Des nouvelles de Papouasie-Nouvelle-Guinée
De notre envoyé spécial Captain Igloo (discussion) - le 16 juillet 2012
En latin les scientifiques le connaissent sous le nom de Poiscallus Fellatio, pour les intimes c'est le poisson-suceuse et le Pacu pour les indigènes primitifs de Papouasie-Nouvelle-Guinée. C’est un véritable suceur de boule pire que Nelson Montfort a déclaré Christian Karembeu, un autochtone du coin. Parfois, le poisson va encore plus loin, et devient un véritable dénoyauteur de raisin de Corinthe. Plusieurs de ses amis étaient autrefois des hommes puissants et virils, footballeurs de leur état et capables, lors de viol en réunion, d’éclater une moule comme une tomate trop mûre. Maintenant ce sont des eunuques, des tapettes, des sous-hommes même pas capable de déflorer une pucelle nous apprend Karembeu parce que leurs gros zboubs turgescents ont eu le malheur d’attirer l’attention du Pacu.
Les sauvages des tribus de Papouasie connaissent depuis longtemps ce poisson. Ceux dont les épouses sont des coincés du cul dégoutées par le sexe buccal, vont parfois nager dans les eaux infestées de Pacu au large des côtes de l'île, en prétextant qu’ils vont plonger pour ramasser des perles.
En réalité, dit Karembeu, ils cherchent les Pacu car ils veulent juste se dégorger le poireau.
Le pacu, dont les dents ressemblent étonnamment à celles des humains, peut peser jusqu'à 55 livres, Il fait de bien meilleure fellation que n'importe quelle autre créature sur la planète, largement supérieure aux putes de luxe japonaises et bien sur des femmes de Nouvelle-Guinée.
Pendant des décennies, les hommes se sont enfilés des étuis péniens aux couleurs vives et garnis de bonbons pour attirer l’attention des femmes sur leur virilité et recevoir une petite douceur. Hélas en vain car Simone Veil et des tas d’autres missionnaires féministes enragées ont débarqué sur l’île pour détourner les femmes de leurs obligations conjugales.
Au lieu de les émoustiller, la vue de cet accoutrement n’a suscité que des rires a déclaré Karembeu. Les femmes trouvaient juste que leur mari avait l’air bien con de se promener avec un tuyau en bambou sur la bite.
Beaucoup de papous désespérés vont se baigner quotidiennment dans l'eau infestée de Pacu dans l'espoir de se trouver un petit copain temporaire.
Ils sont prêts à risquer l'émasculation ou la mort pour avoir la chance de profiter d'une petite gâterie aquatique a poursuivi Karembeu. Moi-même j'ai faili me faire scalper le gland à plusieurs reprises, nos chiennes de femmes devraient avoir honte d’elle-mêmes.
Je n'ai pas honte, a répondu une de ces chiennes, Adrianna Karembeu. Mon mari aime les Pacus, alors je lui en ai mis dans son aquarium. Chaque fois qu'il veut se faire du bien, tout ce qu'il a à faire est de monter à cheval sur l'aquarium et de tremper sa perche. Il n'a même pas besoin d'aller à la mer. Tant qu'il me laisse tranquille pour regarder Desesperates Housewives, je m'en fous de ce qu'il fait avec son Popaul.
Popaul ?
C'est ainsi qu'il l'appelle. C'est le petit surnom qu'il donne à sa poissonne.
Cet article, basé sur le texte Uncyclopédien UnNews:New Guinea tribesmen nuts about "fellatio fish", est disponible uniquement sous licence CC-BY-NC-SA de Creative Commons. |
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