Assassinat de JFK : la vérité
22 novembre 1963, 12h30, Dallas, Texas. La Terre s’arrête de tourner. On a tiré sur John Fitzgerald Kennedy, 35ème Président des Etats-Unis d’Amérique. Touché mortellement à la tête, il n’aura jamais l’occasion de connaître la vérité sur sa mort. Mais nous si. Reprenant tout à zéro, nous sommes parvenu enfin à élucider l'un des plus grands mystères du siècle dernier. Mais lisez vite ces lignes, il est probable qu'elles soient rapidement effacées par.........................
Un coupable trop parfait
Le public réclame un coupable et on lui donnera ce qu’il veut en la personne de Lee Harvey Oswald, ancien marine mais surtout communiste notoire. Le bouc-émissaire idéal en cette période de Guerre Froide. Le 24 novembre, seulement 48 heures après son arrestation dans un cinéma de Dallas, Oswald est assassiné par Jack Ruby, un patron de bar proche de la Mafia, qui meurt en prison le 3 janvier 1967 sans avoir jamais parlé.
Affaire classée.
Du moins le croit-on…
La thèse du complot
Quelques années après, on commence à évoquer la thèse du complot. Notamment Jim Garrison, procureur de la Nouvelle-Orléans, qui parvient suite à une longue enquête à faire rouvrir le dossier, accusant un certain Clay Shaw alias Clay Bertand d’avoir participé à l’assassinat. Mais il se heurte à plus fort que lui et devant les pressions doit finalement abandonner la lutte, non sans avoir semé le doute dans l’esprit de beaucoup.
La vérité, enfin
Peut-être Oswald a-t-il effectivement tiré sur Kennedy. Mais il n’était certainement pas seul dans cette affaire. Que s’est-il réellement passé ? Qui sont les commanditaires et les vrais coupables ? Et surtout, pourquoi a-t-on assassiné le plus aimé des présidents américains depuis Lincoln ? Nous sommes maintenant en mesure de vous révéler la vérité. Et le plus étonnant, c’est que les réponses étaient là, sous nos yeux. Mais à force de chercher des raisons complexes on en oublie parfois l’évidence.
Les principaux acteurs du drame
- John Fitzgerald Kennedy (1917-1963) : 35e président des USA élu de justesse en 1960
- Jacqueline Bouvier Kennedy (1929-1994) : Son épouse remariée en 1968 au milliardaire Grec Aristote Onassis
- Lyndon B. Johnson (1908-1973): Vice-président des USA qui succédera à Kennedy après son assassinat
- J. Edgar Hoover (1895-1972) : Directeur du FBI de 1924 à sa mort
- Hubert H. Humphrey (1911-1978) : Candidat malheureux à l'investiture démocrate en 1960
- Sam Giancana, Santos Trafficante, Carlos Marcello et James Hoffa : Membres importants de la Mafia de l'époque
- Lee Harvey Oswald (1939-1963) : L’assassin présumé de Kennedy
- Jack Ruby (1911-1967) : L’assassin d’Oswald
- Fidel Castro (1926-?) : Dictateur cubain surnommé El Lider Maximo
- J.D. Tippit (1924-1963) : Policier tué dans la rue soi-disant par Oswald peu après l’assassinat de Kennedy
- Martin Luther King (1929-1968) : Pasteur noir américain militant pour les droits civiques
- Abraham Zapruder (1905-1970) : Celui qui a réalisé le film amateur de l’assassinat du président Kennedy
Ne croyez pas la vérité
Croyez seulement les preuves de la vérité |
Ce qui s’est réellement passé
Cela peut paraître étonnant près de 50 ans après mais toutes les réponses aux mystères entourant cet assassinat se cachent dans les noms et surtout dans les initiales des acteurs de ce drame. Pourquoi croyez-vous qu’on emploie si souvent JFK, LBJ ou MLK pour évoquer ces grands personnages ? Tout simplement parce que notre inconscient nous dicte que la vérité se trouvent dans ces lettres.
John Fitzgerald Kennedy
JFK. Trois initiales qui ont marqué notre Histoire et celles des aéroports. Elles peuvent aisément se prononcer : Jeï Fé Ka. Prises ainsi, il est clair qu’elles nous disent quelque chose mais de manière incomplète. On pense évidemment tout de suite à "J’ai fait caca" mais cela semble sortir du contexte de l’assassinat proprement dit. Le plus probable est que ces 3 lettres soit le début de cette phrase : "J’ai fait cacher tous les documents concernant les preuves des accointances de mon père avec la Mafia". Quelle autre explication sinon ?
En tout cas c’est ce que les chefs de la Mafia Trafficante, Marcello, Hoffa et Giancana comprennent et la Pieuvre n’aura de cesse de tenter de mettre fin aux activités de JFK qui représentait un trop gros danger à ses yeux.
Jacqueline Bouvier Kennedy
Ici c’est beaucoup plus subtil. Quelle que soit la manière de les prendre, les initiales JBK ne nous apprennent rien. Mais c’est beaucoup plus clair quand on y ajoute le O, première lettre d’Onassis, nom de son second mari. JBKO peut se lire "J’ai 'B' K.O.", sachant que Jackie appelait son premier mari Boudu dans l’intimité. Plus intéressant encore, en changeant l’ordre des lettre, on obtient "JOB : K". Le fameux job, ne serait-ce pas l’assassinat proprement dit ?
Mais on peut aller encore plus loin. Le nom de jeune fille complet de l’ancienne Première Dame est Jacqueline Lee Bouvier. Non seulement cela fait le lien entre elle et Lee Harvey Oswald, mais en plus cela donne au complet les initiales JLBKO, ce qui signifie sans contestation possible : "JOB KiLL". L’implication de Jackie dans la mort de son mari est donc évidente.
Lyndon B. Johnson
Les initiales LBJ sont sujettes à diverses interprétations. On pense bien sûr d’emblée à "Elle, BJ", BJ signifiant Blow-Job en Anglais soit fellation en Français. Serait-ce une simple affaire Monica Lewinsky avant l’heure ? Est-ce que ce « Elle » désigne Jackie ou l’une des nombreuses maîtresses de JFK et pourquoi pas Marilyn Monroe elle-même ? Mais LBJ peut aussi se lire "Elle, B, j’ai" ou mieux encore "Elle, B, git". Le B désigne évidemment Bouvier, Lyndon Johnson ayant sans doute eu vent de l’implication de Jackie et la menaçant par le biais de ses initiales. Ou bien la faisait-il chanter à cause d’une autre histoire….
Lee Harvey Oswald
L’ennemi de tout un peuple nous livre aussi sa vérité dans ses initiales. On peut évidemment s’amuser un peu en transformant simplement LHO en "Elle a chaud" mais il faut rester sérieux. Le H de Harvey étant muet, on peut se contenter du L et du O, ce qui se traduit el-o, soit "Hello". Cela peut sembler un peu court mais en restant sur le principe du H muet, les véritables initiales de Oswald deviennent LAO, c'est-à-dire "Là-haut". On a donc tout simplement, "Hello ! Là-haut !". Et voilà 45 ans après la preuve indiscutable de l’innocence d’Oswald. Pourquoi aurait-il indiqué si clairement qu’il se trouvait au 5ème étage du dépôt de livre d’Elm Street en le criant à tue-tête ? Il a évidemment été choisi par les véritables commanditaires en raison de ses initiales afin que l’on découvre facilement où se trouvait le soi-disant coupable.
Et nous pouvons d’ores et déjà accuser l’un de ces commanditaires, ou en tout cas l’organisation dont il dépend. En Anglais, CIA se dit "ci aïe è" qu’il est enfantin de transformer en See high A soit "Regardez vers le haut le gars dont le deuxième prénom commence par A si on considère que le H de Harvey est muet". C’est donc bien la CIA qui est en partie à l’origine du complot. Ce que certaines thèses avaient tenté de prouver auparavant sans succès.
J.D. Tippit
Personnage annexe, le policier J.D. Tippit n’est qu’un faire-valoir qui a payé de sa vie les manipulations tendant à faire d’Oswald le coupable. Mais là encore, sa mort ne sera pas vaine car ses initiales nous donnent une bonne indication sur l’identité du responsable de la CIA impliqué. J.D. Tippit se prononce sans nul doute "J’aidais TP". Il faut donc rechercher ce fameux TP, à coup sûr haut fonctionnaire à la CIA, ce qui n’a malheureusement pas été possible, les responsables actuels de Langley nous ayant fermé leurs archives quand ils ont vu que nous approchions du but (nous avons pu en tout cas assez rapidement écarter la thèse Tony Parker).
Notons une interprétation alternative à J.D. Tippit : "J’ai des teepees", ce qui tendrait à inclure les pistes Comanche ou Apache dans le complot mais nous n’avons pas eu de quoi étayer davantage cette hypothèse.
Jack Ruby
Jack Ruby. JR. Cela ne vous rappelle rien ? Le feuilleton Dallas bien sûr où l’ignoble JR sous les traits de l’acteur Larry Hagman semait la zizanie au sein des familles Ewing et Barnes. L’épisode le plus célèbre de cette série à succès s’intitule "Mais qui a tué JR ?". Rapporté à l’histoire de Jack Ruby, ce titre se lit "Mais qui JR à tué ?". Réponse : Oswald, un parfait innocent ! Et si vous n’êtes pas convaincu, nous ne vous ferons pas l’injure de vous rappeler dans quelle ville s’est passé l’assassinat de JFK. Dallas évidemment.
Hubert H. Humphrey
Candidat malheureux à l’investiture démocrate en 1960 au profit de Kennedy, Humphrey est le complice auto-désigné de Hoover (voir ci-dessous). HHH : "Hache ! Hache ! Hache !", ordonne-t-il à son comparse qui ne s’est pas privé pour lui rendre ce service à l'heure voulue. D’autant qu’il a été également encouragé en ce sens par Howard Hughes.
J. Edgar Hoover
Personnage sulfureux de l’histoire des États-Unis, J. Edgar Hoover, directeur du FBI de l’époque, ne pouvait évidemment être étranger au complot visant JFK, un de ses ennemis intimes. Il n’a pas non plus cherché à dissimuler sa culpabilité. Remises dans le bon ordre, les initiales de son nom donnent JHE, soit tout simplement"J’ai hâché", évoquant sans équivoque le cerveau de Kennedy dont il a fait de la bouillie, prenant donc finalement fait et cause pour Humphrey et Hughes.
Martin Luther King
L’implication de Martin Luther King est plus indirecte mais elle nous donne un indice capital. MLK se lit en fait LMK, soit "Elle aime K". Le "Elle" implique Jackie, seule protagoniste féminine de cette histoire mais qui est le K ? Kennedy, ce serait trop simple et en contradiction avec les autres preuves à moins qu’il ne s’agisse de Robert ou Ted Kennedy. Les céréales Special K de Kellog’s ? Possible mais cela nous éloigne du sujet. Castro ? Hypothèse la plus plausible et que nous prendrons ici en considération.
Quand le navire n'a plus de capitaine
Les marins se jettent à l'eau |
Le film des évènements
Quoi qu’il en soit nous avons maintenant suffisamment d’indices et de preuves pour remettre toutes les pièces du puzzle ensemble et révéler la vérité.
En 1960, Hubert H. Humphrey perd l’investiture démocrate face à Kennedy et lui voue dès lors une haine féroce. Il tente de convaincre J. Edgar Hoover de l’assassiner mais le patron du FBI n’est pas convaincu à cette époque. Il le sera quelques années plus tard sous l’impulsion de Howard Hughes. Dans le même temps JFK a vent des affaires de son père avec la Mafia et tente par tous les moyens de les dissimuler aux yeux de la presse. Il charge son frère Robert, alors Ministre de la Justice, de fabriquer des fausses preuves pour sauver la réputation de son clan, ce qu'il appellera on ne sait pourquoi Opération CHIRAC. La Mafia qui avait déjà le Président dans son collimateur prépare la riposte.
Jackie de son côté est contrainte de faire fellation sur fellation à Lyndon B. Johnson, ce dernier étant au courant de la liaison secrète entre la première dame du pays et Fidel Castro. Il en a été informé par le confesseur même de Jackie Kennedy, prêtre que tout le monde surnomme depuis « l’abbé des cochons » et qui s'est fait débarquer depuis[1]. Tiraillée entre son amour interdit et son devoir de réserve aux yeux du peuple américain, Jackie ne sait que faire.
Finalement, pour à la fois éviter la honte d’une telle révélation et enfin vivre au grand jour son amour avec le despote cubain, Jackie décide que le plus simple est de faire assassiner son mari. Elle s’en ouvre au fameux « TP » de la CIA qui accepte de l’aider en montant un complot contre le président. On ne sait pas ce qu’il a demandé en retour.
« TP » recrute simultanément Oswald et Ruby, le premier chez les pro-marxsites et le second dans la pègre locale afin d'éviter tout raprochement entre les deux. Il décide secrètement à am-stram-gram lequel portera le chapeau pour l’assassinat du président et lequel devra faire semblant de le venger pour effacer les traces.
Coïncidence incroyable, tous ces protagonistes, la Mafia, le FBI, la CIA et même Fidel Castro qui veut récupérer Jackie pour lui seul, choisissent le même lieu et le même moment pour passer à l’acte : Dallas le 22 novembre 1963. Cerné de toute part, JFK ne peut réchapper à la mort. C’est en fait à cause de cette conjuration involontaire que tout semble pointer vers un complot général alors que ce n’est qu’une somme de complots individuels. Impossible de trouver des preuves liant toutes ces personnes entre elles puisqu’elles ne sont justement pas liées autrement que par leur objectif commun.
Epilogue
Voilà, vous avez toutes les conclusions démontrées par A+B. Il ne reste plus qu’à identifier le fameux « TP » de la CIA et toute l’affaire sera résolue. L’Amérique pourra enfin faire le deuil de son président vénéré.
Le plus étonnant dans toute cette affaire, c’est qu’on a longtemps pensé que le film d’Abraham Zapruder enregistrant la mort de Kennedy apporterait sans conteste la vérité sur un plateau aux enquêteurs. Mais on comprend aujourd’hui pourquoi cela n’était pas possible. Et pourtant, il suffisait d’analyser non pas le film mais simplement le nom du cinéaste. Son prénom, Abraham, comme le prophète à qui Dieu demanda de sacrifier son fils Isaac. A comme Abraham et A comme Amérique. I comme Isaac et I comme JFK.[2] Kennedy n’était-il pas considéré comme le fils de l’Amérique ?
Abraham comme Lincoln aussi, l'autre Président adoré des américains, lâchement assassiné par John Wilkes Booth, dont les initiales JWB, peuvent être interprétées comme... (euh nous verrons ceci dans un autre article, désolé).
Mais revenons aux initiales du cinéaste amateur Abraham Zapruder. A et Z, le premier et le dernier, le commencement et la fin. N’est-ce pas évident quand on y pense un peu ? Plus étonnant encore, personne n’a oublié le fameux club de football néerlandais de l’AZ’64 qui défit le FC Sochaux en demi-finale de la coupe de l’UEFA 1980-81. Ce club, rebaptisé AZ Alkmaar depuis pour brouiller les pistes contenait dans son nom les initiales de Zapruder mais aussi l’année de la réélection promise à John Fitzgerald Kennedy, 1964. Echéance que le lâche attentat dont il a été victime lui aura empêché d'honorer. CQFD.
Notes
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