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21 décembre 2012 : les Mayas avaient raison
Teotihuacan, Mexique — La découverte d'un nouveau symbole Maya fait la lumière sur la prophétie de 2012... et tout était exact !
Le symbole manquant
Une telle découverte en début de carrière (et juste après avoir accouché), ça c'est
swag.
C'est à la jeune archéologue Elizabeth Tinkleweiner, âgée d'à peine 73 ans et déjà diplômée d'un doctorat en archéologie, que nous devons la découverte d'un étrange symbole Maya, qui remet en question la validité de la prophétie du 21 décembre 2012, et de toute notre science moderne.
Quelle ne fut pas la surprise, pour Elizabeth "Garage à Bites" Tinkleweiner, de découvrir que le symbole à moitié effacé, au début de la prophétie, n'était pas une simple datation, mais bien la clé de compréhension d'une affaire qui allait agiter le monde quelques milliers d'années plus tard.
En plus, c'est une femme, bravo.
Pruster speaking : Bonjour Elizabeth, ça gaze ?
Elizabeth Tinkleweiner : Bonne jour Pruster, oui, et vouille ?
Pruster speaking : Vouille ?
Pruster speaking : Ah ok, moaille. Ben ça gaze, merci.
Elizabeth Tinkleweiner : Maisse il n'y a pas de.
Pruster speaking : Pas de quoi ?
Elizabeth Tinkleweiner : Pas de
quoi.
Pruster speaking : Quoi?
Elizabeth Tinkleweiner : Non, il n'y en a paille.
Une découverte cohérente
En effet, c'est en examinant le symbole à moitié effacé qui était effacé à moitié, que la cadette des archéologues de l'Association Anglophone pour les Archéologues Anglais (21 x 29,7) reconnut un schéma de détermination linguistico-syntaxique pelvien caractéristique de la période Protoclassique. Appliquant les bien-connus logarithmes holomorphes de Benford et Bitenbois, Elizabeth Tinkleweiner se rendit compte qu'elle avait raison depuis le début, c'est-à-dire tout à l'heure (ces logarithmes sont assez rapides à résoudre, c'est principalement des fonctions réciproques telles {antilog_{a}} ((\log _{a}(x)+\log _{a}(y)+\log _{a}(z))/3)}, et des fonctions très réciproques telles « toi aussi va niquer ta mère »).
Reproduisons l'expérience :
Le document prophétique, en script Maya, et non pas Java (blague de geek), ni Java bleu (blague de vieux), ninJava (blague de
ninja).
Vous voyez le symbole à moitié effacé qui est effacé à moitié, au début ?
Il est encerclé en rouge. «
T'es cerné sale fils de pute, relâche les otages et la fonction de Premier Ministre de la France (blague qui fait réfléchir) ».
Ok, chauffe Marcel, chauffe, et zoom in por favor.
Marcel est excellent en zooming, c'est le meilleur d'entre nous (pas de blague ici).
On ne voit pas grand chose ! Merde ! Je déteste ce sale boulot, toutes ces horreurs, ça va me rendre dingue. Appliquons un filtre chromatique pour enlever les déchets visuels réminiscents.
Pas mal, mais encore un peu flou, il est temps d'appliquer le logarithme holomorphe de Benford et Bitenbois.
OH MON DIEU ! Mais c'est... c'est... Roland Emmerich ?!?
Oui, en effet, le premier symbole de la prophétie Maya exprime un "film de Roland Emmerich", qui allait porter sur une "fin du monde, le 21 décembre 2012"... Incroyable, ils avaient raison.
Une prophétie qui s'est prophétisée
Cela veut donc dire que la prophétie ne parlait pas d'évènements qui allaient se dérouler dans la vie réelle, mais dans un film, une sorte de bande-annonce prophétique !
Suivant cette intuition, Elizabeth Tinkleweiner, repassa toute la prophétie sous une lentille de Hcahcsror et fit apparaître de nouveaux éléments.
Voyons cela
Après... tiens, mais que sont ces images qui apparaissent en transparence des symboles ?
Extrayons-les avec les textes des symboles qui les accompagnent.
Des détails d'une précision incroyable
« Il y aura des soulèvements de pans entiers de la terre, détruisant toutes les villes. »
« Des tsunamis qui ravageront des continents entiers... »
« Aucun signe de l'humanité ne saura perdurer ! »
« Le Corcovado fera du surf. »
Attendez... Quoi ?!?
«
Je vais tenter le coup du sombrero ! »
« D'ailleurs, il y aura plein de surfeurs. »
Qu'est-ce que... ?
« Et les Beach Boys qui chantent Surfin' USA. »
« Nous les Mayas, on adore le surf. »
« Le surf, c'est la communion avec la paix mais aussi la puissance de la nature. C'est dompter cet imprévisible, savoir lire l’océan et ses vagues. »
« Au fond, le surfeur rêve d’arrêter la mort, résume Emmanuel Brunet. Être comme l’eau qui passe. Être noyé dans le rien. Ou dans le tout. »
« Noyé dans le rien ou dans le tout... »
« DANS LE RIEN OU DANS LE TOUT !!! »
Conclusion
Ainsi, comme l'a déclaré Elizabeth Tinkleweiner (constatation que nous avons nous-même pu faire en retraçant sa recherche) :
« LE SURF C'EST GÉNIAL !!! »
Que pensez-vous du côté visionnaire des Mayas ?
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Pruster de Las Cales
- le 15 septembre 2016
