus ni dieu, ni maître.



Quatrième étape : la domestication

Le chien pseudo-communiste a une certaine prestance, un peu comme Staline ou John Lennon !

En peu de temps, vous laissez à votre chien une liberté sans limites dans l'enceinte de votre appartement. Pourtant, cette liberté engendre bien des problèmes, puisque le chien se croit libre de se taper tous les coussins de votre salon, et de hurler à la mort dès que vous êtes parti, histoire de vous mettre les voisins à dos.

Très vite, ce qui devait arriver arrive pour de bon : vous voilà en pleine dictature du prolétariat. Le chien se sert dans votre frigo, vous retrouvez vos briques de lait éventrées et vidées sur le sol de la cuisine. Le chien décide de grogner après les passants, les voisins, les autres chiens et le reste de la création. Peu à peu, il vous isole.

Vous vous retrouvez sous son emprise : il vous a domestiqué. Votre conjoint(e) vous a quitté depuis longtemps, le chien ayant provoqué moultes disputes : en outre, cette petite boule de poils vous mène la vie dure, vous attaque quand vous la réprimandez, détruit vos affaires... Alors qu'à l'inverse, elle donne de tendres coups de museau à sa maîtresse, dort contre sa poitrine et lui fait des câlins, un peu comme le ferait un enfant.

Pensez-bien à raser votre chien pour vérifier que ce n'est pas un de ces anarchistes canins qui menacent notre sécurité !

Bref, vous passez pour un être méchant et autoritaire, toujours à engueuler son chien, et vous êtes mis à l'écart de la société et de votre propre couple. Un bon jour, vous décidez d'accomplir immédiatement votre vengeance : vous décidez de raser entièrement votre chien, pour lui foutre les boules.

Mais alors que vous commencez à raser les poils de son dos, un terrible symbole apparaît : il s'agit du symbole anarchiste, un grand A dans un cercle. Toute cette connerie sur le communisme pour mieux vous berner, et pour faire régner l'anarchie la plus totale.

Jouant sur ses origines communistes, ce diable canin noir et feu vous a laissé penser qu'il fallait changer votre relation maître-chien en relation égalitaire communiste, parce que le communisme était dans son sang. Afin de confirmer vos terribles soupçons, vous tentez de prononcer le mot "anarchie" en regardant votre chien dans les yeux. Sa petite queue touffue ne tarde pas à remuer, et son regard en dit long : vous vous êtes bien fait avoir.



En finir avec ce chien pseudo-communiste

Malheureusement, comme vous vous en doutez, le narrateur de cette histoire a lui-même été piégé par un de ces putains de chiens pseudo-communistes. Chaque jour, de nouvelles personnes tombent dans le piège, même s'il est vrai que certains détails de ce traquenard peuvent varier (par exemple, l'Internationale pourrait très bien être lue par un autoradio MP3, et non par un autoradio à cassettes). C'est en connaissance de cause que je vous livre ce conseil : si vous souhaitez que cesse la domination de ce chien sanguinaire, vous ne devez pas en prendre un chez vous, et devez prendre garde à déjouer chaque piège décrit dans cet article. Si le mal est déjà fait, vous pouvez partir vivre dans un autre pays (en abandonnant votre chien, cela va de soi), ou bien vous devez parvenir à le plonger vivant dans du métal en fusion. Évidemment, il ne faut pas imaginer qu'il soit facile de supprimer un tel manipulateur canin !

Le chien anarchiste n'est peut-être pas très grand, mais il a des gencives impeccables !

Étant donné la perversité de ce chien anarchiste, on ne peut que conseiller à ses "propriétaires" de ne pas trop le perturber, et de faire absolument tout ce qu'il désire. En dernier recours, vous pouvez toujours arrêter de le nourrir, mais sachez que privé de sa ration quotidienne, le chien pseudo-communiste (que l'on qualifiera davantage de chien despotique anarchiste) risque d'en faire une affaire personnelle, et de s'en prendre directement à vos enfants, ou si vous n'en possédez pas encore, à vos couilles.


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