Courir

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Étymologie

Le verbe "courir" viendrait du mot romain coeriare signifiant courir avec une toge, mais en latin. Ce mot provient lui même du mot grec Ωнфлиз, qui semble désigner le dieu de la course en sac. Il paraîtrait de source ecclésiastique que ce dieu n'existe pas, il s'agirait ainsi d'une invention des grecs, tout comme la musique techno.

Cas numéro 1 : Le lapin et la tortue

Il était une fois un lapin dans un PMU qui avait fort bu. Une tortue vient lui proposer à parier, cas compliqué pour lapin alcoolisé. Une distance à tracer le premier arrivé remportait l'argent versé. Le lapin éméché ne pût qu'accepter et lever le coude une dernière fois.

Partant au signal et distançant aisément la tortue, lapin ne put résister à l'idée de descendre deux ou trois godets dans un troquet et la tortue n'eut qu'a le distancer pour remporter la course avec facilité.

Étude de cas

Il semble évident que dans ce premier fabliau du 15e siècle, le verbe courir s'apparente à une fuite en avant vers un illusoire fictif (le second estaminet qui ressemble fort au premier). Courir est un acte vain et sans signification pour l'auteur qui montre par l'utilisation d'animaux pourvus de défauts physiques ridicules (oreilles melon et carapaces de cuir) l'avantage futile procuré menant sur un échec futur. On ne court donc qu'à sa perte.

Cas numéro 2 : Le lapin et la torture

La torture, c'est comme une boîte de chocolat, on sait jamais sur quoi on va tomber.
Les tortues aussi d'ailleurs.
Il y a des tortues avec des fusées.
Il y en a avec de l'alcool dedans.
Il y en a qui savent lacer leurs chaussures mais qui n'ont pas le moyen de s'en payer.

Bref, notre lapin était très en retard quand la dame de pique le prit par les oreilles et le pendit par ses dents à la potence. Puis elle lui ouvrit la panse et laissa courir ses désirs les plus vils.

Étude de cas

Courir veut sûrement dire "Faire les 110 journée de Sodome avec un herbivore", ce qui nous rapprocherait de l'origine étymologique grecque de ce mot.


Cas numéro 3 : Le longues oreilles et la tortue

On l'appelait le petit carapaçon rouge en raison de sa carapace toute rouge ferrari que lui avait offert son père. Un jour ce dernier lui demande d'aller apporter un petit peu de bonheur et un pack de joie à son cousin porcin qui était fort malade et qui habitait foutrement trop loin du canapé et de la téloche.

Notre tortue arpentait alors le chemin, quand au détour d'un croisement, elle croisa un lapin.

— Sveiki, kā jums kuce ? [1]
— Ļoti labi un man ir vēlme bāzt
— Noraida tā ir ļoti spēcīga būs

Ils décidèrent donc de faire la course chacun par un chemin différent, le lapin arriva le premier.

— Tic-tic, hello.
Who are you ?
— I'm your cousin with a pack of beer and ganja.
— Come on, the bobinette is cherra.

Il se jeta sur le cochon[2] et le dévora. Puis la tortue arriva à son tour.

— Oh que vous avez de grandes oreilles, cousin !
— C'est pour mieux t'entendre ma cousine.
— Oh que vous avez des yeux tordus !
— C'est la myxomatose mais ceci n'a pas d'importance un peu de bière et tout ces signes de fatigues disparaîtront.
— Oh que vous avez des dents ridicules et difformes !
— C'est pour mieux te manger, petite peste ordurière !

Il a mangé la tortue. Puis l'a violée et a bu la bière. Encore une journée normale aux pays des animaux qui parlent parce que oui, tout le monde sait que les animaux parlent, pissent debout et manifestent contre l'augmentation de l'âge de la retraite. Mais oui mâdame, regardez je me moque pas de vous, c'est écrit dans un livre et maintenant sur internet aussi !

Les sous-titres c'est comme une boîte de tortues au chocolat

  1. Il est ici évident que les animaux parlent l'animal
  2. Ça vous en bouche un coin d'apprendre que les anglais parlent en fait le cochon.
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