DÉBonsFilms:The Cask, Jim Carrey reprend du service pour une nouvelle comédie contemporaine

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Synopsis – Un contrôleur de bus sans histoire à raconter décide, après une énième agression, de devenir CRS réserviste dans la police nationale. Sa vie va basculer lorsqu'il va se procurer un casque mystérieux aux pouvoirs étranges.


Gllaum3.pngGllaum3.pngGllaum4.pngGllaum4.pngGllaum4.png – Note de la rédaction de Bons Films
Gllaum3.pngGllaum3.pngGllaum3.pngGllaum3.pngGllaum4.png – Note des téléspectateurs


L'avis Bons Films – Dans la lignée de Percy Jackson : l'anneau de Gygès ou de La Vague d'Adolf Hitler, The Cask explore une nouvelle fois le registre comico-tragique de Jim Carrey, homme banal et vaincu à l'humour regrettable, confronté à une brucetoutpuissance acquise instantanément. On sait donc d'ores-et-déjà lorsqu'il enfile le casque, et commence à tournoyer dans une bourrasque de diable de Tasmanie, ce qu'il va advenir. On sait aussi que le film sera excellent.


En enfilant le casque de CRS fourni avec l'uniforme, il acquiert ainsi des pouvoirs d'invulnérabilité et une multitude de gadgets qui vont lui permettre d'écumer un-à-un les lieux qui se refusaient à lui alors, et de se venger au passage des gens qui le prenaient pour un gros con. Du Bobo Bongo Club au Facho Bongo Club, en passant par le très sélect Indignés Bongo Club, il s'invite dans les fêtes et se comporte comme le trublion que nous connaissons. Tout au long du film, il mettra ensuite des objets dans le cul des garagistes, fera chanter des dealers de Marseille à l'aide de ballons de baudruche et ponctuera ses balles perdues du leitmotiv en passe de devenir culte : « Oupz, z'ai dué mon Panda ! » Il pourra également laisser libre cours à ses envies de tout péter en étant ivre tout le temps (un vision des choses proprement américaine de la police française que nous ne cautionnons pas).


The Cask contient tous les ingrédients de The Mask, avec en plus les meilleurs passages de The Mask 2 : le fils du masque, à savoir un hommage discret à 2001 : l'Odyssée de l'espace dans la scène avec les endives qui parlent. Et pour une fois, nous vous laisserons découvrir le film par vous même sans spoiler, tant dévoiler une seule de ses originalités reviendrait à toutes les dévoiler.


On retrouvera donc aussi la fameuse danse du Cask au Clodo Bongo Club. « Hey, Pachuco! »


Que cela ne vous empêche pas d'apprécier ce patchwork de petits rêves d'enfants désirant ardemment devenir policier pour tuer les méchants, avec les balles qui leur rebondissent sur la poitrine et la faculté de se sortir du pétrin en faisant l'hélicoptère avec sa bite. Un Jim Carrey à voir et à revoir, pour toute la famille et même les animaux de compagnie.


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