Tours

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« T'habites à 300 mètres de Tours ? »
~ Sacha Guitry à propos du sexe de Jésus

Histoire

Tours est réputée au niveau international pour avoir longtemps abrité les rois de France, notamment pendant la seconde guerre mondiale. Ces derniers tentaient d'échapper aux arabes qui ont été repoussés pas très loin au Sud, à Poitiers, par le général Charles Martel, cousin du Charles de Gaulle.

Historiquement, Tours est la ville rivale d'Orléans-la-Laide, autre ville située sur la Loire.


L'histoire de Tours est riche :

  • Au quatrième siècle, un gars prénommé Martin ayant déchiré son manteau à Amiens s'installe à Tours et y meurt.
  • En 1920, un congrès français d'horticulture qui verra la rupture entre les producteurs d'outils de jardinage (faucilles et marteaux) et ceux de roses rouges... Empoignade dans le centre ville.
  • Dans les années 70, Jean Royer se lance dans un combat contre la pornographie, les grandes surfaces, la Loire et les finances communales. En gros, contre ce qui le vénère par dessus tout. Surtout le porno. Ah ouais ! Il a maintenant un boulevard à son nom et une demi-statue Place Thiers (rebaptisée Place de la Liberté).
  • Une tentative de recréer un nouveau Pont d'Avignon fut tentée en 1978, tentative soldée par un échec : le pont fut entier.
  • Aux aurores du XXIème siècle, un Ikéa s'implante aux Atlantes. Allez, bientôt l'eau courante et le 56k.
  • En janvier 2011, un nouveau congrès d'horticulteurs scelle cette fois l'union entre les partisans du fumier et les partisans du purin, convaincus d'utiliser le même composteur d'idées qui puent. On profite de l'occasion pour arroser les contestataires.
  • En septembre 2013, la première ligne de tram est inaugurée. Pour inciter les automobilistes à s'intéresser à l'architecture urbaine, chaque intersection entre la ligne de tram et les voies pour voitures se traduit par un rond-point équipé d'une bonne vingtaine de feux tricolores.
  • En décembre 2016, un Starbucks s'installe place Jean Jaurès. Des pèlerins viendront des quatre coins de la Touraine admirer ce prodige.

Géographie

Tours est une ville décorée par une quantité de châteaux où vivaient autrefois les rois. Ceux ci sont aujourd'hui loués à de riches stalinistes qui fuient la radicalisation du gouvernement anglais.

La Loire, plus grand fleuve sauvage européen, passe par la ville et est un de ses atouts. Cela permet aux habitants de la ville de Tours de se laver beaucoup plus régulièrement que la moyenne nationale. Cela explique la venue de nombreux touristes qui ne supportent pas les odeurs d'aisselles des trop grandes métropoles françaises : Paris, ...euh et Paris.

Le Cher est le jumeau démoniaque de la Loire: Il est sale, court, non navigable et vote à droite.

Ces deux fleuves piègent ainsi les turons du centre sur leur ilot de solitude et de detresse, a moins qu'il les protègent de Tours Nord et de Tours Sud. Tout dépend de votre gout pour les zones industrielles, les résidences universitaires et les Bricorama. C'est une affaire de point de vue.

La ville est située sur une vallée -la vallée de la Loire- : la ville est donc plate. Cela est pratique pour visiter la ville à vélo, mais entraîne une cellulite plus précoce et plus prononcée sur les fessiers des habitantes.

Le vieux Tours, a été largement copié par la ville de Poitiers qui a tout de même, avec le travail monstrueux d'ingénieurs en urbanisme, réussi a ajouter des odeurs d'urine permanentes. Le Think Tank turon, jaloux de cet agrément olfactif qui fait la fierté des poitevins, à répliqué par la plantation de clochards d'ages divers aux points stratégiques du quartier, ce qui rassure et enchante ceux ayant eu l'excellente idée d'acheter un appartement dans le Vieux Tours pour le patrimoine et la quiétude.

Les habitants

Le gentilé des habitants est Tourangeaux et Tourangelles. Néanmoins, les habitants les plus ras du front croient depuis quelques années que ce sont les Turons et les Turonnes.

Mais depuis quelques années, Tours a été rebaptisée Towers. C'est pour cette raison, que les habitants sont désormais appelés les towersrangersx et les towersrangels.

Il est également essentiel de souligner que les habitants de Tours parlent le français le plus pur du monde entier. Cette réputation, qui n'est plus à faire d'ailleurs, donne aux Turons et Turonnes un rayonnement culturel inimitable, que certains assimilent à tort à de l'arrogance.

Précisons que la majorité des habitants de la ville de Tours sont des bobos (environ 350% de la population). Ils se concentrent particulièrement dans le quartier des antiquaires, (rue de la Scellerie, rue Colbert et Rue Emile Zola). Les bobos, comme les autres résidents de la majestueuse ville de Tours, rigolent bêtement en voyant des Alpins ou autres "estrangers" (l'Estrangie, pays des Estrangers, commançant au Nord au Mans, au Sud à Poitiers, à l'Est à Blois et à l'Ouest à Angers) vêtus d'un bob sur la tête, où de toute autre particularité ridicule (sac banane ou autres.)

L'architecture urbaine

Se promener dans le centre-ville de Tours revient à arpenter une grille de mots-croisés, la possibilité de noircir les cases en moins. La seule exception notable étant la place Plumereau (voir ci-après) d'où l'on ressort plutôt gris, voire vert si l'on ne tient pas l'alcool.

Tours étant une très vieille ville, il est normal d'y trouver tout un tas de vieilles baraques faites de morceaux de bois, c'est ce qu'on appelle en jargon touristique un "centre historique". On dénombre donc un amphithéatre romain que n'utilisent pas les djeun's de la fac voisine, des thermes qui se visitent s'il on est équipé d'une pelleteuse ou qu'on arbore un joli gilet jaune de l'INRAP, des pans de murs incertains estampillés "Moyen-äge" ou "Renaissance" enchevêtrés les uns dans les autres et souvent repeints couleur "gerbe du samedi soir", des rues tristement bordées de maisons XIXème siècle où même la crasse est d'époque (on a beau être sur les bords de Loire, ravaler une façade au karcher reste encore une exception locale), tout un secteur en béton gris* et au milieu, une voie ferrée où passe un tram rutilant parce qu'encore tout neuf, avec stations qui chantent et avertisseur qui fait gentiment "ding ding" pour rappeler aux piétons trop occupés à taper des sms sur leurs smartphones un casque sur les oreilles qu'ils ont beau être jeunes, ils n'en sont pas moins biodégradables.

  • L'avant-dernière campagne de modernisation du centre-ville fut instituée en 1940 par nos amis d'outre-Rhin qui, malheureux de voir une si belle ville encombrée de vieilles baraques faites de morceaux de bois, ont procédé à un grand nettoyage de ces zones insalubres. Œuvre grandiose parachevée quelques années plus tard par une alliance anglo-américaine, ce qui fait que de nos jours les abords de la rue Nationale sont aussi agréables à l’œil que Saint-Nazaire un jour de pluie de novembre.

Le Vieux Tours & sa place Plumereau

Plan du Vieux Tours

Place la plus fréquentée par les jeunes, les camés, les alcooliques, les skins et leurs chiens. Elle abrite 456 bars au mètre carré. C'est l'endroit ou toutes les stars américaines sortent le soir. De plus la rue du commerce adjacente à la place Plumereau conserve depuis plus de 20 ans le record mondial de kebab monoplace.

Boire un verre place Plumereau, ou place Plume pour les jeunes et branchés, constitue le top du top de la hype tourangelle. Il s'agit en fait d'un agglomérat de terrasses avec chaises en plastique où des étudiants fatigués d'être en grève partagent un demi citron (mais chut ! Tours est une ville étudiante qui bouge...).

La Place Plume et plus généralement le quartier du Vieux Tours (aussi appelé Dans l'Vieux) est par ailleurs le théâtre de luttes discrètes mais âpres entre les Bobos Vieux et les Bobos Jeunes. Si les Bobos Vieux voient dans le vieux Tours un endroit agréable fait de petites rues à l'architecture médiévale et bordée par la Loire correspondant tout à fait à leur standing de Bobos Vieux, il demeure que les Bobos Jeunes en aient une vision tout à fait différente.

En effet, le Vieux Tours fait l'objet d'une politique municipale anti-bruit largement soutenue par les Bobos Vieux amateurs de jazz abonnés au Petit Faucheux.

Mais le vieux Tours est aussi le point de rendez-vous des Bobos Jeunes fabricants et consommateurs de bruit attirés par la promesse d'une nuit alcoolisée, aussi bien que par l'optique d'un concert de ce que la Police Municipale qualifierait de concert de bruit. Ces Bobos Jeunes n'étant pas encore assez vieux pour aimer le Jazz, ils s'adonnent avec véhémence aux musiques amplifiées dans les 2 ou 3 bars sur 8647 non encore menacés par la fermeture administrative, ou non encore transformés en salle de flippers.

De ce fait, on pourrait conclure (un peu rapidement ?) que le secteur de Plumereau est semblable au Marais à Paris, aux Jacobins à Bourges ou aux Atlantes à Saint-Pierre-Des-Corps. Mais nous recherchons toujours l'auteur de cette conclusion hâtivement conçue. Et, au passage, une plume ne peut conchier un plumereau. Cela étant dit, nous pouvons passer à autre chose.

Sa place dans le monde

Tours est, sans commune mesure, la pièce maîtresse de l'archipel mégalopolitain mondial. La grandeur de cette mégalopole de plus de 30 millions d'habitants n'est plus à faire. Sa banlieue proche entraine dans son sillage quantité de communes, dont certaines méritent d’être citées : Blois, Orléans, Paris (communément surnommé le « Petit Tours »), Bordeaux, Londres. Hub mondial, véritable plaque tournante du trafic international, son organisation est souvent érigée en modèle de perfection. Symboles de ce dynamisme, le port maritime (près de la guinguette), et l’aéroport qui subit chaque année l’assaut inéluctable de touristes chinois, venus se marier en masse dans la capitale pour bénéficier de la suprême bénédiction du pape Jean Germain II en l’auguste Cathédrale Saint Gatien. Il est à noter également l’excellence du rayonnement culturel et politique de la ville, relayé par des établissements d’élite (Polytech’Tours, Lycée Descartes, Lycée Grandmont, Lycée Balzac, Université François Rabelais,lycée vaucanson) qui ont formé les plus grands de ce monde : Alfred de Vigny, Honoré de Balzac, René Descartes, François Rabelais, Anatole France, Léopold Sedar Senghor et tant d’autres illustres.

Tours étant sans contestation possible la plus belle ville de la vallée de la Loire, elle même plus belle région de France, qui nous vous le rappelons est le plus beau pays du Monde Entier, est donc la ville la plus belle de cette partie de la Galaxie.

Le Tourangeau au volant

Le Tourangeau au volant est une espèce caractéristique que l'on reconnait aux symptômes suivants :

1/ Au plus tôt, il enclenche la 1° lorsque le feu est vert, provoquant ainsi l'ire des Parisis qu'il conchie secrètement avec une constante jubilation.

2/ Il méconnaît absolument l'usage de l'avertisseur sonore, pour la plus grande joie des riverains.

3/ Le plan de circulation de la ville étant structuré par l'une des plus grandes artères de France (respectivement nommée av. de la Tranchée, puis rue Nationale, puis av. de Grammont), il ne peut en général tourner qu'à droite. A l'allumage des "feux stop" correspond ainsi l'intention de tourner. Culturellement, ce signal vaut allumage des clignotants. Historiquement, ce fait est reconnu par la Gendarmerie, la Police Nationale, la Municipale, les tribunaux divers et variés, la Jurisprudence, le Maire, St Gatien, Ste Radegonde et tout ce" qui roule ou à roulé" depuis St Martin.

3/ Il ignore (presque) le mot "embouteillage" sauf lorsqu'il se rend en pèlerinage à Vouvray, Saumur, Chinon, Bourgueil, Montlouis ou Amboise. Mais l'ancien maire socialiste de Tours, frustré par cette circulation continuellement fluide par rapport aux autres agglomérations et par les excès de vitesse des parisiens qui en sortant à la sortie de l'A10 "Tours Centre" pensent encore être sur l'autoroute à cause du non trafic, a récemment fait installé une ligne de tramway à des endroits stratégiques afin de provoquer d'énormes embouteillages aux heures de pointes. Cela a d'ailleurs provoqué une vague de suicide chez les Tourangeaux qui ne reconnaissaient plus leur ville.

4/ Il n'a pas besoin de GPS pour aller aux Sables, à l'île de Ré ou à La Rochelle en WE.

5/ Il roule avec prudence Bd Heurteloup afin de préserver l'artisanat local.

6/ Harassé par une longue méditation place Plumereau, il rentre par la rue George Sand afin d'éviter une coûteuse confrontation, dans une totale complicité citoyenne, avec la Gendarmerie, la Police Nationale, la Municipale les tribunaux divers et variés, le Maire, St Gatien, Ste Radegonde et tout ce" qui roule ou a roulé" depuis St Martin.

Tourangeaux célèbres et/ou infréquentables

- Serge Babary, nouveau maire de Tours. Apparu en même temps que Jésus Christ et les manifestations pour la pureté anti-homosexualité de la société turonne, son élection n'a toujours pas été expliquée par les plus grands astrophysiciens du monde politique sans coeur, ni foie, ni bière de la contrée tourangelle. Des rumeurs courent à propos de ce nouveau maire qu'il convient de ne pas prendre au sérieux, mais qu'il s'agit de quand même exprimer dans ce cadre pro-pisse (expression provenant de Plum'), bien que nous n'y attachons aucune importance, mais nous souhaitons quand même vous en toucher un mot (je me perds dans mes déambulations vineuses vouvrillonnes). Des scientifiques, experts certifiés dans le domaine du complot sioniste-soviético-franc-maçonnique, affirment que Serge Babary ne serait qu'un déguisement utilisé par Jean Germain pour rester à la tête de son empire des rillettes et des rillons sino-tourangeaux (nous ne reviendrons pas ici sur cette imposture qu'est la rillette du Mans). D'autres affirment que Serge Babary serait tout simplement la deuxième évolution du pokémon Jean Germain. Le club des collectionneurs échangistes de pokémons attendent avec impatience l'année 2020, ils pronostiquent l'apparition de la troisième et dernière évolution de Jean Germain, celle-ci devrait être plus charismatique, plus dynamisante, plus électrisante que jamais. En attendant, nous souhaitons longue vie au nouveau Roy Babar de la fière contrée turonne.

- Jean Germain, ancien maire de Tours. Coupable de tout le présent, puisqu'il était maire. Il n'aime pas les automobilistes mais dispose paradoxalement de son propre parking 600 places en dessous de la mairie pour pouvoir garer sa voiture et son égo. A noter que sa sinophilie tend à s'estomper. Il vient de se faire piquer son job par un maire Barbare ou Babary.

- Jean Royer, ancien maire de Tours. Coupable de tout le passé, puisqu'il a été maire. Surnommé "père la pudeur" pour son aversion notoire aux nichons soixante-huitards exhibés ensuite dans l'Express.

- Renaud Donnedieu de Vabres, encore innocent puisque que candidat malchanceux à la mairie de Tours aux dernières élections, auteur du projet de loi "DADVSI".

- Zaz, déesse de tous les camés de la ville, la légende dit qu'elle serait née avec des résidus de kebabs dans ses ongles. La ville cultive le statut de capitale régionale de la drogue, mais les Orléanais, jaloux de ce titre, œuvrent de toutes leurs forces pour leur chiper le titre. Le statut est aujourd'hui disputée entre le centre-ville tourangeau, qui a le leadership dans le segment de la weed, tandis que Orléans - La Source est leader dans le segment des drogues synthétiques.

- Bobby, le phoque borgne du jardin botanique. (ne pas confondre avec Bibi la chanteuse qui, elle, n'était ni borgne, ni tourangelle).

- Le Georges Moustaki glabre de la rue de Bordeaux : Chantant tous les samedis ses peines de cœur et son rêve de voir le mur de Berlin tomber, il provoque environ 30 dépressions nerveuses/jour dans son espace auditif, ce qui est encore plus fort que Benjamin Biolay. Certaines rumeurs disent qu'il était la, avec sa guitare et ses cassettes audio en vente libre, avant que la rue fut déboisée et donc que des pouffiasses inondent cette rue et les "tout a deux euros" pour leur approvisionnement hebdomadaire en boucles d'oreilles de mauvais gout.

- La Dame à la pièce, qui fait la manche rue de Bordeaux, plus connue sous le nom de "vous n'auriez pas deux ou trois francs" pour les anciens. Aujourd'hui perdue de vue, les rumeurs vont bon train : alors que les pessimistes fanatiques veulent faire de sa disparition un décès accommodé d'une canonisation, les plus réalistes estiment que ces longs mois d'absence sont la juste durée de sa formation pour le passage à l'euro.

- Didier Lemaire (officieusement : "Le Maire de Tours"), qui rien que par sa coiffe blindée de pin's est responsable de 56% de la pollution sonore des quais de la Loire à la place Plume. Certains anarcho-punks-terroristo-libertaires-antifafs lui reconnaissent une vertue apaisante, lui attribuant le bon déroulement de chaque soirée sur la zone de non-droit des quais de la Loire au cours de laquelle personne ne s'est pris de bouteille en verre dans la tête. Quant aux bobos, ils lui reconnaissent une odeur forte.

- L'Homme à la Chèvre : homme se promenant régulièrement dans les rue de Tours (souvent proche plume) et qui a remplacé son chien par une chèvre. Image emblématique de Tours (dit P'tit pois, ou "Jean-Noël" de son véritable prénom). Connu de tous les poivrots de Plumereau, il sera toujours fidèle au poste avec Zita, sa chèvre. (Sa chèvre a été portée disparue vendredi 13 janvier 2012, et n'a jamais été retrouvée... Remplacée par une nouvelle chèvre prénommée Anis, petit nom certainement inspiré par sa passion pour le Pastis)

- Les Barmen des bars de Tours : tous alcooliques notoires et provoquant sans ménagement des émeutes parmi les plus ferventes clientes de leurs établissements. Parmi les plus célèbres, JM de l'Epée Royale, Alain dit Lainlain, Grand Franck du Mc Cool's ou David du P'tit Soleil.



Transports en commun

Le réseau de bus de Tours ou Fil Bleu, est le résultat de la fusion entre Gogoles Dessins Co et Escargot Tourisme. Le réseau a en effet été conçu par un attardé mental de 6 ans sous ecstasy et est véhiculé par les passagers qui se mettent en chenille. Même que quand elle redémarre, elle peut tomber en panne. Autrement, il vaut mieux prévoir ses déplacements à pied, car les bus se perdent souvent dans les zones industrielles et marécageuses de l'est. Sans écarter non plus, comme nous le verrons ci-après, que les quelques tas de cailloux aux alentours du petit Neuilly de Tours, le Sanitas, vers la place Jean-Jaurès (place de la lutte finale, aussi, lutte entre chauffeurs de bus) ou rue Nationale n'entravent en rien l'excellente fluidité des bus. Sauf que c'est une fluidité d'un parking de H&M une heure avant les soldes. Imaginez donc...

Tours, comme toutes les autres villes socialistes de France (donc comme 453% des autres villes de France), aura bientôt un Tramway tout à fait pas écologique. Une écologie qui nécessite de dégommer toute forme de vie végétale sur le tracé (en particulier dans le quartier du Sanitas qui n'avait besoin que de ça, avec ses voitures brûlées, ses mosquées catholiques et une douce ambiance de No Man's Land, et sur les places de la Tranchée et Choiseul, exemples de beauté bitumée, sans oublier la délicate rue Nationale, aussi belle qu'une prostituée après une nuit de 12 heures de travail). Et si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur des véhicules surconcentrés en des points précis en heure de pointe, cela démontre par A+B que l'écologie est une affaire tourangelle rondement menée. Au moins comme une affaire socialiste, donc.

Depuis peu, Tours peut se targuer d'être la ville la mieux équipée de France en feux rouges inutiles. Le carrefour de la rue de Verdun en est un parfait exemple, à raison d'un totem tous les 4 mètres, pour une meilleure densification du trafic routier.

Ennemis

Je, soussigné XXXXX XXXXX, tourangeau, déclare haïr durant ma vie entière les ethnies suivantes :

  • les angevins, dont le piètre SCO ne saurait rivaliser avec notre glorieux TFC,
  • les manceaux, pour nous avoir volé la recette des rillettes,
  • les orléanais, pour nous avoir volé le statut de capitale de la région Centre suite à des magouilles politiques/corruption,
  • les parisiens, immonde pourceaux ne sachant pas conduire et prenant notre belle cité pour cité dortoir.
  • la chine, pour être plus intelligent que nous.
  • les américains, pour ne pas avoir créé la nouvelle tours.
Cet article a une chance non nulle de figurer dans le Best Of ou de ne pas en être.
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