Rod Stewart
Roderick David Fuck Stewart, plus connu sous le nom de Rod Stewart, est un vieillard immonde né en 1945 qui chante pour amadouer ses pauvres et excessivement jeunes victimes.
Biographie
Enfance
Violé par un dompteur à l'âge de 4 ans et demi, Rod Stewart gardera les traces de ce douloureux passage de sa vie dans son cœur. Il se prendra pour un félin et n'aura de cesse de s'habiller avec des vêtements fauves et de porter des perruques en poils de Kevin.
Le jour de ses 7 ans, on raconte qu'il a brûlé une fourmi. Il fut condamné à 42 ans de travaux forcés, qu'il esquiva en rejetant la faute sur Steevy Boulay. Personne ne pensa à mettre sa parole en doute.
À 9 ans, ses parents le chassent de la maison car il a violé le canari familial. Incapable de se remettre de cet abandon dont il ne comprend pas les raisons, il tente de se suicider en sautant du clocher de l'église de Guéret. Mais il a alors une apparition : le fantôme de Zvonimir Potchniep lui apparaît, et lui susurre les émouvantes paroles suivantes : "Nozinazïstrong wër zedahr anami ze spreadonomy, wissel, zömehout, zömewell, izegedegedegedeguedi !" Ces quelques mots lui inspirèrent sa première chanson, qui raconte l'histoire d'un serbo-tchonque assez jeune. Le mot serbo-tchonque n'existant pas en anglais, la langue maternelle de Rod, il le traduira par turc, ce qui donnera Young Turks.
Gloire, femmes faciles et saucissons à volonté
Les apparitions de Zvonimir devenant de plus en plus fréquentes, Rod connaît un succès grandissant. En réalité, Zvonimir tente d'expliquer à Rod qu'il a une mission à accomplir. Malheureusement, Rod n'y comprend rien et continue de prendre les paroles pour écrire des chansons.
Il enregistrera de nombreux disques :
- Un vieil imperméable ne te laissera jamais tomber[1],
- L'allée de l'essence,
- Toutes les images racontent une histoire[2],
- Jamais un morne moment[3],
- Chante-le encore Rod[4],
- Celui qui sourit,
- Marchant sur l'Atlantique[5],
- Une nuit sur la ville,
- Pied libre & chic gratuit[6],
- Les blondes sont plus marrantes[7],
- Comportement idiot[8],
- Ce soir je suis tien[9].
La déchéance
Le 10 septembre 1993, Zvonimir Potchniep en a marre : Rod Stewart, au lieu d'accomplir dignement sa mission, ne branle rien, et se fait même du fric sur son dos ! Zvonimir cesse d'apparaître à Rod. Il finira par apparaître à Adolph von Zapatera en 2046, pour lui montrer la voie de la victoire aux élections mexicaines.
Rod Stewart, anéanti, tente de mettre fin à ses jours mais n'y parvient pas par manque de courage. Il décide alors de faire comme tous les vieux chanteurs, c'est-à-dire de faire des compilations de ses vieilles chansons. La plus connue est sans doute Toutes mes vieilles merdes, sorti en 1999.
Malheureusement, c'est une fois de plus un flop, et Rod se retrouve à la rue. Heureusement, une idée flamboyante germe dans son cerveau malade.
Le dernier espoir
Afin de garder sa crédulité, Rod Stewart décide d'apparaître sur des affiches publicitaires, comme sur la désormais célèbre affiche pour le club de fist-fucking FITA.
Rod se présente au siège de la fédération. Il susurre sensuellement à la sulfureuse secrétaire : "Je peux avoir le directeur, espèce de petite salope ?"
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La nana aux cheveux rouges dit : |
| Oh ! Malotru ! CLAC !!! |
La nana aux cheveux rouges (car c'était elle !), retournant à ses dossiers, ignore totalement Rod. Croyant être le sujet d'une mauvaise blague, le chanteur hurle qu'il est Rod Stewart et qu'on ne peut pas l'ignorer. Tout le monde se retourne, mais en murmurant : "Quel abruti..."
C'est à ce moment précis que Rod se rend compte que personne le connaît. Alors il pleure à chaudes larmes et là, le directeur marketing de FITA en personne s'adresse à lui, et lui décroche un contrat de trois cacahuètes exactement. Rod, ému, s'effondre.
Quelques jours plus tard, l'image de Rod est mondialement connue : tout le monde se fout de sa gueule. Le chanteur, désespéré, s'enfuit aux États-Unis. "Les bretzels y sont moins chers", pleurniche-t-il.
Mort
Rod Stewart se suicide en mai 2001 en mangeant un bretzel, dans son manoir en carton du Massachusetts. Afin de lui rendre un vibrant hommage, toute sa famille, ses proches et ses fans viennent chier sur sa tombe.
Ainsi s'achève la tristement célèbre carrière de l'homme à la coiffure de Clémence Desrochers et au génie naturel d'Edith Cresson.
Notes
- ↑ À cela, Sacha Guitry répondra : "Certes".
- ↑ La drogue, ce fléau.
- ↑ Les problèmes d'expression de Rod passèrent inaperçus du fait de l'incompréhensible contenu de ses chansons.
- ↑ Ses problèmes d'égocentrisme seront également tus.
- ↑ Rien, pas même l'Eau Écarlate, n'était pas testé par Rod d'une manière ou d'une autre, comme en témoigne ce titre.
- ↑ Là, ça commence à devenir grave.
- ↑ L'idée d'une suite intitulée Peut-être, mais qu'est-ce qu'elles sont connes ! fut rapidement abandonnée par la maison de disques du chanteur.
- ↑ Les fans racontent qu'une once larmoyante de lucidité brillait dans ses yeux lorsqu'il chantait cette chanson.
- ↑ La légende dit que, du plus profond de sa tombe, Rod Stewart attend toujours.
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