Zvonimir Potchniep
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Naissance | 30 février 1877 | |
Décès | 31 avril 1933 | |
Nationalité | serbo-tchonque | |
Signe astrologique | Biquette ascendant chacal | |
Taille | 1m84 | |
Tour de mollet | 63 cm | |
Principaux intérêts | la philosophie classique, les livres anciens, la cuisine chinoise, les pantoufles brodées | |
Pseudonymes | Grosper Demič, Bogadu06 | |
Influencé par | Aristote, Confucius, Emmanuel Kant, Jean-Jacques Rousseau, Voltaire, Gustave Flaubert et les articles du journal L’Equipe | |
A influencé | Jean-Paul Sartre, Sacha Guitry, Rod Stewart, Adolph von Zapatera, Marcel Cerdan, Sim, 90.26.61.92, Bernard-Henri Levy, Jean-Claude Van Damme, Jean-Baptiste Botul, et moult autres… |
Zvonimir Potchniep - alias Grosper Demič - était un philosophe, romancier, poète, analyste, penseur, mathématicien et chattier[1], originaire de Serbo-Tchonquie, et auteur d’ouvrages mémorables tels que Métaphysique, rhododendrons et tricot de peau ou Les narines du putois bleu.
Les citations de Potchniep sont célèbres dans le monde entier, et particulièrement prisées par les profs de philo. Mais comme la langue serbo-tchonque est particulièrement complexe, aucune traduction n'est vraiment certifiée. Bref le doute persistera toujours sur l'exacte signification de ses paroles.
Sa vie
Enfance et scolarité d’un surdoué
Le 30 février 1877, le petit Zvonimir Kruno-Junior Potchniep Von Popolovič nait à l’âge de 3 ans (signe d’une grande précocité), dans la maison familiale de Kestudica en Serbo-Tchonquie. Son père Krunoslav est lanceur de peignes et sa mère Witolda est esthéticienne pour bovins. Pour l’anecdote, son frère ainé Svatopluk est atteint d’une forme sévère d’autisme.
Peu après sa naissance, un matin, sa mère tardant à lui donner sa tétine, le petit Zvonimir pleure. La retrouvant enfin, elle lui mit dans la bouche. Une fois calmé, il la retire et s’écrie : « Curieuse émotion que celle d’un bonheur retrouvé. Cette simple excroissance caoutchoutée a retenu ma vie pendant les quelques secondes de son absence. Mais aurait-elle revêtit tant d’importance si j’eus autre chose à l’esprit à ce moment précis ? Certes non, étrange effet de la conscience. » C’étaient là ses premiers mots.
Il a seulement 6 ans quand il écrit son premier livre : Bibi, le chien qu’était pas beau – titre initial refusé par l’éditeur[2]. Il étudie alors à l’Ecole Française de Kestudica, car jugeant la langue serbo-tchonque trop simple pour lui. Bachelier à 11 ans (mention Vachement Bien), Potchniep obtient un doctorat en sociologie politique attaché aux affaires extérieures spécialisées en économie soudanaise et en lutte gréco-romaine. Puis il achète une ferme et élève des oies.
Une carrière politique courte mais courte
En 1892, il obtient un poste de ministre du commerce, de l’écologie et de la chasse à la taupe. La grande préoccupation de Potchniep sera de faire sortir son pays du marasme économique. Grâce à des mesures simples, il veut transformer la Serbo-Tchonquie en nouveau pays émergeant.
Premièrement, il fait battre une monnaie nationale. C’est un changement révolutionnaire dans un pays où les seules monnaies d’échange sont le troc et la molaire de taupe. Puis, il encourage l’élevage industriel de la taupe, plutôt que de pratiquer la chasse au risque de faire disparaitre l’animal dans son état sauvage. De plus, il subventionne la culture de légumes méconnus et du chiendent pour vivifier l’économie nationale. L’effet est reste quand même limité.
Potchniep lancera ensuite le pays vers l’exploitation minière, malgré que le pays ne compte aucune réserve de fer, d’or, de plomb ou de cuivre ; seulement de l’Ununbium et de l’Unobtainium.
L’extraction de ces métaux devait améliorer encore l’économie du pays, mais elle contribua à le replonger dans la crise. En effet, les mesures de sécurité préconisée par Potchniep n’ont pas été respectées, et l’Ununbium provoque d’importants troubles dyslexiques chez ceux qui y sont en contact. Et pour l’Unobtainium, plus on en cherche, moins on en trouve. L’exploitation massive de ces deux éléments créa une génération entière de frustrés dyslexiques, qui engendrera à terme une population autiste. Malgré tout, beaucoup d’entre eux auront de bonnes dispositions pour devenir lofteurs ou autres spécimens du genre.
En 1896, suite à au fameux coup d’état lancé par les mineurs d’Ununbium, le Toup d’Ecat de Véfrier Satre-vingt Queize, il démissionne de ses fonctions et débute alors sa carrière d’écrivain.
L’exil
Déjà critiqué pour son passage au gouvernement, tout bascule en 1901. Potchniep est contraint à l’exil suite à la parution d’un roman houleux. Il s’installe en France, à Saint-Kevin-de-Gougnafier dans l’Yonne. Durant cette période, il réalise la majorité de ses œuvres philosophiques. Pour contourner la censure, il prend un pseudonyme qu’il gardera de nombreuses années : Grosper Demič.
A côté de ce job d’écrivain, Potchniep travaille comme chef d’atelier chez les établissements de couture appartenant au père du Maréchal Pétain, la célèbre firme « Pétain coud ». Il y rencontre celui qui deviendra son plus grand disciple, le futur philosophe français Jean-Baptiste Botul, qui lui-même influencera Bernard-Henry Lévy.
Le 17 octobre 1906, Zvonimir Potchniep épouse Cunégonde Raziboulle. De leur mariage naîtront 3 garçons, 2 filles, un castor et un hippopotame (nain, mais une césarienne fut quand même nécessaire).
L’engagement dans la Grande Guerre
Le 12 novembre 1914, Zvonimir Potchniep est placé à la tête d’une unité de soldats somaliens. Lui et ses troupes sont parachutés sur le front. Le 18 décembre 1918, les troupes somaliennes atterrissent enfin, mais la guerre est déjà finie. Pendant ce temps, Potchniep a écrit un recueil de poèmes.
Des années difficiles, puis encore l’exil
En 1920, Potchniep peut retourner en Serbo-Tchonquie, où le peuple a repris le pouvoir, guidé par les écrits du héro local Grosper Demič alias Zvonimir Potchniep. Le 18 juin, les paysans envahissent le Parlement, armés d’outils. L’un d’entre eux décapite le président-à-vie Sonovbič[3] d’un coup de pelle. L’événement est célèbre de tous, c’est « La pelle du 18 juin ». Après ça, il entreprend une carrière de chattier (barbier pour les chattes), concept importé de France.
En 1931, suite à de mauvaises critiques sur un de ses livres, Potchniep se vexe et s’exile au Talviékistan. On ne sait rien sur cette période.
Décès, activité post-mortem
Le 31 avril 1933, Potchniep est retrouvé mort. Il a mis fin à ses jours en s’auto-dévorant, seules ses machoires seront retrouvées. Cette fin tragique achève de l’élever au rang de légende et de symbole national dans son pays, au même niveau que Tomislav Papahut.
Certaines histoires obscures laissent entendre que Zvonimir Potchniep tente régulièrement de communiquer depuis l’autre-monde. Rod Stewart aurait souvent conversé avec son spectre, et de nombreux témoignages d’anonymes confirment ces manifestations.
La plus célèbre manifestation est apparue à un jeune chanteur apprenti, à qui un spectre s’est présenté comme étant Potchniep lui-même, et lui demanda un marteau pour finir de monter une étagère Ikea – dit-il. Quand le chanteur lui prêta l’outil, le spectre disparût aussitôt. Laissant tomber sa bouteille de vodka sous le coup de l’émotion, il reprenait à peine ses esprits quand le spectre réapparut pour lui rendre son marteau. Cette aventure le marquera profondément, il lui dédiera même une chanson : « Zvonimir Zvonimir, il me rend mon marteau ».
De nos jours, les travaux de Potchniep ont influencé bien des auteurs, philosophes et mathématiciens, trop nombreux pour être cités. Jean-Claude Van Damme reste tout de même son disciple le plus fidèle. Récemment, le pape Benoît Gzvi et les 4 cardinaux ont annoncé sa promotion au grade de Saint.
Ses enfants préféreront ne pas poursuivre l’œuvre paternelle et mener une existence discrète. Seul le cadet – l’hippopotame – aura son heure de gloire grâce à l’ouverture d’une chaine de restaurants à son nom.
Son œuvre
Prémices d’un talent extraordinaire
Son premier livre, Bibi, le chien qu’était pas beau parait en 1880 alors qu’il n’a que 6 ans. Dessins à l’appui, Potchniep illustrait avec brio la dureté de la vie et les tourments de l’être. Sous pression de l’éditeur, l’enfant surdoué avait dû revoir son un titre, pour qu’il soit plus en rapport avec des lecteurs de son âge[4].
La période rebelle, chevelue et post-pubère
Le renard a les pieds sales (1897) est un pamphlet contre la gastro-entérite et les œufs-mollets. Puis viennent Croutes de pansements en 1899, et surtout Fonfon le Patapon en 1900, qui inspirera les cinéastes pour Fanfan la Tulipe.
La publication du roman Les narines du putois bleu en 1901 devient un best-seller mondial et déclenche un scandale politique en Serbo-Tchonquie. En effet, cette œuvre engagée dénonce les relations entre le président-à-vie Sonovbič et une mamie unijambiste du Poitou. Potchniep est contraint à l’exil. Il ne sera plus publié dans son pays que sous le pseudonyme de Grosper Demič.
Dans la même lignée de romans politisés, il publie Pataquès chez les ploucs en 1902, qui rencontre beaucoup de succès chez les aiguiseurs de presse-purées.
La période analytique et existentialiste
Potchniep débute en 1904 sa période philosophique la plus aboutie, avec la parution d’Allégorie de la vessie de porc. Puis en 1906 sort Analyse d’une choucroute, qui rencontre un franc succès auprès des francs-maçons, des videurs de latrines et des orthopédistes.
En 1908 paraît le désormais culte Métaphysique, rhododendrons et tricot de peau, élevé au rang de Bible par les philosophes du monde entier. Jean-Paul Sartre a dit s’en être basé à 90 % pour déterminer sa réflexion sur l’Être et le Néant. Impossible de résister à la tentation de vous livrer un extrait de cette œuvre incontournable, dans laquelle 2 pages suffisent à résumer plusieurs courants philosophiques :
grosses comme des pastèques !
Au cours des observations de la reproduction des rongeurs en milieu sous-terrain, une profonde introspection sur des valeurs essentielles de la vie a été nécessaire. Telle la notion du "beau". « C’est beau ! » s’écriaient les assistants, voyant les taupes-mâles s’affairant à leur tâche.
Mais qu’est-ce que le "beau" ? Si ce n’est le lien direct entre le bien, l’art et la manière, conduit par la catharsis de l’observateur. On peut le dire, le "beau" est tel un coït de taupes au soleil couchant de Pologne, fusion de l’intrigue et de l’émerveillement, hachis parmentier de l’amour où la viande et la patate d’abord séparés finissent par ne faire qu’un.
Et à ceux qui n’osaient regarder l’acte sexuel animal, prétextant un problème d’"éthique" et de "morale", il fallut clarifier les choses. La "morale" n’est que le reflet d’une route nationale dans la flaque de la société : goudronnée, pointillée, mais impossible à suivre sans se mouiller les sabots.
Sans compter que l’"éthique" est secondaire dans cette situation car c’est l’"utilité à la société" qui prime. Toute considération éthique doit donc être mise de côté dans le cadre de la science. Jean-Henri Bobet a bien révélé au monde l’inutilité de l’électricité sur les capacités cérébrales et sexuelles en branchant du 2000 volts sur le crane et les parties de ses jeunes cobayes thaïlandais.
Pour la bicyclette de la société qui monte le col du progrès, la patience et les subventions sont les pédales ; l’éthique et le code pénal en sont les freins.
Car rien ne doit ralentir le progrès technique, pas même – surtout pas – les considérations religieuses. Sans débattre sur le matérialisme ou le spiritualisme, et encore moins sur le nihilisme, il faut faire le choix de la raison. La raison est la seule source possible de toute connaissance réelle. Car quand le rumsteck de la vérité attache à la poêle à frire de la Religion, il n’y a que la conscience ou le saindoux pour sauver le dîner de la sagesse.
La science doit être empreinte de scepticisme pour essayer d’atteindre, ou plutôt de tendre vers la vérité absolue. Celle-ci, d’ailleurs, n’existe pas à priori, mais se révèle progressivement grâce à l’expérience. Toutes ces réflexions nous assurent du bien fondé de nos recherches.
Il est de nature, pour l’homme, de repousser les limites, mêmes celles établies par la nature. C’est peut-être là le véritable accomplissement de l’existence que de découvrir, de défier les règles.
Nous entrons là dans un domaine métaphysique, mais ces recherches ne sont-elles pas un moyen de matérialiser nos idées, tel que Platon concevait la chose ? Les saucissons de la pensée vont bien plus vite qu’un sachet de tomates paraplégiques, même si Napoléon transpirait du tibia gauche – traduction incertaine.
Car la science et ses expériences sont une magnificence de l’intellect propre à l’homme, une manière de réconcilier "Réalisme" et "Solipsisme".
Mais avant tout il faut concevoir que tout cela se heurte parfois au mur de l’échec. De nombreuses choses qui nous dépassent encore, et malgré notre soif de savoir la recherche est souvent vaine. Les réponses semblent proches, devant nos yeux, mais on ne les voit pas. C’est un fait, les barreaux de l’obscurité de la vie sont bleu banane.
La base du concept de réalité étant la conscience de soi, nous avons mené une expérience. L’aide du jeune assistant Sigmund – un garçon prometteur – nous a permis d’établir une série de théories à ce sujet. Il semble que dans les caractéristiques de la personnalité, le "Moi" ou "l’égo" - aucun rapport avec les jouets danois - soit l’instance dominante. Mais il y a aussi le "Ça" et le "Surmoi".
L’expérience a été menée pendant trente jours sur moi, et il en ressort que le Ça influe sur le Moi autant que le Surmoi, ça c’est sûr. Si le Surmoi commande sur le Ça, ça surmène le Moi sur tout le mois, il est moite, le Ça le sent bien sur moi. Soit le Moi doit s’assurer que ça sape l’effet du Ça, soit le Ça surmonte le Surmoi et déçoit le Moi. Quoi qu’il en soit, être moite sur un mois, ça moisit, et la moisissure sur moi ça me saoule, ça va de soi.
Bref, je conclurai ces divagations réflectives en prenant trois aspirines, et avec cette prise de conscience : la science est infinie, car le contraire de "science" est "pas-science". Et comme la "pas-science" a des limites, la science n’en a pas.
Mais cessons-là, revenons-en au sujet : les taupes-mâles et la taille disproportionnée de leurs
Enfin pour clore son chapitre philosophique, Potchniep écrit en 1911 le fameux Ainsi parla Sarah frustrée. Ce livre relate l’expérience d’une certaine Sarah qui se retire involontairement pendant 10 jours dans un ascenseur en panne. Elle réalise une profonde introspection et prend conscience que son but ultime est le dépassement d’elle-même. Elle doit égaler Dieu lui-même, devenir une « Surfemme » (Überbiatsch). Son esprit s’évade, il prend la forme d’un dromadaire, ensuite d’une clé à molette, et enfin d’une chèvre, l’être suprême. Elle fusionne avec la chèvre. Puis, surgissant devant elle avec des casques argentés et tenues bleues, Jésus, Freddy Mercury et Dick Rivers en personne viennent la libérer de sa cage d’acier. Pour finir ils la conduiront vers un endroit merveilleux, où tout est blanc, les murs et les habitants ; et tout le monde est gentil à condition de bien prendre ses pilules.
Lyrisme, puis criticisme, obscurantisme et black métal
Zvonimir Potchniep écrit son recueil de poèmes Regards d’un intestin grêle sur le front, pendant la guerre (voir Sa vie). Il paraît en 1919 et aura un succès raisonnable, surtout chez les épiciers guatémaltèques. Malgré ça Potchniep n’est pas satisfait et s’enfonce progressivement dans une spirale négative.
S’en suivirent une série d’essais, de romans noirs et misanthropes, qui lui valurent le surnom de « Schopenhauer en sabots ». Le clou de cette série est marqué par le roman très noir Oui-Oui et le loup-garou mangeur de poumons, peu vendu. Il tente alors une critique de la société moderne, basée sur les mésaventures de son ami l’ouvrier Henri Pittal[5], licencié pour avoir porté des chemises en soie froissée, pantalons en velour et chaussures en croco sur son lieu de travail. Le Cas « Pittal » parait en 1921, mais le succès n’est pas au rendez-vous.
S’en suit une série impressionnante d’ouvrages, dont la qualité n’a d’égal que le piètre succès qu’ils rencontreront. De 1922 à 1927, Potchniep écrit Les pépins de la fureur, La chanteuse sans poil sur le caillou, Le « non » de la cirrhose, Au temps où s’importe le vin, Dix hommes de couleur pas très grands, et Les 4 feuilles du facteur Marshmallow. Ce dernier se vendra à 36 exemplaires.
Plongé dans la noirceur de sa dépression, Potchniep se lance dans les mathématiques. Comme une manière d’en finir avec la vie. Pourtant, il s’en sort indemne, et publiera son étude Exponentiel ? Toi même en 1929. Enfin les ventes redécollent. Parmi ses découvertes, il suppose l’existence de mondes perpendiculaires, il jette les bases des liens entre les canards et le nombre 42, et il réalise la première série de calculs à base de pommes de terre.
Le livre Rognures d’ongles sort en 1931 et sera le dernier de sa carrière. De manière agressive, il s’adresse ouvertement aux hautes sphères dirigeantes et aux boulangers naturistes. L’accueil du public sera une nouvelle fois décevant, et Potchniep vexé s’exilera au Talviékistan. Toute l’étendue de son succès tant mérité se lancera seulement après sa fin tragique. Zvonimir Potchniep restera dans les mémoires comme le créateur du mouvement Potchniepiste.
Citations mythiques
Les citations que vous trouverez ici sont une parfaite caractérisation du mouvement Potchniepiste.
- « C’est en mangeant de la terre qu’on sait si les taupes ont la gastro. »
- « Les barreaux de l’obscurité de la vie sont bleu banane. »
- « Les saucissons de la pensée vont bien plus vite qu’un sachet de tomates paraplégiques, même si Napoléon transpirait du tibia gauche. »
- « Quand le ciel d’étain ruisselle de bonheur devant l’odeur du feu, il faut se hâter de dépenser ses roubles, car tous les écureuils de l’enfer mangent des scies à métaux. »
- « La taille de l’esprit est comme un trognon de pomme : collant et fertile, mais impossible à respirer. »
- « Quid oserant plentare batonus infestas furmis in taurus rectum ? » (Qui oserait planter un bâton infesté de fourmis dans le cul d’un taureau ?)
- « Un vieux pommier fait de belles pommes, mais un beau pommier ne fait pas de vieilles pommes. Par contre, un vieux boucher ne fait pas de belles bouches, mais une vieille bouche aimerait bien se faire un beau boucher. »
- « Taupe qui hurle la nuit, prend garde au rebord du lit. »
- « Lorsque vrombissent les girafes et valsent les tabourets du destin, fais halte et change ton baluchon d'épaule. »
- « Le manteau pourpre de la culture est décoloré par la machine à laver de la guerre, surtout quand les renards régurgitent leurs biscuits au paprika. »
Notes
- ↑ métier référencé auprès du ROME depuis avril 1999 - copyright : http://video.google.com/videoplay?docid=2067739773450056555#
- ↑ titre initial : Aléas canins au quotidien pour un spécimen génétiquement condamné au dimorphisme
- ↑ Misha Sonovbič (1865-1918), élu selon la démocratie parti-pissative – celui qui se retient de pisser le plus longtemps est élu président – et détenteur du record d’abstention urinaire de l’époque avec 7786 minutes
- ↑ voir le n°2
- ↑ Henri Pittal (1889-1932), licencié puis réembauché suite à des manifestations nationales, finira sa vie en arrêt de travail pour dépression. En effet, il est harcelé chez lui depuis l’invention du téléphone : beaucoup de gens l’appellent juste pour lui dire : « Allo Pittal ? »
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