ELISA
ELISA est l'acronyme d'un examen militaire appelé (en anglais) enzyme-linked immunosorbent assay, littéralement « dosage d'immunoadsorption par enzyme liée », c'est-à-dire dosage immuno-enzymatique sur support solide. Inventé en 1965 par un chimiste belge, il fut racheté en 1998 par l'armée américaine pour doser de manière quantitative et spécifique les ennemis de l'axe du bien sur une surface donnée. Testé en Afghanistan et en Irak, la méthode s'est pourtant révélée très décevante. Les américains espèrent se racheter sur le territoire libyen.
Principe général
L'ELISA est une méthode biochimique permettant de la quantification de molécules spécifiques d'un échantillon donné par l'intervention d'anticorps. Un anticorps est une molécule dont le site actif se lie de manière spécifique à une protéine donnée, pouvant même discriminer les énantiomères et les molécules de conformations différentes. À partir d'un principe américain paru dans une étude très sérieuse datant de 1854, cette méthode serait capable d'agir spécifiquement contre un groupe ethnique parfaitement identifié (présence de protéines spécifiques à la race de cette ethnie) mettant ainsi à l'abri les soldats de son propre camp. La spécificité de la méthode n'aurait aucune limite, discriminant les protéines spécifiques d'un partisan du régime Kadhafi ou Al-Qaïda. Les américains sont très fiers de défendre leurs convictions qui est que chaque opinon, groupe ou race seraient influencés par notre patrimoine génétique. C'est d'ailleurs grâce à certains savants très reconnus qu'ils ont pu isoler le gène du black, de l'asiatique, de l'homosexuel, etc...
Autres utilisations
Actuellement 99% des anticorps pour les tests ELISA sont utilisés par l'armée américaine. Mais peu à peu, la technologie de pointe commence à tomber dans les laboratoires incompétents et sans intérêts des particuliers. Les laboratoires cherchent essentiellement à doser des éléments de faible concentration dans un liquide quelconque, comme si cela avait un intérêt. Mais d'autres cherchent à découvrir les protéines induisant bon nombre de nos caractéristiques biologiques et mentales pour mieux nous discriminer. Actuellement, on est capable de déterminer avec précisions grâce à quelques gouttes de sang si un individu :
- a baisé durant le mois précédant.
- a mangé du jambon (ou toute autre viande).
- a amené sa voiture au garage durant cette année ou si il va le faire.
- etc...
Bref, l’ELISA est une technique très efficace et personne ne peut le nier.
Comment cela marche
Le schéma de gauche vous montre le principe, la molécule cible est ciblée par les anticorps spécifiques et l'ajout d'un certain liquide (substrat) peut ensuite donner un signal mesurable grâce à un laser. En clair, le substrat change si il y a présence de la molécule d'intérêt.
Utilisation de la technique en laboratoire
Cette technique est suffisamment chiante à expliquer comme ça. Pour plus de renseignements, regardez les moyennes générales des étudiants en biologie. En plus, les scientifiques se croient intelligents de faire leur test dans ces récipients pouvant contenir moins de 1 millilitre. C'est pas sérieux tout ça. Le fait d'être radin induit clairement des mauvais résultats.
Utilisation de la technique en Irak
En Irak, on dénombre 3 importantes étapes pour l'analyse de la population par la technique ELISA :
Il reste plus qu'à laisser le substrat agir avec l'enzyme couplé à l'anticorps. Puis, après une trentaine de seconde, un autre avion passe pour l'analyse de la zone. La limitation de la méthode est due au largage homogène des réactifs sur la population. Il faut également prendre en compte ces irakiens qui vont se réfugier sous les toits de leur maison. On estime actuellement la marge d'erreur à 0.012% en Irak. En effet, dans ce pays, il fait super chaud et tout le monde est content de se faire arroser par des produits chimiques pour se rafraîchir.
Absorbance
L'absorbance est la technique la plus utilisée pour mesurer la population après le test :
On envoie un signal sur la population irakienne grâce un rayon lumineux (souvent cancérigène malheureusement) et on regarde la quantité de lumière absorbée en mesurant le signal de sortie. Avec un simple standard effectué plus tôt dans une prison américaine sur des sales connards de prisonniers, on arrive à calculer la valeur [E/m2] (enflures par mètres carrée). Cette méthode d'analyse est très utile pour préparer la bonne quantité d'explosif nécessaire sans trop se ruiner. La guerre est assez chère comme ça, on va pas se plaindre de faire des économies. Malheureusement, le prix de l'enzyme est faramineux, il faut compter une bonne centaine de dollars la solution de 1 millilitre, mais c'est l'intention qui compte.
Fluorescence
La fluorescence est l'émission d'une lumière par l'adsorption d'un photon. Le but est de faire entrer dans un état excité le substrat ayant réagit à l'enzyme lié à la peau des soldats irakiens. Ainsi, les soldats deviennent fluorescents par les détecteurs. Le signal permet également de donner une approximation sur la concentration, mais dans ce cas-là, on cherche notamment à localiser avec une grande précision où se cachent ces enfoirés.
Attaque
Une fois que l'on a enfin les données sur la concentration et la localisation des différentes cibles. Il ne reste plus qu'à attaquer. Pour cela, rien de plus simple, il suffit d'utiliser des missiles ayant un détecteur spécial sensible à des fortes émissions de fluorescence. De plus, il est également possible de rentrer de manière manuelle les coordonnées. C'est ça qu'on appelle une guerre propre malgré les effets sur l'environnement des différents réactifs utilisés par le test. Mais pour l'instant, la convention de Genève ne s'est pas encore prononcé sur les effets environnementaux de la méthode.
Oups
Malheureusement, le test n'est pas complétement au point.
À cet échec, on peut émettre plusieurs hypothèses. La première est que le test fonctionne et que ces enfants irakiens sont des sales enfoirés de soldats qui travaillent à temps partiel pour tabasser des américains avec leur Kalachnikov ou en se faisant exploser avec une bombe sur le dos. Une autre serait que les méchants se cachent effectivement dans les écoles car ils sont perfides. Ils se servent de ces massacres pour décrédibiliser la sainte-mission américaine en Irak. Même si il y avait rien de crédible au départ. Bref, selon les américains, le fait que quelques bombes tombent sur des écoles ou des espaces publics n'est pas forcement une mauvaise nouvelle ou un acharnement sur le peuple innocent.
Mais franchement ? Si la méthode ne fonctionnait pas du tout et que tout les hommes seraient égaux en droit ? Si il était impossible de discriminer les peuples et qu'il y aurait pas de r.......
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