Amazonie
La forêt amazonienne ou Amazonie, située en Amérique du Sud, est la plus grande forêt tropicale de la planète. Elle s’étend sur des centaines de milliers de kilomètres carrés et 16 états d’Amérique Latine dont le Brésil, la Guyane, le Venezuela, la Colombie ou la République du Bananas, ce micro-état où MacGyver se fait tout le temps capturer.
Étymologie
Amazonie - Amazone : de "amas" et "zone", contraction du substantif local amasdarbreszone qui signifie "amas (d'arbres) dans une (vaste) zone". Ne pas confondre avec amasdarbreszoli qui désigne un bosquet fleuri, quoi que certains spécialistes rapprochent les deux origines, considérant qu'un vaste amas de bosquets fleuris puisse être considéré comme une grande forêt. Les divagations d'Amerigo Vespucci, bien qu'authentiques historiquement, ne ne sont plus valides au regard de l'analyse linguistique contemporaine.
Découverte de la forêt
L’existence de la forêt amazonienne devient connue de l’homme blanc au XVIIème. Sa découverte est due à Amerigo Vespucci qui pendant un de ses voyages trouva l’embouchure du grand fleuve dont le bassin hydrographique représente la forêt. Comme il avait 6 heures d’avance sur son fuseau horaire, il en profita pour remonter un peu le fleuve. Après seulement une heure de navigation, 4 marins avaient contracté le paludisme cérébral, 2 avaient été tués par des moustiques tigres, 1 par une grenouille venimeuse, 3 par des mouches géantes, un était tombé par-dessus bord et instantanément dévoré par des piranhas et pour le dernier on ne savait pas trop, il avait juste vomi vert avant de s’effondrer. Vespucci, terrorisé et les mains fermement accrochés sur le gouvernail retourna en quatrième vitesse vers la mer. Il appela le fleuve Rio degli Ammazzati (oui, c’est de l’italien, Amerigo était rital), la rivière des trépassés, ou Amazone, et la forêt qui l’entoure pris logiquement le nom de forêt amazonienne. L’Amazonie était de toute façon déjà très bien connue des peuplades d’Amérique centrale qui l’appelaient Chapawappaq, c'est-à-dire grande place de merde.
Biodiversité
La forêt amazonienne est l’endroit du monde le plus riche en espèces animales et végétales après les laboratoires de l’Institut Pasteur. Dans le coin vivent 2,5 millions d’espèces d’insectes inutiles, 75 000 autres espèces d'invertébrés néfastes, 40 000 espèces de plantes venimeuses, 3 000 espèces de poissons à grande bouche pleine de dents tranchantes, 1 294 d’oiseaux nuisibles, 427 de mammifères tous plus féroces les uns que les autres, 458 d’amphibiens (dont la peau est parfaite pour faire des sacs et chaussures) et 1 012 de reptiles ultra dangereux. Finalement pour résumer, on peut dire qu’ils sont tous très hostiles pour l’homme. Il ne faut pas oublier les espèces qui n’ont pas encore été classifiés faute de papier pour l’écrire ou d'explorateur pour en confirmer l'existence (il y existe de nombreuses rumeurs décrivant presque autant d'espèces jamais recensées et la plupart de ceux qui ont essayé de vérifier l'existence de certaines d'entre elles ont disparu) (hein, tu vois les effets pernicieux de la déforestation maintenant).
Depuis de nombreuses années, les scientifiques ont voulu sauvegarder cette biodiversité dans l’espoir de se foutre dans les poches des subventions d’état trouver des nouvelles espèces utiles pour l’homme, comme de nouvelles variétés de cannabis ou une enzyme provenant de quelques insectes pour rendre des laiderons comme eux attrayant pour le sexe opposé. Cependant aujourd'hui avec les nouvelles biotechnologies on est parfaitement en mesure de créer artificiellement toutes les espèces désirées avec un simple copier-coller génétique. La communauté scientifique s'exprime donc favorablement à l’idée de réaménager les forêts tropicales en fonction des besoins des populations locales.
Flores et animaux remarquables d’Amazonie
Archaleptum Banalis très rare oiseau sans ailes. Son habitat est les branches des grands arbres. Sa vie dure le temps de son premier vol entre le nid et le sol. Voyage qu’il accomplit en poussant des hurlements terribles.
L’anaconda est le plus grand serpent du monde. Il est capable d’avaler Guy Carlier en une seule bouchée et de le chier en seulement deux merdes.
Un exemplaire de Carpediem Horribilis une véritable machine à tuer : même après avoir été touché par plusieurs balles, il continue encore à traquer le pauvre photographe.
Le Phallus Impudicus ou Arbre à triques, est un lieu de pèlerinage pour les jeunes vierges allant se marier. Cet arbre est parfait pour s'initier aux jeux sexuels avec ses excroissances phalliques douces au toucher, à l'écorce au gout délicieux mais restant bien dure même humidifié par la salive.
Photographiée de nuit depuis la canopée, cette jeune Gigachiroptera Simplis mesure environ 8 mètres d'envergure et n'a donc pas encore atteint sa taille adulte, qui est comprise entre 9m50 et 11m. Cette chauve-souris n'est donc pas au sommet de la chaine alimentaire. Le photographe a été simultanément happé par cette chauve-souris et un crocodile arboricole quelques instants après avoir pris ce cliché.
Déforestation
Depuis l'Antiquité le rêve de l'Homme a toujours été de détruire et d’assujettir la nature. Nous approchons d’un événement historique : de nos jours 92% de la surface de la Terre a été modelée par l’homme. Il reste peu d’endroits comme l’Antarctique, la toundra ou la Creuse qui n’ont pas reçus d’améliorations. La zone sauvage la plus vaste est cependant l'Amazonie dont la campagne de déforestation est en grand retard en raison des difficultés socio-économique des états d'Amérique du Sud. Aujourd’hui seulement un tiers de la forêt a été assainie, et il y a encore 3.067.000.000 de tonnes de bois de bonne qualité inutilisés, un chiffre inacceptable étant donné l’actuelle pénurie de matières premières. Selon les récentes estimations, si on n’accélère pas le rythme, en 2065 la forêt sera encore debout. Notons la remarquable initiative de la firme américaine World's Trade Wood.Inc qui permet à chacun de contribuer à l’assainissement de l’Amazonie: seulement 1 euro pour abattre un arbre, avec seulement 20 euros vous permettez aux volontaires de WTW de raser 100m2 de forêt tropicale, vous pouvez aussi faire un don annuel de 50 euros pour adopter à distance un bulldozer.
Les sympathiques indigènes
L'Homme au cours de son évolution a colonisé tous les coins de la planète, l'Amazonie ne fait pas exception. Un exemple frappant est l'ancien peuple Maya. Ils ne voyaient pas une menace dans la forêt tropicale, mais bien une ressource, un des piliers de leur civilisation, et cohabitaient en paix avec la forêt. Lorsque les conquistadors arrivèrent en Amérique, la civilisation Maya n’avait pas laissé que des ruines, la forêt était encore là et n’avait toujours pas envie de vivre avec l’homme quelle que soit la bizarre coiffure de plumes qu’il portait. Mis à part cela, ils existaient encore 140 tribus indiennes dans la forêt, certaines n’avaient jamais été en contact avec l’homme blanc, d’autres oui, mais encore sans l’Adsl et donc forcées à une existence rudimentaire avec leur minable connexion à 56ko/s. 90% d’entre elles sont composées de cannibales et de coupeurs de têtes. Leur culture est totalement différente de celle de l’Occident, par exemple leurs gouts esthétiques : saleté, barbe hirsute, odeurs acres, étranges tatouages et cris gutturaux sont les règles dans leurs villages. Par contre une chose est universelle, les Indiens eux aussi préfèrent les gros seins, et encore plus s’ils descendent jusqu’aux pieds.
Un environnement hostile pour l'Homme
Plus de bêtes féroces qu’au zoo, plus d’insectes et de parasites que dans un train de la SNCF, une chaleur plus étouffante que dans un sauna, plus de maladies que dans un hôpital, et plus de boue qu’aux thermes de La Bourboule. Spontanément, on se demande comment quelqu’un peut bien vouloir s’approcher d’un tel lieu, en fait, chez les hommes blancs seulement quelques aventuriers ou geeks ont été confrontés au cœur de la forêt amazonienne, pas toujours avec de bons résultats d’ailleurs.
- En 1970, le réalisateur italien Deodato s’enfonce dans la forêt pour tourner un documentaire Cannibal Holocaust, il va sans dire que le film est rapidement devenu un snuff movie. Un seul survivant, Ken.
- En 1978, un petit avion privé avec 9 personnes à bord tombe dans le cœur de la jungle Amazonienne, aucun survivant.
- En 1981 M. Crocodile Dundee effectue son premier voyage en remontant le cours de la rivière des Trépassés. Il s’y trouva si bien qu'il reviendra souvent pour Noël ou d’autres fêtes religieuses.
- Un autre accident d'avion en 1984, un Boeing 747 de Mbombo Airlines s’écrase dans la jungle. De nombreux passagers échappent à la mort mais ils doivent composer avec les horreurs typiques qui peuplent l’Amazonie. Mais cette fois, il y avait parmi les passagers le célèbre aventurier Nicolas Hulot, un expert de la survie en conditions extrêmes. Il décida de faire descendre la rivière aux survivants jusqu’à l’embouchure du fleuve, puis de faire de l’auto-stop jusqu’en Europe via le Gulf Stream. Aucun survivant, mais pour une fois il avait eu une bonne idée pourtant.
- En 1987, un hélicoptère colombien avec 3 narcotrafiquants et MacGyver subit une avarie et tombe dans la forêt Amazonienne. De l’hélicoptère, on sauve 2 cadavres de trafiquants, une agrafe, de la neige carbonique, un miroir, et un élastique. Un seul survivant, Mac Gyver, qui s’enfuit l’après-midi même avec une montgolfière construite avec ce qu’il avait.
- En 1999, deux guides brésiliens, Miguel Hernández et Juan Fera, et un chercheur britannique, cherchant à imiter le succès de M. Crocodile Dundee tentent de remonter le Rio Negro pour recueillir des informations sur la source de la rivière. Lauréats du Prix Darwin 1999.
7 conseils pour sauver ton cul en Amazonie
- La jungle a une atmosphère étouffante: ne porte pas de soie, lin ou tissu synthétique, prépare toi un gilet en peau d’alligator, un vêtement sec et rafraichissant puis enduie toi de boue. Si tu n’a pas d’alligator à la maison, tu peux t’en procurer facilement un sur place près du fleuve : bloque le en lui maintenant les mâchoires fermées et écorche le sur place. M. Crocodile Dundee
- Pour te protéger des parasites et insectes nuisibles, tu peux utiliser des remèdes à base de fleurs. Procure toi un spécimen d’Arphilephethus Alba, ne le confond pas avec Arphilephethus Vulgaris qui est par contre mortel. Ils se distinguent par une nervure particulière à l’intérieur de la couronne extérieure de leurs feuilles, en dents de scie dans Alba et en zig-zag dans la variété Vulgaris. Extrait le pollen, met le en contact avec de la neige carbonique que tu as précédemment préparée et accélère la sublimation en remuant avec une agrafe. Tu obtiens un puissant nuage insecticide qui te protégera plusieurs jours en répandant un agréable parfum de lavande. Comme alternative fait toi livrer un camion de citronelle.MacGyver
- Au lieu d’emporter des tas de rations alimentaires qui pèsent très lourd, trouves à manger directement dans la forêt : rats musqués, cochonnets, tortues que tu peux ouvrir avec un bâton. Avec ce climat, je t’assure qu’ils sont tous bons et savoureux, tu n’a pas de remords à avoir : dans la jungle c’est comme cela que çà marche, même la tortue te mangerait si elle en avait la possibilité. Ken le survivant
- Ne gaspille pas de la place dans ton sac pour des médicaments, compresses, pansements et antibiotiques. Emporte seulement du fil de fer, du bon Whisky et une paire de chaussettes de rechange, ainsi tu n’auras pas de problèmes de santé. M. Crocodile Dundee
- Pour rendre l'eau potable, Il te suffit d’une gamelle en aluminium : en grattant l’aluminium avec une petite agrafe tu obtiens une poudre très inflammable que tu mélanges avec du graphite. Tu l’allumes, elle va bruler très longtemps et désinfecter thermiquement ton eau. MacGyver
- Après tout ces jours de voyage passés sans voir une femme, même si cela te semble irrépressible, il vaut mieux ne pas violer et tuer une indigène isolée sous peine de déclencher la colère d’une tribu probablement cannibale. Ken le survivant
- Moutons dans le ciel, pluies torrentielles. Alain Gillot-Pétré
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Cet article, basé sur le texte d'une désencyclopédie étrangère, Foresta amazzonica, est disponible uniquement sous licence CC-BY-NC-SA de Creative Commons. |
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