Virus
Le mot virus est issu du latin virus, i qui signifie « poison » comme dans l'expression populaire Vladimir Poutine est un poison pour la Russie. Se terminant par un s, il ne prend pas de marque particulière au pluriel en français. De la même façon, le terme Chef du gouvernement russe ne prend pas non plus la marque du pluriel depuis le 7 mai 2000.
Caractéristiques
Un virus se caractérise par son incapacité à se multiplier seul par division. Si le virus était un homme politique russe, il ne pourrait, par exemple, pas se représenter systématiquement à toutes les élections présidentielles de son pays depuis une douzaine d'années. Il aurait besoin pour cela d'utiliser un président hôte : un virus russe est ainsi obligatoirement un parasite intramedvedevaire. Il est composé d'un ou plusieurs groupuscule à la structure relativement complexe (soit du KGB, soit du FSB, agent simple ou double) entouré d'une bonne dose de suspicion et, parfois, de dizaines de milliers d'enveloppes supplémentaires en sa faveur. Il possède en général des gisements gaziers pouvant produire de l'énergie et soutenir ses actions militaires. Les virus font, le plus souvent, des scores épidémiques (comparables à ceux d'une dictature, par exemple), en règle générale supérieurs à 90% de la population ; toutefois, dans la région de Rostov, le virus russe toucha 146,47 % de la population lors des élections législatives de 2011[1], ce qui le rendit plus pandémique encore que le SIDA.
Tous les organes[2] peuvent être infectés par des virus. Dans un nombre grandissant de pays, les virus ont d'ailleurs la mainmise sur le système immunitaire, et tentent par tous les moyens d'étendre leur influence : en protégeant les inflammations voisines, notamment, et en se lançant dans une véritable course à l’armement pour transpercer les défenses naturelles de l'organisme. Selon l'ONG Médecins du Monde, à l'heure actuelle, seule une intervention extérieure de molécules antibolchéviques serait en mesure de stopper l'impérialisme des Russes des virus, pardon.
Le Docteur Zoïdberg dit : | |
En tant que Docteur, je trouve que votre description du virus s’apparente étrangement à la politique de la Russie. Pour vous aider à vous débarrasser de ce sous-entendu malencontreux, je vais vous prescrire un bon paragraphe sur la vie du premier ministre russe, à raison de 25 consonnes par phrases pendant 5 lignes. |
Cet article, basé sur le texte de Wikipédia «Virus», est disponible uniquement sous licence GFDL. |
Des origines modestes
Vladimir Poutine est issu du même sac lipidique que celui ayant abouti au progénote à l'origine des cellules. Son père, un ancien morceau d'acide nucléique, et sa mère, une soupe primordiale, qui avaient « échappés » au génome cellulaire au cours de la réplication du matériel génétique pour devenir indépendants, avaient auparavant donné naissance à des cellules de protestation, très vite détruites par les arrestations et la répression menées par leur fils.
Après une formation initiale sommaire dont on ne sait pas grand chose, il entre au service de formation des acides ribonucléiques, l'ARN, où il sert pendant plusieurs années d'abord comme simple micro-organisme, ensuite comme particule virale opérationnelle dans le service de contre-efficacité du traitement médical, chargé en particulier du parasitage de cellules hôtes résistantes et et autres « éléments antisoviétiques » (sous le patronage du cinquième groupement phosphate de l'ARN).
À la sortie du centre de formation de l'ARN, Poutine passe dans les « cultures de cellules » de l'ARN pour se préparer à une mission opérationnelle en boîte de Petri allemande. En 1985, il est envoyé pour la seule et unique fois à l'étranger, en RDA. Il passe cinq ans dans une petite unité opérationnelle déconcentrée à Dresde où, sous la couverture parfaitement transparente des glaires du directeur de la « Maison de l’amitié germano-soviétique », il œuvre pour l'ARN.
En 1999 commence une régression cellulaire, qui va porter cet ancien système génétique d'auto-réplication (probablement de l'ARN) au virus évolué dont sont aujourd'hui victimes les Russes. Le 31 décembre 1999, après la démission surprise des leucocytes, Poutine, en sa qualité de pathogène létal, devient parasite intracellulaire. Son premier acte officiel est la signature d'un décret virulent lui assurant une immunité totale pour toute poursuite de médicaments antiviraux le concernant, lui ainsi que les répliques de sa formation, à l’intérieur même de l'organisme.
Le Docteur Zoïdberg dit : | |
En tant que Docteur, je trouve que votre description du premier ministre russe s’apparente étrangement à la définition d'un virus. Pour vous aider à vous débarrasser de ce sous-entendu malencontreux, je vais renouveler votre prescription par un paragraphe générique sur la typologie des virus à avaler en dehors des repas. |
Cet article, basé sur le texte de Wikipédia «Vladimir Poutine», est disponible uniquement sous licence GFDL. |
Réarmement « sans précédent »
- En novembre 2011, la communauté scientifique promet un réarmement « sans précédent » du virus H5N1 face à l'OMS et un « bond en avant » de son mécanisme de résistance aux antiviraux qu'elle entend muter, dans un texte sur le point d'être publié par une revue scientifique en vue du Prix Nobel de physiologie ou médecine, dont la cérémonie de remise des prix a lieu le 10 décembre. Les chercheurs mettent au premier plan la nécessité d'abroger le moratoire décidé par l'OMS concernant les recherches sur un virus mutant du H5N1, qu'ils auraient rendu « plus facilement transmissible à l'homme » et mortel chez 2/3 des personnes contaminées.[3]
- En février 2012, le réarmement décidé par Vladimir Poutine concernant les recherches sur une riposte contre les pays de l'Otan, responsables du bouclier antimissile, a pour objectif de semer une panique générale. Cette initiative russe serait en effet très dangereuse car extrêmement contagieuse chez les autres dictateurs de la région. Les États-Unis vont continuer à travailler sur leur bouclier antimissile mais le premier ministre russe, qui compte faire de ce réarmement un thème de campagne en vue de la présidentielle, ne devrait pas différer cette proposition. Par ailleurs l'ONU doit statuer sur la poursuite de la répression en Syrie qualifiée d'inquiétante. L'organisation doit notamment déterminer dans quelles conditions elle est couverte et surtout entretenue par le veto de Vladimir Poutine. [4]
Le Docteur Zoïdberg dit : | |
En tant que Docteur, je ne vois aucune amélioration de votre état. Vous vous obstinez à vouloir vous mélanger les pinceaux entre les virus et les dictateurs russes, qui n'ont strictement rien à voir les uns avec les autres, comme nous le savons tous les deux. Si vous ne voulez rien entendre, je crains que nous n’ayions à vous imposer une fin à la Shutter Island.[5] |
Non mais c'est de la torture mentale, pincez-moi, je n'y crois pas ! Vous avez du caviar dans les yeux ou vous le faites exprès ?
- D'un côté, une superpuissance autoritaire cherche à développer de nouvelles armes de dissuasion, peu importe le prix
- De l'autre, des chercheurs veulent défier l'autorité de sécurité sanitaire en publiant, coûte que coûte, la recette du virus le plus dévastateur au monde
Avec tous ces grands malades sur terre, vous ne trouvez pas que c'est complètement irresponsable de la part des chercheurs de prendre un aussi gros risque biologique ? À ce compte-là, je ne sais pas moi, pourquoi ne pas donner directement au plus offrant l'adresse du laboratoire P4 où le virus muté du H5N1 est « secrètement » entreposé, avec en pièce jointe[6], la liste des failles dans le système de sécurité ? Au moins, ce serait bien plus rapide pour tout le monde.
Le Docteur Zoïdberg dit : | |
Davaï ! Davaï ! Nous zavions bien que nous finilions pal vous fail'avouer, Camarade ! |
Notes et références
- ↑ pure coïncidence sur la date
- ↑ de presse
- ↑ Source AFP, Grippe aviaire : les chercheurs promettent une mutation « sans précédent », 21 février 2012.
- ↑ Source France Soir, Vladimir Poutine : Un virus mutant et très dangereux, 20 février 2012.
- ↑ double spoiler
- ↑ bien entendu
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